Le vertigineux avenir des échanges exécutables. La 11e édition de la conférence Lift qui se tenait à Genève s’est ouverte avec une session sur la fameuse Blockchain.
Cette technologie cristallise aujourd’hui tous les espoirs de décentralisation et d’autonomie, à la suite de tant d’autres technologies qui ont connu leur heure de gloire avant d’être assimilées sans avoir vraiment réalisé ces mêmes promesses. Comme si cette longue histoire de déceptions et d’échecs n’avait finalement eu aucun impact sur l’enthousiasme des évangélistes des nouvelles technologies.
A croire que la révolution technologique est toujours une révolution à venir… Blockchain : la technologie ultime ? Joseph Lubin (@ethereumjoseph) est aujourd’hui l’un des grands artisans de la Blockchain. Image : Joseph Lubin sur la scène de Lift, photographié par Ivo Naepflin. Le protocole de la chaîne de bloc est né de recherches sur les cryptomonnaies, c’est-à-dire, les monnaies chiffrées opérées via les technologies numériques.
La réalité virtuelle : une technologie qui vaudra 80 milliards de dollars en 2025. La réalité virtuelle et augmentée pourrait représenter le futur de l'informatique, et avoir un impact aussi transformateur sur la société que l'avènement du PC ou du smartphone.
C'est du moins ce que prédit Goldman Sachs Research dans une étude publiée le 11 février, dans laquelle elle anticipe que le marché atteindra 80 milliards de dollars en 2025 (soit la taille actuelle du marché des ordinateurs de bureau). 3.5 milliards d'investissements Goldman Sachs rappelle que 3,5 milliards de dollars ont été investis lors de 225 opérations de capital risque au cours des deux dernières années, sans compter les 2 milliards qu'a dépensé Facebook pour acquérir Oculus.
Comme avec les PC ou les smartphones, la banque s'attend à ce que de nouveaux marchés soient créés, et que les marchés existants soient bouleversés. La croissance du marché se ferait cependant beaucoup moins vite. 3 scénarios 9 marchés verticaux. Journée sans téléphone mobile : et si on décrochait ? Pour l’expert en comportement Thierry Le Fur, il est indispensable de trouver « les conditions d’un usage adapté ».
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Marlène Duretz Une journée sans téléphone mobile ? Depuis 2001, Phil Marso, instigateur de la journée mondiale sans téléphone mobile, encourage à réfléchir sur le « mobilou » chaque 6 février, le jour de la saint Gaston – et sans déplaire à Nino Ferrer et à son « téléphon qui son’/Et y a jamais person’ qui y répond ». Autant demander l’impensable et tenir à l’impossible une majorité de détenteurs de ce doudou connecté, que 60 % des Français consultent dans la première heure suivant leur réveil et que 30 % dégainent entre dix à vingt-cinq fois par jour, et 13 % cinquante fois et plus.
En considérant que les enfants sont, dès l’âge de 2 ans, derrière les écrans, « nous serons en moyenne connectés plus de cent mille heures, à l’échelle d’une vie, comptabilise Thierry Le Fur. A quoi reconnaît-on une addiction numérique ? L’allaitement maternel permettrait d’éviter 823 000 décès d’enfants par an, selon une étude scientifique. La généralisation de l’allaitement maternel permettrait d’éviter les décès de 823.000 enfants et de 20.000 mères chaque année, tout en économisant 300 milliards de dollars par an, révèle une étude publiée par l’hebdomadaire scientifique The Lancet.
L’allaitement maternel limite le risque d’infections chez les enfants, améliore leur intelligence et les protège probablement contre le surpoids et le diabète. En outre, il jouerait un rôle préventif pour le cancer chez les mères. Cette étude est l’analyse la plus approfondie réalisée à ce jour des bénéfices sanitaires et économiques de l’allaitement maternel. En 2013, une étude du Lancet sur la nutrition de la mère et de l’enfant établissait déjà que 800.000 décès d’enfants pourraient être évités chaque année grâce à l’allaitement maternel. Le taux d’allaitement maternel varie énormément en fonction des pays. Source : The Lancet Lire aussi : Des milliers de bébés exposés à un gaz toxique et interdit. Faut-il arrêter de manger de la viande ? Selon l’OMS, la viande rouge est probablement cancérogène, et la viande transformée l’est de manière avérée.
Peut-on, et doit-on, pour autant se passer de viande ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis La viande rouge – provenant des muscles de tout mammifère –, classée « cancérogène probable pour l’homme », et la viande transformée – incluant la charcuterie et les plats cuisinés –, cancérogène avéré. En annonçant ces résultats, lundi 26 octobre, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a jeté une ombre sur notre consommation de viande. D’autant que la monographie du CIRC, qui analyse huit cents études, pointe avant tout les risques de contracter un cancer colorectal, qui touche quarante-deux mille personnes par an et en tue dix-sept mille cinq cents, selon l’Institut national du cancer.