Marketing. Le marketing[1], ou la mercatique[1],[2],[3], est une culture organisationnelle (d’entreprise, d’association, etc.), un état d’esprit, qui cherche à privilégier les attentes et les besoins des parties prenantes de cette organisation (marchande ou non-marchande) par rapport aux attentes et besoins des membres de celle-ci.
Il ne faut pas confondre le marketing, ainsi entendu, avec le marketing management, souvent appelé lui aussi, par commodité, « marketing » et qui est, lui, la gestion de l’ensemble complexe des méthodologies permettant à l’organisation d’être et de rester compétitive dans un univers concurrentiel dynamique. Cette culture organisationnelle présente deux dimensions fondamentales : les clients (au sens large) et l’entreprise, dimensions qu’elle doit chercher à prendre en compte simultanément de façon équilibrée[4]. Marketing vs marketing management[modifier | modifier le code] Les différentes définitions du marketing[modifier | modifier le code] Définition no 1. 1970. Merchandising. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le merchandising peut augmenter le chiffre d'affaires de la distribution. Le merchandising ou marchandisage[1] en français, s'est développé consécutivement à l'essor de la vente en libre-service, où chaque produit doit être exposé convenablement pour qu'il soit en mesure de se « vendre lui-même ». Attention, pour les anglo-saxons, le merchandising a une signification beaucoup plus large et désigne souvent la création de produits dérivés (le merchandising d'artistes vendus lors des concert ou celui de Coca-Cola, par exemple, composé de casquettes, tee-shirts, etc.).
Pour eux, ce que nous appelons « merchandising » est du « retail merchandising » ou « visual merchandising ». Mais la meilleure définition, et certainement la plus ancienne[non neutre], reste celle de l’américain Kepner[2], qui définit ainsi ces techniques : Les attitudes et comportements des consommateurs depuis 1945. Les mécanismes de la publicité - cours - dossier. La quatrième question La publicité nous manipule-t-elle ? Des images subliminales au neuromarketing, la publicité a mobilisé depuis un siècle de nombreuses techniques de manipulation mentale issues des sciences humaines pour pousser le consommateur à acheter.
Avec quels résultats ? Pas forcément celui que l’on croit… La scène se passe le jour de Pâques 1929, à New York où est organisée chaque année une grande parade. Quelques jours auparavant, la presse a été informée que les suffragettes (les féministes de l’époque) s’apprêtent à faire un coup d’éclat. Journalistes et photographes se sont agglutinés autour d’un groupe de féministes en attendant la surprise. L’homme qui a eu l’idée d’organiser ce coup d’éclat s’appelle Edward Bernays.
Faire des cigarettes des « flambeaux de la liberté » (c’est le slogan imaginé par E. Dans son livre Propaganda (1), publié en 1928, petit chef-d’œuvre de machiavélisme publicitaire, E. Walter Lippman, l’un des grands publicistes de l’époque, a lui aussi participé à cet effort de guerre pour le gouvernement. P. Pub & com' Neuromarketing. Auteur : Yvan Valsecchi A - Les origines du NeuroMarketing.
Des études de marchés, aux stratégies en passant par le mix-marketing, tout a toujours tourné, pour les responsables du marketing, autour de deux obsessions : pénétrer dans votre esprit pour connaître vos pensées et activer le bouton qui vous fera acheter. Que dois-je faire pour que mon produit plaise, pour que ma marque reste gravée dans la mémoire des consommateurs et comment agir sur leur comportement d'achat ? Au fil du temps, les traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de discussion ont montré leur limite.
II - UN PEU DE THÉORIE. Auteur : Yvan Valsecchi A - Le cerveau, beaucoup de fausses théories. 1300 grammes et des poussières de neurones, de matière grise peu avenante, plissée et repliée sur soi : le cerveau cache bien sa complexité.
L'étincelle est venue du sang. C'est une longue histoire qui commence en 1890, lorsque deux physiologistes anglais, Roy et Scherrington, établissent un lien entre l'activité cérébrale et le flux sanguin. Plus une aire du cortex est sollicitée, plus elle reçoit d'hémoglobine chargée d'oxygène et de glucose, les carburants de la matière grise. Extrait du livre d'Éric Fottorino « Voyage au centre du cerveau ». Selon une théorie élaborée dans les années 60, le cerveau serait organisé en trois niveaux : un cerveau archaïque (ou primitif), le fameux cerveau reptilien, en serait la couche la plus enfouie.
Le cerveau c'est l'organe le plus compliqué à la fois dans sa structure et dans son fonctionnement. B - La raison n'est rien sans l'émotion. C - La mémoire, un processus de construction. III - LE NEUROMARKETING. Auteur : Yvan Valsecchi A - Les mesures utilisées par le Neuromarketing.
La mesure de l'émotion. Ce neuromarketing qui nous transfome en machine à consommer - eco. Les techniques secrètes des supermarchés pour nous faire consommer plus. Entrer dans un magasin n’est jamais anodin.
On plonge alors dans un système qui nous pousse à consommer plus grâce à quelques techniques bien rodées. On estime ainsi que 30 à 40% de nos achats sont faits sous le coup de l’émotion, des économies qui pourraient donc être considérables à chaque passage en caisse. Voici treize techniques secrètes présentées par Docteur Bonne Bouffe. 1. Ils mettent à notre disposition des caddies beaucoup trop grands pour nous faire acheter plus Les supermarchés ont eu l’idée de mettre à notre disposition des caddies spécialement conçus plus larges qu’un panier moyen, ceci dans le but de nous faire acheter beaucoup plus que nous n’en avons besoin. Que représentent les couleurs des logos de tous les jours ? Le neuro-marketing ou comment la pub rend CONSommateur.