Petite anthologie de la pensée de marché. Xavier Niel, Jeff Bezos, Serge Dassault... Ces riches qui contrôlent les médias. C'est l'un des paradoxes de cette décennie : bien que frappé de plein fouet par la crise, l'univers des médias n'a jamais tant attiré les grandes fortunes.
Partout dans le monde, les hommes d'affaires multiplient les rachats de journaux et de chaînes de télévision, investissant souvent à fonds perdus. L'autre singularité de cette "mode" tient aux cibles choisies : future locomotive du marché dont il est le relais de croissance, Internet n'est pas le domaine privilégié par ces nouveaux "papivores", aux moyens parfois illimités. La Toile ne les fait pas rêver. Quand ils ne sont pas tout simplement les fondateurs de titres ou de networks prestigieux, à l'instar du milliardaire texan Ted Turner, qui a créé CNN, en 1980, ils lui préfèrent des entreprises de presse souvent anciennes et emblématiques.
La liste de ces mécènes est longue et cosmopolite. Alors ? Une carte de visite bien utile Xavier Niel ne s'y est pas trompé en participant au rachat du Monde, à l'automne 2010.
Groupes de presse. Huit sociétés détiennent plus de 70% des médias du monde. La pieuvre médiatique. Médias français, une affaire de familles, par Marie Bénilde. En 1936, le Front Populaire a libéré la Banque de France de la tutelle des 200 familles qui dominaient son assemblée générale.
Une sorte de démocratie capitalistique fut instaurée en donnant le droit de vote aux 40 000 porteurs d’actions que comptait alors la France. Soixante-sept ans plus tard, faut-il espérer un nouveau Front populaire pour affranchir l’économie française de l’emprise de fortunes familiales singulièrement présentes dans les médias ? De fait, loin du nouvel âge du capitalisme qu’était censée produire la mondialisation des marchés financiers, ce début de XXIe siècle est marqué par la perpétuation de positions patrimoniales bien assises dans la presse, la télévision ou la radio.
Cette situation conforte l’adhésion de la collectivité à un système de valeurs quasi dynastique sur lequel se fonde la légitimité de l’héritier. L’économie française se caractérise par l’importance de son capitalisme familial. Taille de l’article complet : 2 304 mots. Vous êtes abonné(e) ?
Agences de presse. Les têtes MULTI-postes (et faux analystes-polémistes) SALAIRES DES JOURNALISTES et chroniqueurs. Ce Médias TV - de l'"information" ?? Audiences TV. Presse écrite nationale. Economie et publicité. Radio nationale (réseaux d'appartenance) Publicités de rue => JCDecaux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
JCDecaux SA JCDecaux est un groupe industriel français spécialisé dans la publicité urbaine, déclinée sur divers supports de mobilier urbain (le plus connu étant l'Abribus). Histoire[modifier | modifier le code] Camion de maintenance JCDecaux Camionnette d'entretien JCDecaux. En 1955, Jean-Claude Decaux (né en 1937) crée une société qui se spécialise dans les placards publicitaires d’autoroutes.
Le premier projet est testé pour la première fois avec la municipalité de Lyon et s’étend rapidement aux villes de Grenoble, d’Angers et de Poitiers. En 2002, Jean-Claude Decaux laisse la direction de l'entreprise à deux de ses trois fils, Jean-Charles et Jean-François. Le siège social de l'entreprise est à Neuilly-sur-Seine. En 2010 JCDecaux a augmenté son parc d'affichage électronique de 40 %, soit un total de 6500 écrans.
En 2013, un contrat est signé avec Plus belle la vie pour du placement de produit[4]. Métiers[modifier | modifier le code] Clear Channel Communications. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Clear Channel Communications Clear Channel Communications est une multinationale américaine présente dans l'audiovisuel, la publicité urbaine et l'organisation de concerts et de festivals. Historique[modifier | modifier le code] Clear Channel a été créée en 1921 sous le nom de Dauphin OTA (Office Technique d’Affichage) en tant qu’entreprise spécialisée dans les murs peints publicitaires ainsi que les panneaux grands formats.
À l'origine spécialisée dans l'affichage urbain, consistant à apposer de la publicité dans les abris d'autobus, la société se diversifie dans la radio par hasard : le jour où un client texan des espaces publicitaires Clear Channel fut mis en faillite, le groupe récupéra deux radios en paiement des dettes.