Spécialités du Sud-Ouest. Avec cent vingt produits alimentaires estampillés de qualité ou d’origine, Midi-Pyrénées est la première région à proposer une telle variété de spécialités culinaires régionales.
Outre le célèbre cassoulet et la saucisse de Toulouse, les restaurants de la Ville Rose déclinent à l’envie le canard et l’oie. Difficile de choisir entre le délicieux confit, l’excellent magret ou le foie gras exquis… il faut tous les déguster ! Savourez également les fromages du Sud-Ouest. Il y en a pour tous les goûts : au lait de brebis avec le Roquefort, au lait de vache pour le Bleu des Causses et le Laguiole, ou au lait de chèvre avec le Rocamadour.
Pour les amateurs de sucré, les spécialités ne manquent pas non plus. Cette jolie petite fleur typique de Toulouse se déguste de différentes façons. Histoire - Découvrir - Office de Tourisme du Canal Du Midi. Une des œuvres majeures du règne de Louis XIV (17ème siècle).
Permettant de relier l’Atlantique à la Méditerranée, ce chef-d’œuvre, dû au génie de Pierre-Paul Riquet, est une des fiertés du Languedoc. Autrefois, il apporta à la région sa prospérité commerciale. Aujourd’hui, le tourisme a pris la relève, et depuis son classement à l’UNESCO en 1996, le Canal du Midi jouit d’une notoriété mondiale. Les villages de Capestang et Poilhes sont situés sur le Grand Bief du Canal du Midi.
Dans ce secteur, on peut remarquer des éléments intéressants concernant l’aménagement du canal : ponts à arche plein cintre du 17ème siècle ; aqueducs faisant passer des petits ruisseaux sous le canal évitant son envasement ; épanchoirs assurant l’évacuation des trop pleins d’eaux lors de fortes pluies. Toulouse : guide voyage Toulouse. Fondation Bemberg. Parmi les œuvres exposées dans le cadre de la Fondation, la peinture occupe une place privilégiée, représentée par deux étapes capitales de son histoire.
Hôtel d'Assézat. Couvent des Jacobins. Un lieu patrimonial Le couvent des Jacobins est l’un des édifices les plus originaux de la ville.
Maison-mère de l’Ordre des Dominicains, fondé pour lutter contre le catharisme, il fascine par son architecture, ample et lumineuse, caractéristique du gothique méridional. A l'intérieur le célèbre "palmier" des Jacobins et ses 22 nervures soutiennent le chœur de l’église. Siège de l’université de Toulouse, il abrite les reliques de Saint-Thomas d’Aquin. L’édifice restauré a retrouvé sa splendeur d’antan, les vitraux modernes diffusent une lumière variant au fil des saisons.
Couvent des Augustins. Des dissensions avec le chapitre de la cathédrale Saint-Etienne n’empêchèrent pas l’avancement des travaux.
En 1341, l’église est complètement érigée. Cathédrale Saint-Etienne. Les archives font état d’une première mention en l’an 844, mais son histoire démarre réellement en 1073, avec la construction d’une nouvelle église romane sur les ruines de l’ancienne dont il ne reste aujourd’hui que de rares vestiges.
Capitole et son donjon. Un hôtel de ville prestigieux Devenu aujourd’hui l’hôtel de ville, le Capitole n’a pas changé d’emplacement depuis 1190, mais sa forme actuelle date de 1759.
Sa façade, conçue par l’architecte Georges Cammas, s’orne de huit colonnes de marbre rose symbolisant les huit Capitouls (magistrats municipaux), et de nombreuses statues, comme celles de Clémence Isaure ou encore Pallas Athéna. Sa cour intérieure est appelée Cour Henry IV, car une statue du roi, la seule réalisée de son vivant, trône au dessus d’un portail. Basilique Saint-Sernin. La basilique, splendeur romane Bâtie à partir du XIe siècle pour exalter la mémoire de Saturnin, premier évêque et martyr de Toulouse, la basilique Saint-Sernin est la plus grande église romane d’Occident.
" Il faut se laisser éblouir par l’incomparable vision qu’offre le chevet de l’église Saint-Sernin contemplé au soleil levant… ", a écrit l’abbé Jean Rocacher dans son ouvrage " Saint-Sernin " (Éditions du Zodiaque, 1990). On ne se lasse guère, en effet, de cette contemplation, tant la pérennité et la plénitude du lieu frappent les esprits les plus blasés. Alors, peut commencer un voyage, mille ans en arrière… Armoiries et emblèmes de Toulouse. Les Armoiries de Toulouse La plus ancienne représentation des armes de Toulouse est celle figurant dans le sceau attaché à une lettre des Capitouls au Roi Pierre II d'Aragon, en 1211, pendant la Croisade des Albigeois.
Au verso du blason, on trouve l'agneau nimbé, portant la Croix de Toulouse en bannière. L'agneau symbolise la force, il serait le signe premier de la ville et remonterait à l'époque romaine Selon Nicolas Berey (1663), la symbolique de l'animal s'expliquerait par le culte rendu à Jupiter, révéré sous la figure d'un bélier. Ce bélier païen aurait été par la suite représenté foulé par la Croix des Comtes de Toulouse. Le bélier finira christianisé, en agneau pascal, tête nimbée, portant la Croix en bannière, ou passant devant elle et l'adorant. Au recto du sceau, on trouve le Château Narbonnais (à gauche) et la Basilique Saint Sernin (à droite).
La croix du Languedoc La croix du Languedoc s'impose dans le domaine toulousain au début du XIIIe siècle.