Open source. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La désignation open source, ou « code source ouvert », s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises[1] : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. . « Préhistoire »[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code]
Données ouvertes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables. L'open source au service d'un nouveau monde ? L'open source fait recette !
Voila maintenant qu'un réseau de connaisseurs de la terre, c'est-à-dire des agriculteurs mais également des ingénieurs, peut désormais s'inscrire sur une plateforme en ligne "Open Source Ecology" afin d'aider à la conception et la fabrication de façon artisanale de machines industrielles. Qui a peur de l'open access ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par une communauté de responsables d'universités (d’enseignants-chercheurs, d’éditeurs, de responsables de bibliothèques) Abonnez-vousà partir de 1 € Réagir Classer Partager facebook twitter google + linkedin pinterest fermer En juillet 2012, la Commission européenne a émis une recommandation relative à la publication en accès ouvert (c'est-à-dire gratuit pour le lecteur) des résultats de la recherche scientifique financée sur fonds publics (Lire Le Monde du 28 février 2013).
La Commission considère en effet qu’une telle démarche est nécessaire pour renforcer la visibilité de la recherche européenne à l’horizon 2020, en levant progressivement les obstacles qui se dressent entre le lecteur et l’article scientifique, après un éventuel embargo de six à douze mois. Cet avantage, l’Amérique latine, par exemple, l’a déjà saisi depuis une décennie en lançant de puissantes plateformes de revues en accès ouvert. A qui profite l'open data ? L’open data en Afrique, enjeu de développement. L’open data, ou donnée ouverte, phénomène rendu possible par la société numérique, fait son apparition en Afrique notamment francophone.
La notion d’open data recouvre les données ouvertes, c’est à dire librement accessibles et librement réutilisables. C’est la matière première de la société numérique d’aujourd’hui et de demain. A première vue, cela apparaît un peu obscur car on ne voit pas forcément quelles données, de qui, pour qui, comment et pourquoi. Certes. L’open data doit être avant tout un état d’esprit dans lequel sont élaborées et publiées les données. Ainsi, la Banque Africaine de développement a mis en place OpenData Afrique pour : faciliter l’accès aux données de qualité requises pour la gestion et le suivi des résultats du développement en Afrique, entre autres les objectifs du millénaire pour le développement, tel est le but de cette initiative du Groupe de la Banque africaine de développement. Les enjeux sont divers et variés. Mon année open source ou le projet un peu fou d'un néo-zélandais berlinois. Vis ma vie en terre inconnue de l’open source… À partir du premier août prochain un jeune réalisateur néo-zélandais vivant à Berlin se propose de passer « une année open source ».
Mais attention, il ne s’agit pas seulement de migrer vers GNU/Linux et surfer avec Firefox, il veut essayer de tout faire avec du Libre, son approche et sa philosophie ! Il a essayé d’expliquer le concept à sa maman, en prenant l’exemple d’Open Cola, pour conclure qu’il n’irait pas dans un restaurant qui ne lui fournirait pas les recettes des plats ! (dans le cas contraire il se contentera de ses propres sandwiches) Évidemment, il n’arrivera pas à vivre son quotidien 100% open source, mais il explique qu’il sera intéressant de comprendre pourquoi tel ou tel domaine ne fonctionne pas, quitte à se demander si on ne pourrait quand même pas y mettre plus de transparence et d’ouverture.
Nous en avons traduit le communiqué de presse ci-dessous.