Allaitement – encourageons l’esclavage domestique des pères. Allaitement : cessons de culpabiliser les femmes. Je n’ai pas allaité mes enfants au sein.
Et je trouve inquiétant que ce choix soit socialement de plus en plus difficile à assumer. C’est le signe à la fois d’une remise en cause profonde des droits des femmes et d’une assignation à un idéal maternel oppressant. Nous qui avons choisi le biberon serions de mauvaises mères, privilégiant notre confort au détriment de celui de nos enfants, refusant d’assumer nos fonctions biologiques. De la difficulté d'allaiter pour les salariées en France. BreastFeeding in Public (Social Experiment) Sexy vs Breastfeeding in Public (Social Experiment)
Allaitement ou biberon: peu importe, les mères se sentiraient jugées. 19 janvier 2015 | Si vous fréquentez les groupes de discussions sur les réseaux sociaux, vous savez que les esprits s’échauffent rapidement lorsqu’il est question d’allaitement.
Les commentaires deviennent émotifs et plusieurs mères ressortent blessées de ces échanges. Une étude réalisée par des chercheuses britanniques révèle en effet que les nouvelles mères ressentiraient du jugement et de la condamnation au sujet de l’alimentation de leur enfant, peu importe qu’elles allaitent ou qu’elles donnent le biberon. Déjà au moment de décider d’allaiter ou non, les commentaires de l’entourage amènent les futures mères à remettre leur choix en question, notent les scientifiques.
Par exemple, certaines femmes qui avaient décidé d’allaiter se rappellent avoir reçu des commentaires blessants sur l’allaitement. 'Like a piranha': how midwives' descriptions of breastfeeding affect women's attitudes. The World Health Organisation (WHO) promotes exclusive breastfeeding as the optimal way to feed infants.
Most Australian babies – 96% – start out breastfeeding. But this figure drops to 61% exclusive breastfeeding at one month, 39% at three months and a very low 15% at five months. The reasons women stop breastfeeding are widespread. They include pain and discomfort during early establishment, lack of support, fear the baby is not getting enough milk, plans to return to work, and worry about the baby’s enjoyment or fulfilment. A woman’s confidence with breastfeeding can be impacted by her baby’s behaviour and the perceived quality and quantity of milk. But a study my colleagues and I conducted in New South Wales found that the sometimes negative language that health professionals use, when describing normal behaviour while feeding, is far from helpful.
Blaming the baby At times health professionals attempted to shift blame for breastfeeding difficulties away from the mother. Une policière sauve un bébé affamé en lui donnant le sein. Europe 1A.H.
Cette histoire touchante se passe en Colombie. Alors qu'une femme se promène en forêt, près de la ville de Tuluà, elle entend des pleurs. Féminisme biologique, allaitement et travail, une nouvelle forme d’autodétermination des femmes. Texte intégral 1« L’allaitement est un truc que les hommes ont inventé pour… les femmes » devait un jour nous dire une femme devenue adulte dans les années soixante.
Le comique absurde des propos était toutefois à la hauteur de la conviction de celle qui les tenait. C’est surtout depuis cette époque qu’un certain féminisme présente l’allaitement comme étant l’adversaire des femmes, celui qui les astreint à la maison. Ce féminisme reprend actuellement de la vigueur en se dressant contre la femme « biologique », celle qui veut utiliser son corps dans toutes ses dimensions, non seulement sexuelle, mais encore en tant que gestante, parturiente et allaitante. 2« Only in France », où la culture patriarcale est encore si prégnante, et où les femmes n’ont de place que si elles deviennent des hommes, l’allaitement, mais au-delà, l’enfantement et le maternage, peuvent être perçus avec une telle violence. 1 Cf. note 50. 3La culture française est particulièrement peu propice à l’allaitement. Militant Lactivism? Attachment Parenting and Intensive Motherhood in the UK and France.
Alyssa Milano crée la polémique avec un selfie allaitement. PEOPLE L’actrice Alyssa Milano a publié sur Instagram une photo où elle donne le sein à son enfant… Publié le Mis à jour le Militante pro-allaitement, Alyssa Milano a posté une photo d’elle sur Instagram où on la voit donner le sein à sa toute jeune fille, Elizabella Dylan.
Elle accompagne la photo d’une citation de Milan Kundera sur «les joies de l’allaitement». L’actrice de 41 ans avait déjà publiquement vanté les bienfaits de l’allaitement après la naissance de son premier enfant, Milo Thomas. Retirée puis republiée Sitôt la photo publiée sur Instagram, les réactions ont été nombreuses. Alyssa Milano a alors décidé de retirer le cliché.
Mots-clés : Place du père dans l'allaitement. La consultation est conçue comme une visite amicale.
Nous discutons avec la mère des modalités de la séance. D’avance, nous informons la mère de la manière dont nous allons nous conduire afin de perturber le moins possible l’allaitement et son interaction avec le bébé. Allaitement et féminisme. Allaitement et féminisme Posted by Une Jeune Idiote on 6 septembre 2013 · 28 commentaires Ca fait quelques jours déjà que ma belle-soeur m’a envoyé ce super article du Pr.
Martine Erzog Evans intitulé : J’ai super envie de vous en parler, parce que je le trouve génial, et il résume très bien ce que je pense en matière de féminisme et de condition de la femme dans la société actuelle. Cet article fait 16 pages, il est très très complet, je pense donc vous en faire un résumé condensé auquel j’ajouterai mes commentaires. L'allaitement est-il compatible avec le féminisme ? À la fin du xixe siècle et au début du xxe, les féministes françaises tiennent un discours qui en étonnerait plus d’un(e) de nos jours.
Comme le montre très bien Anne Cova dans son ouvrage Maternité et droits des femmes en France (xixe-xxe siècles) [1][1] Les informations sur cette période sont tirées de cet..., elles parlent alors de l’allaitement comme de « cette obligation [qui] découle de la nature des choses », comme d’un « devoir maternel » et d’une « question vitale de notre pays » (La Fronde, 14 avril 1899). Elles luttent contre la mise en nourrice, ce « coup trop sanglant pour la maternité » (Le journal des femmes, février 1893), et les bureaux de nourrices, décrits comme « des officines épouvantables par lesquelles tant de pauvres petits diables qui ne demandaient qu’à vivre ont trouvé la mort » (La Fronde, 10 février 1899). Dès sa création en 1897, La Fronde entre aussi en campagne contre le biberon à tube, accusé à juste titre d’être un « tueur de bébés ».