Racisme (s) et philosémitisme d’Etat ou comment politiser l’antiracisme en France ? – Le premier a été prononcé par Raymond Barre, le 3 octobre 1980.
Une bombe tue trois personnes devant la synagogue de la rue Copernic, à Paris. Le Premier ministre évoque un « attentat odieux qui voulait frapper des Israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic ». Ainsi pour le Premier ministre, les « Israélites » ne sont pas des Français puisqu’ils sont opposés aux « Français innocents ». – Le second lapsus est fait par Jacques Chirac, président de la République, lors de son allocution du 14 juillet 2004 : « Nous sommes dans une période où les manifestations d’ordre raciste, (…) mettent en cause nos compatriotes juifs ou musulmans ou tout simplement parfois des Français (…) ».
Là aussi, les Juifs, tout comme les musulmans, sont distingués du corps national français. – Le troisième a été prononcé la semaine dernière par François Hollande, quelques jours après la profanation d’un cimetierre juif. Merci. Gilles Deleuze sur Israël et la Palestine dans "Deux régimes de fous" (1983) Combattre l’antisémitisme et condamner la politique israélienne. Ayant accueilli des Juifs victimes de l’antisémitisme et des survivants du génocide perpétré par les nazis, l’Etat d’Israël a le droit de vivre en paix et de voir ses frontières reconnues.
A cet égard, nous restons fidèles à la double exigence affirmée par Pierre Vidal-Naquet au lendemain de la guerre de 1967 : défendre l’existence de cet Etat mais exiger aussi de lui l’évacuation des territoires conquis alors afin que puisse s’y établir un Etat palestinien. Hélas, les législatives de mars et la formation du gouvernement qui en résulte nous éloignent encore davantage de cette issue. En effet, elles ont donné la victoire à Benyamin Nétanyahou, lequel a déclaré ouvertement son refus d’un tel Etat. Forts de leur supériorité militaire, les gouvernants actuels de l’Etat d’Israël risquent donc de rendre impossible toute création d’un Etat pour le peuple palestinien. Il faut donc des sanctions et des pressions internationales à l’encontre de cette politique. Mais alors, la Nakba c'est...?
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Le 17 avril 2015, les mouvements de solidarité internationale, les communautés palestiniennes en exil et la diaspora ont marqué la Journée des prisonniers palestiniens par des rassemblements,... Arte Reportage : Cancer du sein à Gaza, la double peine - AURDIP. Derrière les guerres et les ruines qui caractérisent Gaza, on oublie que près de deux millions de personnes luttent, au quotidien, pour survivre.
Rasmea Odeh. Rasmea Yousef Odeh (born 1947 or 1948; also spelled Rasmieh; also known as Rasmea Yousef, Rasmieh Steve, and Rasmieh Joseph Steve)[2][3] is a formerly Palestinian-American (she was stripped of her US citizenship) associate director at the Arab American Action Network in Chicago, Illinois.[4][5][6][7] She was convicted in 1970 by an Israeli military court of involvement in fatal terrorist bombings, and in 2014 by a US federal jury of immigration fraud.
Odeh was sentenced to life in prison in Israel for her involvement in two terrorist bombings in Jerusalem in 1969, one of which killed two people, and involvement in an illegal organization, the Popular Front for the Liberation of Palestine (PFLP). She spent 10 years in prison before she was released in a prisoner exchange with the PFLP in 1980. Conviction of involvement in fatal bombing, and imprisonment, in Israel[edit] Entry into US; application for citizenship[edit] The U.S. Alain Gresh. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Alain Gresh est un journaliste français né en 1948 en Égypte. Biographie[modifier | modifier le code] Sa mère est née en Suisse (ses parents étaient russes), son père naturel est Henri Curiel (1914-1978), militant communiste et internationaliste, assassiné à Paris[1]. Son père adoptif est un copte égyptien. Il publie plusieurs livres sur le Proche-Orient et sur l'islam. Les Bons Juifs Français. Cet article est en réponse au dossier du journal « Le Point » du 12/02/2015 sur la communauté juive en France.
La version numérique peut se trouver à leur adresse ici. [EDIT : Pour info et contexte, je suis moi-même juif athée. Être juif ce n’est pas qu’une religion, c’est aussi une culture et une ethnie. Quand nos luttes sont instrumentalisées. S’il y’a une chose qui m’a toujours agacée, c’est bien le sentiment qu’on me confisque ma voix.
Etant lesbienne, je subis la double peine d’être invisible en tant que femme dans la société, et dans la communauté « LGBT » (ou plus honnêtement, « GGGG »). Je dispose déjà de peu de temps de parole. J’ai donc énormément de mal avec la récupération des luttes, notamment celles qui me concernent directement, à savoir les « Droits LGBT » et le féminisme. Cela peut prendre plusieurs formes, comme la promotion du mariage à des fins économiques, mais aussi impérialistes et colonialistes.