Collaboratif-Info. Hugging or not hugging. Il est un peu difficile de trouver une traduction littérale du terme anglais « hugging » sans en perdre l’essence et les sens.
Si l’on cherche « to hug » dans le dictionnaire, la traduction proposée est « s’étreindre, se serrer dans les bras, se réjouir ». Nous garderons donc le terme hug qui a le mérite d’être très court et très tendre pour nos oreilles. ARTE - Thema - Comment être acteur de son bien-être? Vivre sans peur. Vivre sans peur, dans le contexte socio-économique actuel ?
Un doux rêve, pensez-vous. C’est pourtant ce que nous enseigne Brenda Shoshanna dans son livre intitulé "Vivre sans peur". Voici un avant-goût de cette lecture. Suivez le guide. Se sentir en sécurité Bien souvent, notre besoin de sécurité, affective ou financière, ne nous permet pas de quitter une relation amoureuse ou un emploi qui ne nous conviennent plus. Identifier ses peurs Dès notre enfance, la peur s’immisce dans notre vie et ne nous quitte plus. Prendre des risques Avant de vous fixer de nouveaux objectifs, il est nécessaire de vous demander ce à quoi vous êtes prêt à renoncer pour avancer. Définir ses rêves Enfant, nous avons plein de beaux rêves en tête.
Apprendre à dire non Pourquoi ces trois petites lettres sont-elles si difficiles à prononcer ? Donner aux autres Apprécier ses erreurs. J’aime et je partage : Plaidoyer pour la fraternité » Triple C. Je viens de terminer une lecture.
Le livre est bien corné et annoté. J’ai pris 1h ce matin dans le train pour partager rapidement cette lecture. Véronique, la présidente du Forum Changer d’Ere m’a parlé de ce livre de 100 pages hier. Aujourd’hui, à la fin de ma lecture, une petite voix au fond de moi s’est dit « il faut partager, il faut que tout le monde lise ce que tu viens de digérer ». Alors voilà… Pour rappel. Notre conception du monde nous interdit le monde de demain : Yannick Roudaut at TEDxNantes. Nassrine Reza - La guerre, le reflet de notre peur refoulée.
Master_-_Jullien_-_3_concepts_-_Introduction.doc. Pourquoi nous aimons surtout les mauvaises nouvelles. Les médias sont régulièrement accusés d'abreuver les masses de nouvelles dramatiques.
Mais si nous n'étions pas des consommateurs avides des informations qui font peur, ils cesseraient de les diffuser, au lieu de pratiquer cette surenchère permanente. D'où nous vient cette fascination pour les catastrophes et autres mauvaises nouvelles ? Serions-nous tous des voyeurs morbides ? Cette curiosité malsaine, est pourtant indissociable de la nature humaine. Dans un article, publié sur AgoraVox en 2005, je m'interrogeais sur la « société de mise en scène de la peur » selon l'expression du philosophe Michel Serres, qui n'hésitait pas à parler « d'audimat de la mort » en observant que les nouvelles catastrophiques dominaient dans les vingt premières minutes des journaux radio et télé. La peur est un mécanisme utile à la survie de l'espèce Les faits positifs n'ont pas la même utilité Un cerveau programmé pour la survie plus que pour le bonheur. Intelligence émotionnelle : 18 signes distinctifs des personnes les plus capables de décoder leurs semblables.
Au début des années 1990, la découverte de l'intelligence émotionnelle a levé le voile sur une bizarrerie : 70% des personnes dotées d'un QI moyen dépassent celles qui ont un QI élevé.
Avec la mise en évidence du rôle de l'intelligence émotionnelle, l'idée, largement répandue, que seul le QI pouvait mesurer la réussite, a été battue en brèche. Aujourd'hui, les chercheurs s'accordent pour dire que l'intelligence émotionnelle est LE critère qui distingue les génies du commun des mortels. L'intelligence émotionnelle (IE), c'est l'art de manier les émotions qui influent sur notre comportement, nous permettent de naviguer dans une société toujours plus complexe, et de prendre les bonnes décisions.
Interrogé par Psychologies, le psychologue Daniel Goleman décrit ainsi cette forme d'intelligence comme "un art d'utiliser ses émotions" et distingue cinq compétences qui la caractérisent : la conscience de soi, la maîtrise des émotions, la motivation, l’empathie et la capacité à entrer en relation. Communication - Visuel, auditif, kinesthésique. Communication Voir, entendre, toucher... pour mieux communiquer.
Marc Vachon, psychologue. Vous est-il déjà arrivé, à votre travail ou ailleurs, de vous faire dire comment les autres vous percevaient, de connaître l’image que vous projetiez ? N’avez-vous pas été étonné alors de la différence qui pouvait exister entre l’idée que vous avez de vous-même et celle que les autres se font de vous, étonné même de constater les perceptions parfois contradictoires à votre sujet ? Peut-être avez-vous déjà eu l’occasion de discuter avec des collègues de bureau d’une personne ou d’une situation et de vérifier à quel point vos points de vue différaient, tout en étant convaincu que vous aviez raison et que les autres avaient tort ?
Depuis le temps que je m’intéresse à la psychologie et particulièrement à la communication, j’ai toujours été fasciné par le phénomène de la perception. Zen-et-heureux.pdf.