Une offre d'emploi cherche un couple de gardiens, dont la femme sera moins bien payée. "Recherchons un couple de gardiens pour poste logé en copropriété à Paris (...).
Salaire : elle 1 400€ net mensuel / lui : 1 600€ net mensuel. " Postée sur le site indeed.fr, cette annonce du groupe Century 21 a suscité la colère de nombreux internautes, alors qu'en France, les femmes sont toujours victimes d'inégalités salariales. Comme le raconte le site Buzzfeed, un internaute a rapidement interpellé Laurent Vimont, président du groupe immobilier, afin de réclamer des explications sur cette différence de traitement. Ce dernier a aussitôt promis de mener "une enquête".
Le lendemain, l'annonce était supprimée. Contacté par Buzzfeed, Laurent Vimont précise que l'annonce évoquait en fait "deux postes avec des horaires différents", ce qui justifierait donc, selon lui, l'écart entre les deux salaires. Par ailleurs, cela n'explique pas tout. Colloque « Familles monoparentales : sortir de l’impasse » Formation à la suite d'un congé parental d’éduction et discrimination. Le manquement de l’employeur à l’obligation de faire bénéficier le salarié de retour de congé parental d’éducation d’une formation, ne constitue pas en soi une discrimination.
En l’espèce, une salariée danseuse de profession, et embauchée par divers contrats à durée déterminée d’usage, s’était absentée dans le cadre d’un congé parental d’éducation de quelques mois. À son retour, et après deux auditions, la société décide de ne pas renouveler son contrat, la salariée étant, selon le chorégraphe, dans l’impossibilité physique et esthétique de se produire sur la scène. Arguant du fait que l’employeur aurait dû faire bénéficier la salariée d’une formation à son retour de congé parental, formation par laquelle la salariée aurait pu bénéficier d’un programme d’aide et de soutien, la cour d’appel considère que la salariée a été victime de discrimination de la part de l’employeur.
Anne Tissoux Piot. Discrimination : une mère de jumeaux autistes obtient gain de cause. Meryem Duval et son mari Jean-Luc ont vécu un cauchemar pendant plus d’un an. Mais mercredi, ils ont gagné leur combat, rapporte « 20 Minutes ». Le Défenseur des droits, Dominique Baudis, a reconnu Pôle emploi coupable de discrimination à l'encontre de Meryem qui s’était vu refuser en 2011, le statut de demandeuse d’emploi au prétexte que ses jumeaux, Samy et Yanis étaient autistes. La bonne nouvelle est arrivée par courrier mercredi, précise « 20 Minutes ». Dans une lettre signée du Défenseur des droits il était ainsi écrit que Meryem pourrait obtenir son inscription rétroactive sur la liste des demandeurs d’emploi et qu’elle recevrait 3 000 euros pour le préjudice moral subi. « Depuis cette histoire, on a tout perdu, c’était inhumain.
Le combat de Meryem et Jean Luc Duval avait commencé en septembre 2011, lorsque les médecins ont annoncé au couple que leurs jumeaux âgés de 4 ans étaient autistes. Discrimination chez Celio sur l’allaitement en public. Discriminée en raison de son congé parental = 240.000 Euros. La SARL A…, filiale du Groupe B…, a été condamnée à 240.000 Euros de dommages-intérêts et indemnités pour discrimination par la Cour d’Appel de Montpellier pour avoir rompu le contrat de travail de son ex-Directrice à raison de son congé parental Aux termes de l’article L. 1132-1 du Code du travail, aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, en raison de son sexe ou de sa situation de famille.
Le 28 janvier 2011, le Conseil de Prud’hommes de Sète avait condamné la SARL A…, filiale du Groupe B…, à verser à son ancienne directrice près de 174.000 Euros pour avoir rompu son contrat de travail de façon abusive dans des circonstances brutales et discriminatoires. La salariée avait pour Avocat, Maître Éric ROCHEBLAVE, Avocat Spécialiste en Droit du travail au Barreau de Montpellier. L'Actualité du Droit du Travail - Part 1.
La lettre de licenciement de Monsieur X… mentionne : « vous n’hésitez pas à m’insulter sur Facebook, ce qui nuit évidemment à ma dignité personnelle mais également à mon entreprise puisque j’exerce sous mon nom propre, en écrivant : « la reprise jeudi je vais revoir une tête de con mdr fait chier… » Mieux encore, vous assumez ouvertement votre intention de me nuire : « de tt manier si il me vire il ferme sa boîte direct ».
L’ensemble de ces faits dénote un comportement particulièrement déloyal et malhonnête de votre part ainsi que votre intention de nuire par tous moyens à ma personne, à ma réputation et mon entreprise. » Cour d’Appel d’Amiens 21 mai 2013 n° 12/01638 Monsieur X… reconnaît avoir posté le message suivant sur le réseau Facebook : « X… en a marre de travailler avec des faux-culs ». Monsieur X… prétend par ailleurs, sans le démontrer, que cette injure publique a été proférée alors que Monsieur Y… avait déjà évoqué son intention de le licencier.