Un mythe s'écroule : le consommateur rationnel n'existe pas. Nouvelle étape dans notre découverte des “techniques secrètes pour faire craquer le consommateur” avec une affirmation qui remet en cause une grande partie de l’enseignement en économie et en marketing tel qu’il est encore largement pratiqué (et appliqué). On a longtemps fait le pari, dans les départements marketing et les écoles, que le consommateur exerce ses choix en analysant rationnellement, le mix produit, c’est à dire l’offre qu’on lui propose. Il n’en est rien ! Les échecs du marketing Au fil du temps, les traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de discussion ont montré leur limite. C’est bien connu que 80 % à 90 % des produits lancés sur le marché, échouent au cours de la première année.
Pourtant, des études ont précédé leur lancement. Les questionnaires sont biaisés, le fait même de poser la question, fausse la réponse. Non le consommateur n’agit pas rationnellement ! Le deuil du consommateur rationnel et prévisible. Emotion, quand tu nous tiens... Une nouvelle génération d'études. - Les fondamentaux du marketing - Etudes. Hal-bioemco.ccsd.cnrs. E-commerce : les pratiques des cyberacheteurs... 35 millions d’adeptes de l’achat en ligne. Plus d’un Français sur 2 s'est adonné à des achats sur des sites d’e-commerce en 2015, soit 2% de plus qu’en 2014, d’après l’observatoire du consommateur connecté, présenté par la Fevad et Médiamétrie//NetRatings le 22 septembre 2015. Les internautes plébiscitent l’habillement, 44% d’entre eux ont acheté un produit de cette catégorie sur Internet, devant les voyages et le tourisme, pour 38% des cyberacheteurs, et 35% se sont offert des produits culturels.
Remarquable, 73% des acheteurs de la catégorie voyage et tourisme ont effectué ce type d’achats uniquement sur Internet au cours des 6 derniers mois. Le web-to-store plus fort que le store-to-web 68% des acheteurs en magasins, soit deux acheteurs sur trois, se sont renseignés sur le web avant d’acheter en magasin, ils sont même 53% à utiliser leur mobile en magasin. Amazon en tête des sites e-commerce La Fevad a aussi réalisé le top 5 des sites e-commerce les plus consultés.
Infographie : les pratiques des consommateurs connectés en 2015. Comment s'articulent leurs points de contact avec les marchands ? Sur quels sites d'e-commerce achètent-ils et lesquels recommandent-ils ? Médiamétrie répond. En 2015, 78% des internautes français sont également des cyberacheteurs, selon le dernier Observatoire du consommateur connecté de Médiamétrie//Netratings pour la Fevad.
Ces 34,7 millions d'acheteurs en ligne visitent avant tout Amazon (16,2 millions de VU), qui devance assez largement Cdiscount (9,9) et Fnac.com (7,7). La domination de l'Américain est plus marquante encore lorsqu'on considère les achats, avec une pénétration de 58%. Suivent Cdiscount à 27% et Vente-privee.com à 26%. Les sites marchands les plus recommandés ne sont cependant pas exactement les mêmes. L'Observatoire du consommateur connecté examine également les nouveaux comportements d'achat.
Le comportement de consommation des collégiens passé au crible. Après la fièvre de la rentrée des classes et avant l'emballement de Noël, le cabinet Junior City présente dix chiffres-clés sur le comportement, les usages et habitudes des 11-14 ans. Ces informations proviennent de l'étude barométrique Kids & Teens' Mirror, menée en face-à-face à domicile auprès de 500 familles avec enfants de 4 à 14 ans en avril-mai 2015. 64% des 11-14 ans font des achats avec leur argent de poche Pour cerner ces pré-adolescents, Junior City les a questionnés aussi bien sur leur argent de poche et autres économies, mais également sur leurs supports de prédilection pour les publicités ou les formats de promotion les plus attrayants pour eux.
Si les garçons dépensent en premier pour les jeux vidéo, chez les filles, les vêtements restent une valeur sûre. Explications en image : Quel est le comportement des consommateurs du luxe ? Vos manières à table en disent long sur votre caractère. [Tribune] Comprendre les habitudes des clients pour mieux les fidéliser. Chaque jour, le grand public est littéralement submergé de dizaines (si ce n'est de centaines) de messages marketing, émanant de marques qui souhaitent toutes capter l'attention des consommateurs pour les inciter subtilement à modifier leurs attitudes, comportements et décisions d'achat.
Il est clair que les marketers doivent identifier un levier sûr pour se démarquer de leurs homologues, marquer leur territoire et comprendre leurs clients, trois facteurs essentiels de succès. Le Big Data, un levier pour fidéliser les clients Voici une question à l'intention des marketers, des publicitaires et des professionnels de la relation client : imaginez que vous disposiez d'une visibilité fondée sur les données sur chaque client, associée à une bonne compréhension des comportements clients et de leurs habitudes au quotidien ?
Que diriez-vous de pouvoir capitaliser sur une telle visibilité pour nouer une relation encore plus forte avec vos clients ? Le pouvoir des habitudes. Alimentation: pourquoi le consommateur se moque des pesticides - Environnement. La pomme est le fruit préféré du Belge, il en consomme en moyenne 9,2 kilos, selon une étude réalisée par GfK Panel Services auprès de 5 000 familles du royaume en 2013. Le fruit aux courbes toujours plus parfaites a cependant un secret révélé récemment par des journalistes de l'émission Envoyé Spécial France 2. Il est l'un des plus gourmands en pesticides: 30 pulvérisations de produits chimiques par récolte, en moyenne. Parmi ces substances, un conservateur, appliqué après la récolte, permet de garder les pommes intactes pendant douze mois. De plus en plus d'études démontrent en effet que les pesticides sont dangereux pour la santé. Qu'est-ce qui motive le consommateur dans son acte d'achat ?
"Le consommateur lambda achète en premier lieu des produits qui sont ou semblent frais et beaux à ses yeux. Ne devrait-il pas être alarmé par les études sanitaires qui incriminent des résidus de pesticides présents dans certains aliments? Des alternatives sont-elles possibles ?