Droit nature. Nature Rights » » Les droits de la Nature : Une réalité de plus en plus tangible. Os Direitos da Natureza e a superação do desenvolvimentismo predatório. E se se reconhecesse universalmente que, assim como o ser humano, a natureza tem direitos?
The gateway to environmental law. Les peuples indigènes du monde se réunissent en ce moment. Leur but : préserver la planète. Le Congrès Mondial de la Nature 2016 a débuté le 1er Septembre à Hawaii.
Pendant 10 jours, plusieurs milliers d’acteurs politiques, d’universitaires, de responsables d’entreprises et de citoyens, le tout appartenant à des communautés indigènes du monde entier se réunissent autour d’un même objectif. Au programme : partage de connaissances, et réflexion commune à des moyens de répondre aux enjeux climatiques actuels, pour préserver les richesses offertes par notre planète et lutter contre l’accaparement des terres. NB : Āina Momona signifie textuellement les « terres grasses » qui nourrissent les familles hawaïennes. Comme ailleurs, celles-ci sont atteintes par l’activité humaine. La délégation The Pacific Northwest du Congrès Mondial de la Nature 2016 s’est jointe à différents leaders des peuples indigènes pour participer à un projet local de restauration des stocks de poissons et diverses activités culturelles.
Se réunir pour être acteurs du changement. Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Depuis le 11 février 2016, Ségolène Royal est ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, chargée des Relations internationales sur le climat ; Alain Vidalies est secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche et Barbara Pompili est secrétaire d'État chargée de la Biodiversité. Le ministre et son cabinet occupent l’hôtel de Roquelaure, au numéro 246 du boulevard Saint-Germain à Paris. L'administration centrale du ministère est implantée à La Défense dans la tour Pascal, dans une partie de l'Arche de la Défense et dans la tour Séquoia.
Historique[modifier | modifier le code] Ministère de l'Environnement (1971-2007)[modifier | modifier le code] Ministère des Transports et l'Équipement (1967-2007)[modifier | modifier le code] 2015, année meurtrière pour les défenseurs de l’environnement. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir Pour les militants écologistes et les peuples indigènes en lutte contre l’accaparement et la destruction de leurs terres, de leurs forêts ou de leurs cours d’eau, 2015 a été une année noire.
C’est ce que fait apparaître le rapport « On Dangerous Ground » (en terrain dangereux) publié, lundi 20 juin, par l’ONG Global Witness. Celle-ci est spécialisée dans la dénonciation des conflits, de la corruption et des violations des droits de l’homme associés à l’exploitation des ressources naturelles. A l’échelle de la planète, le rapport ne recense pas moins de 185 assassinats liés à des enjeux environnementaux – soit un mort tous les deux jours –, perpétrés dans 16 pays. Un chiffre en hausse de 59 % par rapport à 2014, et encore jamais atteint depuis que l’ONG effectue cette recension macabre, débutée en 2002. . « Pour chaque assassinat que nous avons été en mesure de documenter, d’autres n’ont pu être vérifiés, ou n’ont pas été signalés, écrit-elle. L’animisme peut-il sauver le monde ? « Auprès de mon arbre, je vivais heureux », chantait le poète Brassens qui savait transmettre les émotions profondes suscitées par la nature en général et les arbres en particulier.
S’il pleut trop à Paris, s’il ne neige plus demain sur le mont Kilimandjaro ou si le troupeau pastoral se meurt en Ogaden et au Sahel, ne blâmons pas les cieux comme le faisaient nos ancêtres. Ce n’est pas la nature qui déraille. C’est l’homme moderne qui a oublié les lois du vivant et, par démesure et inconscience, provoque pollutions, gaspillages et écocides en tous genres. Lire aussi : Justice environnementale : « Pour nous citoyens, le droit est une arme » A l’heure où la recherche à tout prix des profits dévoie totalement la planète, il serait temps de prêter attention à ceux qui ont inventé des écosystèmes viables et des manières de vivre si différentes de celles du consommateur globalisé que nous sommes devenus.
Indispensable initiation. Droit de l'environnement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le droit de l'environnement concerne l'étude ou l'élaboration de règles juridiques visant la compréhension, la protection, l'utilisation, la gestion ou la restauration de l'environnement sous toutes ses formes - terrestres, aquatiques et marines, naturelles et culturelles, voire non-terrestres (droit spatial). C'est un droit technique et complexe, local et global (européen, droit de la mer, international…) en pleine expansion, dont les champs tendent à se densifier au fur et à mesure des avancées sociales, scientifiques et techniques. Il est dans un nombre croissant de pays matérialisé dans un code de l'environnement, mais sans juridiction spécialisée à ce jour (il n'y a pas de juge de l'environnement, comme il peut y avoir un juge à l'enfance, ou une spécialité criminelle, anti-terroriste, etc.). Les juges et les cours de justices s'appuient sur des experts agréés, et des laboratoires également agréés.
Exemples de livres blancs : Exemples : Environmental Protection Agency.