LE RÊVEUR DE LA FORÊT. © Laure Prouvost – Parle Ment Branches (2), 2017.
Branches, Plâtre, Peinture, 160 x 80 cm Courtesy de l’artiste et Galerie Nathalie Obadia, Paris / Bruxelles. Crédit photo: Bertrand Huet / tutti image. Guillaume Apollinaire | Karel Appel | Jean Arp | Bard Patrick | Christophe Berdaguer et Marie Péjus | Hicham Berrada | Joseph Beuys | Constantin Brancusi | Victor Brauner | Marc Couturier | André Derain | Jean Dubuffet | Max Ernst | Pascale Gadon- Gonzalez | Paul Gauguin | Alberto Giacometti | Natalia Gontcharova | Félix Gresset | Jean-Luc Hervé | Eva Jospin | Laurie Karp | André Masson | Ariane Michel | Edvard Munch | Eadweard Muybridge | Estefania Peñafiel Loaiza | A. R. Quand le lien organique à la forêt inspire les artistes. Tewfik Hakem s'entretient avec les commissaires de l’exposition, Le rêveur de la forêt, Noëlle Chabert et Jeanne Brun, au Musée Zadkine, jusqu’au 23 février 2020.
De Guillaume Apollinaire à Hicham Berrada, en passant par Joseph Beuys, Constantin Brancusi ou Paul Gauguin, Alberto Giacometti, Eva Jospin, Giuseppe Penone, Javier Pérez ou Laure Prouvost ou encore, Auguste Rodin...., et puisant à des sources multiples, qu'il s'agisse de poésie, de philosophie ou de sciences, Le Rêveur de la Forêt va croiser les époques, les médiums et les genres. A FOREST, exposition collective, ISELP, Bruxelles. Communiqué de presse Pour sa rentrée 2018, l’ISELP présente A FOREST.
L’exposition rassemble une dizaine d’artistes mobilisés de manière directe ou indirecte par le monde végétal et ses modalités d’organisation en systèmes complexes, qu’on appelle des écosystèmes. Arbres, plantes, mousses, lichens… Bien plus élaborés que nous avons pu le croire pendant longtemps, ces êtres ont développé de multiples stratégies d’extension, de reproduction, de survie, de multiplication. Ces stratégies engagent des capacité d’interactions assimilables à des formes particulières de langage. © ArtCatalyse International / Marika Prévosto 2018. Maria Thereza Alves mène une étude sur l’évolution linguistique des habitants de l’île de la Réunion qui fuirent l’esclavage pour se cacher dans la forêt.
Olga Kisseleva, quant à elle, traduit le langage des arbres avec le soutien d’un laboratoire de botanique de la Sorbonne. Exposition du 21 septembre au 15 décembre 2018. Pep Vidal, Who Wants to Be an Impatient Gardener? A FOREST – ISELP - Institut Supérieur pour l’Étude du Langage Plastique. Visuel : A.Debeauvais © ISELP 2018 Voir tous les événements autour de l'exposition A FOREST FR - L’exposition A FOREST rassemble des artistes mobilisés de manière directe ou indirecte par le monde végétal et ses modalités d’organisation en systèmes complexes, appelés écosystèmes.
Arbres, plantes, mousses, lichens : bien plus élaborés que nous avons pu le croire pendant longtemps, ces êtres ont développé de multiples stratégies d’extension, de reproduction, de survie, de multiplication. Ces stratégies engagent des capacités d’interactions assimilables à des formes particulières de langage. La prise de conscience du degré de sophistication des êtres végétaux (plus largement du vivant) contribue à bouleverser aujourd’hui la définition des frontières entre humain et non humain, nature et culture, animé et non animé.
EN - The exhibition A FOREST brings together artists mobilised directly or indirectly by the plant world and their method of organisation in complex systems, called ecosystems. Monflanquin - POLLEN : : : REFUGES PERCHÉS Roland Fuhrmann : : : du 28 sept. au 2 nov.... Mercredi 26 septembre 2018 L’association POLLEN / artistes en résidence à Monflanquin a le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition le vendredi 28 septembre 2018 à 18h30 REFUGES PERCHÉS Roland Fuhrmann Accueilli en résidence à Monflanquin en 2008, l’artiste allemand Roland FUHRMANN s’était intéressé aux palombières, singulières cabanes élaborées par les chasseurs du Sud-Ouest.
Roland FUHRMANN avait l’ambition de prolonger son étude sur la diversité de ces structures fantasques perchées dans les arbres. Son nouveau projet conduit au fil de l’année 2018 interroge encore ces architectures de retour à l’état sauvage où l’homme et le gibier se côtoient et se confrontent. CRP/ Centre régional de la photographie Hauts-de-France. L’exposition personnelle que le CRP/ consacre à l’artiste Jean Luc Tartarin propose aux visiteurs de se plonger dans l’épaisseur des images à travers une sélection de photographies issues des séries Entre(s) 2013 et Arbres 1983-1989.
Si l’exposition Le génie des arbres, extraits 1983-2013 confronte différentes séries de cet artiste développant une œuvre photographique exigeante depuis les années 70, ce n’est pas ici sur un mode rétrospectif : le parcours d’œuvres proposé permet de dérouler et de comprendre un processus créatif singulier, une recherche constante qui s’intéresse à la matière de l’image, à l’émulsion photographique ; la photographie partage avec la peinture le projet de révéler et de réinventer le réel et dialogue depuis ses origines avec elle. Ici c’est le motif du paysage et de la forêt qui est le support de ces expérimentations.