Citoyenneté mondiale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Se nomment citoyens du monde certaines personnes estimant que les habitants de la Terre forment un peuple commun avec des droits et devoirs communs, en dehors des clivages nationaux, et qui placent l'intérêt de cet ensemble humain au-dessus des intérêts nationaux. Définition[modifier | modifier le code] Le concept général de citoyen du monde trouve son origine dans le stoïcisme, dont les philosophes sont les premiers à s'identifier comme citoyens du monde. Il a des affinités avec l’existentialisme, courant philosophique qui met en avant la liberté individuelle, la responsabilité ainsi que la subjectivité, et considère chaque homme comme un être unique qui est maître de ses actes et de son destin.
Certains citoyens du monde peuvent : s'engager pour développer un sentiment d'identité commune et de coexistence pacifique entre les habitants de la planète, tout en respectant les diversités locales et/ou. Transnationalisme. Bertrand Badie. Pour les articles homonymes, voir Badie.
Bertrand Badie, né le 14 mai 1950 à Paris, est un politiste français spécialiste des relations internationales[1],[2]. Il est professeur des universités à l’Institut d’études politiques de Paris et enseignant-chercheur associé au Centre d’études et de recherches internationales (CERI)[3]. Biographie[modifier | modifier le code] D'origine iranienne, Bertrand Badie est diplômé en science politique de l'institut d'études politiques de Paris, de l'INALCO et titulaire d'une licence en Droit de l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne. Il soutient une thèse de science politique en 1975 sur Stratégie de la grève, Pour une approche fonctionnaliste du Parti communiste français, avant de réaliser un DEA en histoire du XXe siècle à Sciences Po en 1977.
Il dirige avec Dominique Vidal la collection « L'état du monde » aux éditions de La Découverte ; ils publient chaque année, depuis 2010, un ouvrage collectif sur l'état du monde actuel. James Rosenau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Biographie[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Diplômé du Bard College en 1948, il obtient ensuite un master à l'université Johns-Hopkins puis un Ph.D en science politique à l'université de Princeton en 1957[2]. Carrière universitaire[modifier | modifier le code] Il a enseigné à l'université Rutgers et à l'université d'État de l'Ohio avant de rejoindre l'université de Californie du Sud en 1973[2].
Il quitte l'université de Californie du Sud en 1992 en tant que professeur émérite pour intégrer l'université George Washington[2]. Contributions scientifiques[modifier | modifier le code] Ses travaux de recherche portent sur la politique internationale, les relations internationales et la mondialisation[3]. Références[modifier | modifier le code] ↑ (en)Paul Hayes, « Memorial, James Nathan Rosenau » [archive], sur www.findagrave.com, (consulté le 12 mars 2013)↑ a, b et c (en) Princeton Alumni Weekly, « Memorial, James N. Transnationalisme et Immigration M. Martiniello. Phénomène diasporique, transnationalisme, lieux et territoires. (Re)penser le transnationalisme et l’intégration à l’ère du numérique. Vers un tournant cosmopolitique dans l’étude des migrations internationales ? 1L’augmentation de la mobilité des personnes, des idées et des biens et la généralisation de l’usage des technologies d’information et de communication (TIC) à tous les niveaux du quotidien sont, depuis quelques décennies, deux principaux moteurs des processus à l’origine des mutations sociales de notre monde en voie de globalisation.
Ce sont aussi deux phénomènes qui engendrent une transformation significative dans la façon dont les individus perçoivent leur position dans le monde. Le changement social qui en résulte est révélateur, d’une part, du sens des pratiques transnationales des migrants et, d’autre part, des défis auxquels sont confrontés les projets politiques d’intégration des migrants mis en œuvre par les États d’accueil. 2Dès lors, il devient urgent d’engager une réflexion épistémologique permettant d’aborder différemment le transnationalisme et l’intégration des migrants à l’ère du numérique. C’est l’objectif que se donne cet article.