Deux employés de SFR tiennent des propos antisémites sur Periscope. Mardi un salarié d’une boutique SFR en région parisienne a tenu des propos antisémites sur Périscope.
Celui qui tient le téléphone pour se filmer rit avec son collègue qui insulte un client de “connard de juif”, avant de répondre que “ça vient du fin fond du trou du cul du coeur”, avant de répéter les propos antisémites. Puis une jeune femme passe devant la vitrine de la boutique et les deux hommes s’amusent à dire qu’elle est “mi-pute, mi-soumise”. Ils n’avaient peut-être pas intégré l’idée que l’application Périscope permet de diffuser des vidéos en live à n’importe qui et garde en mémoire les fichiers, accessible à tous, un fois la diffusion terminée.
Fermez les commentaires antisémites ! Il a suffi d’un sujet - le film d’Yvan Attal sur l’antisémitisme - des quelques lignes que je lui consacre sur le site et dans le magazine, et d’un seul quart d’heure pour que reprenne sur le site de Marianne la noria des commentaires hystériques.
J’ai l’habitude de ce défoulement qui témoigne du refoulement des égoûts sitôt que l’on effleure ces mots tabous : les juifs, Israël. Aucun de mes papiers, depuis des années, qui n’ait été suivi des baves usuelles de trolls ou peut-être de non-trolls, ce qui est encore pire. Au point qu’en prenant la plume, je sais déjà ce qui finira par se trainer, crapoteux, à peine le texte mis en ligne, en des éructations répétitives d’où il ressort, comme en ce lundi matin 30 mai, que le pire persiste à s’écrire.
Non pas le commentaire polémique, ni même hostile : celui-là est bienvenu ! Mais la haine toute nue, la bêtise crasse, l’ignorance accoutrée comme à l’accoutumée des haillons de la rumeur et des guenilles du complotisme. Céline Pina : "J'ai été traitée d'islamophobe et de raciste par ma famille politique" Juifs d’abord, journalistes et animateurs, ensuite? L’affaire est à manier avec prudence, mais elle me révulse.
Ce matin à l’antenne de France Inter, Colombe Schneck, (photo) a poussé une très saine colère en dévoilant une bien triste réalité, une insupportable dérive, le mot est faible, d’Internet. En effet, ma consœur s’est livrée à une petite expérience aux conclusions nauséeuses. En allant butiner sur la toile, et plus précisément sur le programme Google Search, elle s’est tout simplement aperçue qu’en cliquant sur les noms de journalistes et d’animateurs connus de tous, le deuxième mot le plus associé à leurs patronymes était le mot « juif ».
C’est ainsi que des gens du métier, comme Yves Calvi, Michel Denisot, Laurence Ferrari, David Pujadas, Naguy ou Schneck, elle-même, excitent tant et si bien la curiosité de très nombreux internautes que l’une des toutes premières informations communément recherchée à leur propos sur la toile porte sur leur origine supposée, avérée ou non, juive. Au dîner du CRIF, Manuel Valls confond antisionisme et antisémitisme. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Chambraud Pour son dernier dîner annuel à la tête du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Roger Cukierman aurait pu rêver d’un contexte moins sombre.
Devant les quelque 800 personnes qui se pressaient lundi 7 mars dans un grand hôtel parisien, devant une dizaine de ministres et presque autant de candidats à la primaire de l’opposition, le président du CRIF, qui achèvera son troisième mandat en mai, a décrit la situation actuelle des juifs en France : « Nous vivons une vie retranchée. Nous avons le sentiment angoissant d’être devenus des citoyens de deuxième zone. Sur Twitter, l’antisémite Jérôme Bourbon sort de l’ombre. Il est très difficile de prendre Jérôme Bourbon au sérieux.
Le directeur de Rivarol, hebdomadaire d’extrême droite, est coquet au point d’avoir changé de nom : il utilise son deuxième prénom, qu’il préfère à Fabrice. Il est aussi paradoxal : il reçoit dans une tour du quartier chinois de Paris, dans un appartement-bazar rempli de bricoles, alors qu’il assure n’aimer ni les immigrés ni le désordre (mais les « beaux uniformes fascistes »). Il n’a pas la cohérence d’un Donald Trump qui vit dans les dorures. Antisémitisme : "Un tiers des juifs veulent quitter la France" Victor et Salomon Malka (Bruno Coutier pour "l'Obs") Vous parlez de désarroi des juifs de France, et non pas de peur… - Salomon Malka : Le mot "désarroi" évoque une absence de repères, une perte de sens et l’idée qu’on ne comprend pas ce qui arrive.
