Agriculture. Les petites fermes savent être «utiles» Une alimentation de proximité pour couper court aux crises ? (vidéo)
TEDxManhattan - Paul Lightfoot - BrightFarms: A Produce Supply Chain Revolution. TEDxManhattan - Curt Ellis - FoodCorps. FoodCorps. Can FoodCorps Get America to Eat Healthfully? As a member of both the Hopi and Pima tribes of Arizona, David Pecusa is more than familiar with the ills of the American food system.
The Hopi and Pima, like many other Native American tribes, suffer from dangerously high levels of obesity, higher than Americans nationally — and it's not like the rest of the population is in great shape. The possible causes are many — genetics, stress, poverty — but there's little doubt that one of the biggest problems is simply food. Native Americans who live on reservations often lack access to fresh, wholesome food, while at the same time they've lost connection to their own healthier traditional diets. "Hopi people call themselves the 'farmers of the desert,'" says Pecusa. "Growing food and living off the land is who we are as a Hopi people, and if we don't do this anymore we can't call ourselves Hopi anymore. " That's something Pecusa is trying to change — and he's not alone. TEDxManhattan - Patty Cantrell - New Roads to New Markets.
Patty Cantrell (pattycantrell) sur Twitter. Regional Food Solutions. Incroyables comestibles. François Rouillay, les Incroyables Comestibles France (Docu) [VF] François Rouillay est le représentant en France des Incroyables Comestibles, ce mouvement né en Grande-Bretagne, à Todmorden.
Nous l'avons rencontré chez lui, à Colroy-la-Roche, en Alsace, où ont émergé les premiers bacs de l'hexagone. François nous retrace l'histoire des Incroyables Comestibles, sa pollinisation un peu partout en France et dans le monde, différentes initiatives à souligner. Par ailleurs, il nous explique la démarche de ce mouvement, ses cinq étapes, comment faire pour se lancer, sa philosophie. « L'abondance est le fruit du partage », tel est le slogan des Incroyables Comestibles. C'est un changement de regard porteur d'un changement de société : la terre est généreuse, elle a de quoi nous nourrir en abondance et, si l'on choisit d'abandonner la peur du manque, nous pouvons contribuer à créer cette abondance et à être ce changement que nous voulons pour le monde. « Si tu sèmes une graine d'un Incroyable Comestible dans le sol, la terre t'en rend cent fois plus...
François Rouillay, les Incroyables Comestibles France - Incredible Edible. Incroyables Comestibles Bretagne et Pays de la Loire.
Alimentation : Qui empoche quoi quand on passe à la caisse. Votre steak est emballé, pesé et bien rangé sur l’étal.
D’un geste nonchalant, vous le placez dans votre chariot et continuez votre balade entre les rayons. Vous en oublieriez presque que votre pièce de viande n’est pas venue là à pattes. Si elle est ici, c’est grâce au travail d’(au moins) un agriculteur, un industriel, un intermédiaire, un cariste et bien d’autres encore. Autant de gens dont vous ne verrez jamais la trombine mais que vous allez, indirectement, payer en passant à la caisse.
Slow Money: Investment strategies appropriate to the realities of the 21st century - Slow Money. Slow Money (SlowMoney) sur Twitter. ISM: Inspired by Slow Money. Ralentir l’argent : Woody Tasch et le “slow money” L’argent va trop vite.
Trop de titres sont échangés à vitesse accélérée au gré de décisions à court terme. C’est le constat posé par Woody Tasch, investisseur et fondateur du mouvement « slow money ». Il propose une autre façon d’investir : moins obsédé par le rendement rapide, et soucieux de financer l’économie locale, et en particulier l’agriculture. D’ailleurs, c’est en se penchant vers la terre qu’on comprend mieux la philosophie « slow money ». « L’agriculture industrielle considère le sol comme un support pour les plantes que l’on gave de substances chimiques synthétiques de manière à en optimiser le rendement. Pour la finance industrielle, les entreprises sont un support permettant le gavage des capitaux et la maximisation du rendement », explique Woody Tasch.
Slow Money. Woody Tasch: Slow Money. SEMENCES. Détroit passe au vert. City funding will help school gardens take over NYC. New York City is working on a school garden revolution.
The city just awarded grants to 29 public schools to establish or expand school gardens, adding to the 300-ish gardens currently in operation. The goal, according to director of garden-boosting nonprofit GrowNYC, is "to have a garden or access to a garden in every public school in the city. " They've got a ways to go — there are 1,600 schools — but NYC mayor Bloomberg says he's committed to the initiative.
It's really cute to see what the kids are saying about the gardens, which are secretly about teaching them healthy eating, sustainable living, and a dollop of science, not really just about playing in dirt. Our Towns - New York Local-Food Movement Quietly Thrives. World's Largest Urban Farm Planned for the City of Detroit. Hantz Farms LLC (1) Le petit producteur : Qui sont nos producteurs ? L'avenir de l'agriculture passe par le local et le Petit producteur - La plume dans les champs. Circuits courts. Circuits courts. Www.millenaire3.com/uploads/tx_ressm3/espaces_naturels_GL2010.pdf.
Ddata.over-blog.com/xxxyyy/4/82/61/49/Semaine-d-ingenieur/Semaine-d-ingenieurs/RAPPORT_FINAL_TV. L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? - La vi. N’en déplaise aux architectes qui rêvent de potagers verticaux, aucune ville au monde n’est en mesure d’assurer son autosuffisance alimentaire en l’état actuel des savoir-faire de notre civilisation.
En revanche, cette autosuffisance peut être imaginée à l’échelle d’une région urbaine impliquant au minimum sa périphérie rurale. On peut dès lors se demander quelle doit être l’échelle de cette région et dans quelle logique spatiale elle doit être comprise. De ce point de vue, les différentes fonctions que l’agriculture est appelée à remplir vis-à-vis de la ville ne relèvent pas du même type d’espace. L’approvisionnement alimentaire, inscrit de longue date dans une logique d’échanges commerciaux, relèverait plutôt d’un espace compris comme un réseau, alors que les fonctions environnementales ou paysagères, non délocalisables par nature, relèveraient davantage de ce que Roger Brunet appelle une aire dans sa typologie des chorèmes [1].