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Jacques Weber

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Reconsidérer notre rapport au Vivant. Jacques Weber : biodiversité et économie. Jacques Weber, itinéraire d’un économiste passe-frontières. 18/09/2013 - Article Provocateur, visionnaire, pédagogue, tel est Jacques Weber, économiste et anthropologue, qui a su fédérer de nombreuses disciplines et, par ses travaux sur les modes d’appropriation de la nature, la gestion des ressources renouvelables et la biodiversité, tracer des pistes innovantes sur les grandes questions du XXIe siècle.

Jacques Weber, itinéraire d’un économiste passe-frontières

Provocateur, visionnaire, pédagogue : tels sont les principaux traits de la personnalité de Jacques Weber qui se dégagent de cet ouvrage à travers une douzaine d’articles de l’auteur et leur relecture par des confrères et disciples, d’horizons fort divers, enrichis de témoignages sur la contribution de ce passeur de frontières. Depuis ses travaux sur l’économie des pêches et du développement, Jacques Weber n’a eu de cesse d’examiner les contextes locaux et de montrer les décalages entre les pratiques de gestion des écosystèmes et le « prêt à penser », qu’il soit académique ou promu par les bailleurs de fonds. Femke Groothuis: How Taxes Can Save the World. Www.fipan.fr/jweber.pdf. Www.fipan.fr/jweber.pdf.

Jacques Weber, biodiversité, économie et entreprises. Www.unesco.org/science/doc/PLANETE_avril_juin_09WEBintervw.pdf. Jacques Weber : biodiversité et économie - une vidéo Actu et Politique. Jacques Weber : « Il faut taxer toutes les consommations de nature » Depuis la révolution industrielle, les entreprises puisent sans compter de quoi faire fructifier leurs résultats dans la biodiversité.

Jacques Weber : « Il faut taxer toutes les consommations de nature »

Et si ce recours à la nature se retrouvait taxé ? L’économiste et anthropologue Jacques Weber détaille cette nouvelle donne qu’il appelle de ses vœux. Pourquoi les entreprises ont-elles soudain envie de se mêler de biodiversité ? Je ne suis pas psychanalyste des entreprises, je suis économiste. Il y a cinq ans, quand nous avons débuté nos recherches avec un certain nombre de sociétés et l’association Orée (1), nous cherchions à évaluer le niveau de dépendance des entreprises par rapport à la biodiversité. Vous estimez, en fait, que le monde économique n’a pas le choix. Mais c’est une évidence !

C’est une révolution économique ! Je ne sais pas ce que « vert » veut dire, ni « révolution économique ». Avec en point de mire, comme on l’a déjà fait pour la mesure carbone, un « bilan biodiversité ». C’est l’idée. Vous évoquez un monde qui change. Jacques Weber et la biodiversité. Vendredi 29 octobre 2010 5 29 /10 /Oct /2010 07:46 J'ai une grande admiration pour Jacques Weber.

Jacques Weber et la biodiversité

Ce chercheur, travaillant au CIRAD (Centre de Coopération International en Recherche Agronomique pour de Développement), cet intellectuel, économiste et anthropologue, réfléchit aux interactions entre écologie et économie. Il est le seul, à ma connaissance, qui ait compris la nécessité de nouvelles régulations qui permette de construire une nouvelle prospérité sans forcément la lier au "vieux" concept de croissance. Ecrivant sur cette question depuis fin 2006, je partage cette conviction de la nécessité de nouvelles régulations (Weber parle joliment de "basculement des régulations") dans les champs économiques et politiques. Je suis persuadé comme lui que la fiscalité est un outil crucial pour construire ce basculement. Bien entendu, nous ne sommes pas d'accord tous les deux sur de nombreux points. Correspondance de Jacques Weber.

Jacques Weber, m'a envoyé le message suivant, après avoir lu mon article intitulé Jacques Weber favorable à la fiscalité environnementale.

Correspondance de Jacques Weber

Je le publie avec son accord. Ces arguments sont d'une grande richesse et feront avancer ma réflexion sur la question. J'aurai l'occasion d'y revenir: Merci pour cet article sympathique sur "fiscalité-environement" ! Quelques remarques - Je ne suis pas directeur du Cirad, lequel est Gérard Matheron, mais ne suis que "directeur de recherches", bref, chercheur de cet institut. et, accessoirement, enseignant à l'Ehess et Paris 6. - Il y a entre nous de sérieuses incompréhensions 1.

Je ne raisonne pas dans le cadre d'un "comment faire mieux de la même chose", mais je raisonne aux extrêmes, pour, ensuite, voir ce qui est possible ou non. 3.- mon problème n'est pas la fiscalité, mais la crise que je considère être une crise écologique à symptômes financiers et à coût social. La vie, quelle entreprise ! Pour une révolution écologique de léconomie de Robert Barbault et Jacques Weber. Pour les scientifiques de l'environnement, et surtout pour les météorologistes, le mois d'octobre 2011 a été particulièrement prometteur en nouvelles observations spatiales, avec la mise en orbite de plusieurs satellites: le 12 octobre, lancement depuis l'Inde du satellite Megha-Tropiques, satellite météorologique destiné à la recherche atmosphérique ; le 21 octobre, première mission depuis Kourou de la fusée russe Soyouz qui met en orbite les deux premiers satellites Galileo du système de navigation européen ; le 28 octobre, lancement du satellite américain à orbite polaire NPP, précurseur de la nouvelle série de satellites météorologiques américains défilants NPOESS, depuis la base américaine de Vandenberg en Californie.

La vie, quelle entreprise ! Pour une révolution écologique de léconomie de Robert Barbault et Jacques Weber

Qu'apportent ces satellites à la communauté météorologique ? La mission Megha-Tropiques résulte d'une action conjointe des agences spatiales française (Cnes) et indienne (Isro). La masse du satellite Megha-Tropiques est d'environ une tonne.