C’est précisément ce qui se produit pour les juifs de France. Ils ont vécu trois ou quatre décennies dans une "pluralité heureuse", selon l’expression de Pierre Manent (1)… Depuis dix ans et la mort d’Ilan Halimi, torturé par le "gang des barbares", puis le choc de la tuerie de l’école Ozar Hatorah à Toulouse en 2012, les actes antisémites de Sarcelles ou de Créteil et l’Hyper Cacher, le judaïsme français est régulièrement tourmenté, agressé. - Victor Malka : L’attaque contre l’enseignant juif de Marseille le 11 janvier ajoute encore à cette sidération paralysante.
De quel antisémitisme parle-t-on ? Sciences Po exclut une étudiante pour des propos antisémites. Recevez nos newsletters : Lors d’un stage à l’ambassade de France à New-York, la jeune femme avait tenu, sur Facebook, des propos jugés «inacceptables » par la section disciplinaire de l’école.
Son exclusion est une première pour l’établissement. Amira Jumaa est définitivement exclue de Sciences Po Paris. L’étudiante de l’institut d’études politiques (IEP) parisien avait été licenciée de son stage à l’ambassade de France à New York après avoir tenu des propos antisémites particulièrement violents sur une page Facebook. La direction de Sciences Po avait alors immédiatement suspendu la jeune femme, convoquée par la suite devant la section disciplinaire de l’établissement. «Vous les Juifs devez apprendre ces leçons (…) Vous n’avez pas d’endroit où vivre dans ce monde - c’est pourquoi vous êtes du rebut et des rats, et vous êtes discriminés où que vous soyez. Corse : sept questions sur les violences qui secouent Ajaccio depuis Noël. Par Camille Caldini Mis à jour le , publié le Agression contre des pompiers, rassemblements islamophobes, interdiction de manifester et interpellations.
Ce grand week-end de Noël a été particulièrement secoué à Ajaccio, en Corse-de-Sud. A l'origine, un piège tendu à des pompiers dont deux ont été blessés, tout comme un policier, dans le quartier des Jardins de l'Empereur. Alors que le préfet a interdit les rassemblements et que les forces de l'ordre sont chargées de sanctuariser ce quartier sensible, la ville retrouve un peu son calme. D'où tout cela est-il parti ? Les responsables musulmans condamnent des « actes inqualifiables et intolérables » Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Les responsables musulmans de France ont condamné avec force, samedi 26 décembre, le saccage vendredi d’une salle de prière à Ajaccio par plusieurs centaines de manifestants après une manifestation qui a dégénéré.
Face à « ces actes inqualifiables et intolérables », le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, a appelé « l’ensemble des concitoyens au calme et à la sérénité ». Le CFCM « réaffirme son engagement total pour préserver la cohésion nationale et faire face à toute forme de violence, dans le respect des valeurs et des lois de la République », a assuré dans un communiqué M. Kbibech, en se disant « très touché » par un entretien dans la soirée avec le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve.
Simeoni : « Contraire à la Corse que nous voulons » «Il faut les tuer!»: à Ajaccio, les slogans anti-musulmans atteignent des sommets de haine. Les slogans sont brutaux et témoignent du franchissement d’un cap dans la haine de l’autre.
A Ajaccio, plusieurs centaines de personnes ont envahi vendredi 25 décembre une cité populaire, où deux pompiers et un policier avaient été blessés la nuit précédente dans des échauffourées. Une salle de prière musulmane a été saccagée, des exemplaires du Coran en partie brûlés. Le geste est déjà en soi un inquiétant symbole de la montée des tensions. Mais les cris proférés lors de la manifestation atteignent des sommets de haine. VIDÉO - Ajaccio : nouveaux incidents en marge d'une manifestation. La situation est toujours très tendue dans le quartier de l'Empereur où des CRS empêchent l'accès aux bâtiments à une centaine de manifestants dont certains crient ... Actualités > À Chaud > La situation est toujours très tendue dans le qua ... 717partages #Ajaccio La situation est toujours très tendue dans le quartier de l'Empereur où des CRS empêchent l'accès aux bâtiments à une centaine de manifestants dont certains crient "sales arabes montrez-vous" Au lendemain du saccage d'une salle de prière musulmane à Ajaccio par des manifestants qui protestaient contre l'agression subie par des pompiers dans la nuit de jeudi à vendredi, la situation est toujours très tendue dans le quartier des Jardins de l'Empereur.
