10 raisons d’être emballé par la Coupe du monde de hockey. À moins de 24 heures du début de la phase préliminaire de la Coupe du monde de hockey, la tension est palpable.
Pour la première fois depuis 2004, la Ligue nationale de hockey pilotera un tournoi qui regroupe les meilleurs joueurs du circuit. Le Canada, les États-Unis, la Russie, la Suède, la Finlande, la République tchèque, l’équipe nord-américaine des 23 ans et moins ainsi que l’équipe Europe s’affronteront dans ce tournoi à la ronde pour l’obtention du simple de droit de se vanter d’être les meilleurs. Voici 10 raisons de suivre la Coupe du monde de hockey, de retour après 12 ans d’absence. 1. Une nouvelle formule. Coupe du monde: moins facile que prévu. TORONTO | Le Canada a signé une victoire sans panache, hier, lors du premier match de la finale de la Coupe du monde de hockey.
Les hommes de Mike Babcock ont livré une prestation inégale, mais ils sont tout de même parvenus à signer un gain de 3 à 1 contre Équipe Europe devant plusieurs sièges vides au Air Canada Centre. Ce ne fut pas aussi facile qu’on l’avait prédit. Après un bon départ, la formation canadienne a levé le pied et ses adversaires européens lui ont donné du fil à retordre. Ceux-ci n’ont jamais abandonné malgré des moments difficiles en première période. Ils n’ont pas été surclassés comme on s’y attendait depuis l’annonce de leur participation à la finale. Comme ce fut le cas depuis le début du tournoi, c’est le trio composé de Sidney Crosby, de Brad Marchand et de Patrice Bergeron qui a transporté l’équipe canadienne sur ses épaules. Puis, ce fut au tour de Crosby de laisser parler son talent.
Beau duel entre Price et Halak Sidney Crosby Mats Zuccarello Première période. L'Europe en finale contre le Canada. L'Europe a ainsi rejoint le Canada en finale.
Le champion sera décidé au bout d'une série au meilleur de trois matchs. Les attentes étaient modestes pour l'Europe, un groupe composé des meilleurs joueurs des pays non représentés, dont la Slovaquie, l'Allemagne, le Danemark et la Norvège. Malgré les doutes sur la cohésion de l'équipe, l'Europe avait déjà déjoué les pronostics lorsqu'elle a battu les États-Unis en phase de groupe. Tatar s'est évidemment réjoui d'avoir envoyé son équipe en finale. « C'est super, surtout quand on pense que personne ne croyait en nous. Mais notre belle histoire continue, on élimine une équipe après l'autre, c'est génial. « On sait à quel point ça sera difficile contre le Canada, mais nous sommes contents d'être en finale et nous nous amusons. » « J'aime bien leurs défenseurs, j'aime bien leurs gardiens, ils ont une équipe qui a de l'allure, a assuré l'entraîneur-chef du Canada Mike Babcock. « C'est pourquoi on joue les matchs.
Coupe du monde de hockey sur glace 2016. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Coupe du monde de hockey 2016. Coupe du monde de hockey 2016. L’intérêt à la hausse. Bien qu’encore huit jours nous séparent de la mise en jeu inaugurale de la Coupe du monde de hockey, tout indique que ce tournoi réunissant huit équipes viendra confirmer que l’appétit des Québécois et des Canadiens pour le hockey est tout simplement insatiable.
La preuve: l’équipe canadienne disputera une série aller-retour contre les États-Unis ce soir à Columbus et demain soir à Ottawa. On parle ici de simples matchs préparatoires, mais à en juger par la couverture consacrée aux séances d’entraînement des derniers jours, on jurerait que les deux équipes s’apprêtent à s’affronter en grande finale du tournoi. Ce qui s’annonçait au départ comme un tournoi pour le moins étrange, avec notamment une équipe formée de jeunes joueurs nord-américains de 23 ans et moins et une autre composée de joueurs européens dont le pays d’origine n’a pas été invité à participer au tournoi, s’avérera sans doute un succès. Connor McDavid portera le «C» Connor McDavid portera le «C» sur le chandail de l’Équipe Amérique du Nord pendant le tournoi de la Coupe du monde.
Les dirigeants de la formation regroupant les meilleurs joueurs de 23 ans et moins en provenance du Canada et des États-Unis ont donné ce rôle à l’attaquant des Oilers d’Edmonton avant le premier match préparatoire de jeudi soir. Sean Couturier, des Flyers de Philadelphie, et Aaron Ekblad, des Panthers de la Floride, l’épauleront comme adjoints. «C’est un honneur. Je suis très heureux et je prends cette nomination avec humilité.
Par contre, plusieurs joueurs dans ce vestiaire auraient pu le porter», a déclaré le jeune prodige de 19 ans. À sa saison recrue l’an dernier dans la LNH écourtée en raison d’une fracture de la clavicule, McDavid a récolté 16 buts et 48 points en 45 rencontres. «On a parlé beaucoup entre nous, les dirigeants, sur comment on allait trouver notre groupe de leaders. MacKinnon salue la foule «On me huait quand je jouais ici avant! Les jeunots s’éclatent à Québec. C’est confirmé, l’équipe nord-américaine des 23 ans et moins est rapide, très rapide.
Les jeunes loups ont été sans pitié pour Équipe Europe, jeudi, lors de leur premier match préparatoire, l’emportant 4-0 devant une salle quasi comble de 18 005 spectateurs au Centre Vidéotron. Équipe Europe, avec une moyenne d’âge de 30,2 ans, a été battue de vitesse pendant une bonne partie de la soirée face aux nord-américains âgés en moyenne de 22,2 ans. «On dit depuis le début que cette équipe serait la plus rapide du tournoi, a reconnu l’entraineur européen Ralph Krueger. On est content de les affronter deux fois en matchs préparatoires. Pour nos joueurs qui reviennent de leur préparation estivale, c’est toute une cadence à maintenir.»
Les jeunots ont donné le ton en première période, dominant l’équipe Europe, sans toutefois pouvoir s’inscrire au pointage. À Québec pour se forger une identité. Les premiers joueurs d’Équipe Europe ont sauté sur la patinoire du Centre Vidéotron, lundi matin, dans le cadre du camp préparatoire qui servira à cette équipe composée de joueurs provenant de huit pays différents de se forger une identité.
Car l’équipe européenne ne représentera aucun pays directement. Elle a plutôt été composée des meilleurs joueurs européens dont l’équipe ne participe pas à cette Coupe du monde. Pour l’entraîneur de cette formation, Ralph Krueger, que les 23 joueurs composant Équipe Europe n’évoluent pas sous les couleurs de leur pays natal ne devrait pas changer leur sentiment d’appartenance. «Nous approchons ce tournoi comme une compétition où chaque joueur représente son pays. Coupe du monde de hockey 2016.