Des journalistes sur place rapportent qu'une centaine de manifestants - dont beaucoup d'individus cagoulés - sont toujours sur place malgré l'important dispositif policier mis en place. Un barrage policier a été forcé par une partie de la foule aux environs de 15 heures. Ajaccio : qui sont ces manifestants qui ont saccagé la salle de prière musulmane. ISLAMOPHOBIE - "Arabi fora", "on est chez nous"... Les slogans lancés par les "manifestants" au moment de l'attaque de la salle de prière musulmane de la cité des Empereurs à Ajaccio vendredi 25 décembre, ont une connotation nationaliste et xénophobe indéniable. Très vite, du côté des représentants autonomistes fraîchement élus à la tête de la région, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, on a tenu à éviter tout amalgame entre aspirations nationalistes corses et xénophobie ou racisme.
Pour Jean-Guy Talamoni, ce qu'il s'est passé hier est un "acte inqualifiable sur une terre qui a institué la tolérance religieuse depuis le XVIIIe siècle", comme il l'a expliqué au micro de France Info. Idem du côté du président du Conseil éxécutif de Corse, Gilles Simeoni, qui a pointé des "actes racistes qui sont totalement contraires à la Corse que nous voulons construire". Pour autant, il paraît difficile de nier les liens existants entre les discours identitaires et l'expression de la parole xénophobe. Devant une assemblée juive, Donald Trump flirte avec l'antisémitisme. VIDÉO - Lors d'un meeting devant la Coalition juive républicaine, le prétendant à la Maison Blanche a cru bon de multiplier les stéréotypes sur les Juifs.
On l'accuse souvent de flirter avec la misogynie ou le racisme. Ce jeudi, Donald Trump a décidé d'user des clichés sur les juifs, devant une assemblée entièrement composés de... juifs. L'extravagant candidat à l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine prononçait un discours devant la coalition juive républicaine, un lobby. Selon plusieurs médias américains, celui qui fait la course en tête a commencé en mentionnant sa fille juive convertie, Ivanka Trump, avant de vanter les qualités de négociation, selon lui, de son public juif. Un jeune de 17 ans lynché par des islamophobes à Lyon. 18 novembre 2015 - 14h00 - Monde Un jeune musulman a été agressé violemment dans le centre-ville de Lyon par une dizaine d’individus issus d’un groupuscule radical identitaire.
Islamophobie: une jeune femme voilée agressée à Marseille. La Ligue de défense juive, "prête à en découdre" Par Tatiana Lissitzky Mis à jour le , publié le "Nous sommes armés et déterminés à défendre notre communauté. S'il doit y avoir des morts, il y en aura", prévient d'emblée un des membres de la Ligue de défense juive (LDJ). Échec du chargement de la page. Manuel Valls condamne des actes "intolérables" après des heurts aux abords d'une synagogue. Du bon et du mauvais racisme (selon le CRIF) Agression islamophobe près d'Orléans : l'agresseur présumé sous contrôle judiciaire. Pourquoi Marine Le Pen ne condamne pas les prières de rue des catholiques intégristes. Rassemblement à Argenteuil Samedi 22 juin.
M.Hollande parle « d’antisémitisme, d’Iran et de laïcité » aux juifs de France. Intervenant devant les participants au 2ème congrès des communautés juives de France, dimanche 2 juin, à Paris, le président de la République, François Hollande a assuré les juifs de France de "la lutte implacable" que mène le gouvernement français contre l'antisémitisme. Islamohobie : agression d'une femme voilée dans un bus à Paris. Un communiqué du CCIF nous rapporte une nouvelle agression qui a eu lieu le 30 juin dernier, dans un bus à Paris.
Une femme voilée agressée dans un bus à Paris : la police met en garde à vue la victime. Auxiliaire de vie, Mlle Lamia s’occupe de personnes âgées au quotidien. Le 30 juin 2013, vers 18 heures, Lamia prend le bus comme tous les autres soirs pour se rendre à son travail. Marine Le Pen en flagrant délit de détournement de laïcité. Une femme voilée agressée dans un bus à Paris : la police arrête la victime. Racisme: Marine Le Pen pourrait perdre l'immunité. Besançon : appel au meurtre de musulmans et tags nazis retrouvés sur deux mosquées.