Gmail. Les business models d’Internet. How to make money web 10001. Le freemium, est-ce le nouveau business model ? Proposer une offre gratuite et facile d’accès pour attirer les utilisateurs et les encourager à payer pour une offre plus complète, c’est le principe du « freemium ».
Un concept bien connu dans l’univers des logiciels et de l’économie numérique, mais transposable à bien d’autres secteurs d’activités. Le « freemium » est un modèle économique qui a cours depuis l’apparition des premiers logiciels, mais qui, avec les applications mobiles, le développement des jeux vidéos et de l’économie numérique, a pris ces dernières années une nouvelle dimension. Amener les clients vers le payant La stratégie est simple : offrir aux clients la possibilité d’utiliser gratuitement le service proposé, mais dans un cadre restrictif bien défini. L’objectif étant de les séduire avec cette offre gratuite et de les inciter à investir dans la version complète et payante du service. Les restrictions d’usage Cette limitation d’usage peut se faire sur plusieurs niveaux. Se constituer un fichier client. Qobuz. Accueil BuyBox. Pulpix. Fondée en 2014, Pulpix est une jeune pousse française qui offre l’opportunité aux marques et aux artistes de communiquer directement dans leurs vidéos Youtube, Dailymotion, ou encore Vimeo, et ce, grâce à des bonus interactifs qui s’intègrent en temps réel et de façon élégante.
Pour améliorer l’expérience utilisateur et booster les revenus à travers l’augmentation du nombre de vues sur Youtube, celle-ci propose aux artistes et labels de diffuser une nouvelle musique ou un nouveau clip, et ce, en organisant par exemple un événement sur invitations uniquement sur le web. De même, Pulpix propose de vendre des tickets aux fans pour créer un buzz marketing et le monétiser.
D’autre part, elle s’illustre par sa capacité à référencer de la meilleure manière possible les vidéos des solliciteurs, étant donné que les informations qu’ils ajoutent peuvent être indexées sur les moteurs de recherche. Musique, passion et business modèle. Les nouvelles start-up de la musique - LExpress.fr. Elles ont pour nom Believe Digital, Awdio, Spotify, Mymajorcompany ou Noomiz.
Ce sont les nouvelles " start up " qui donnent un second souffle à l'industrie de la musique. En surfant sur les nouvelles expériences musicales, elles pourraient faire la démonstration que l'on peut recréer de la valeur autour des contenus musicaux. Les investisseurs, eux, y croient comme en témoignent les fonds levés en 2009 par les sites Internet musicaux : 329 millions de dollars contre 260 millions en 2008 selon les chiffres publiés par le site MusicIndieTech. Mymajorcompany. C'est la " succes story " de l'année 2009. Spotify. Awdio. Believe Digital. Noomiz. Pulpix : Créer l'événement et booster les vues sur Youtube : 30 start-up disruptives dans la musique.
Metable, la plateforme pour les ayants droit : 30 start-up disruptives dans la musique. Capsule.fm, une nouvelle façon de se réveiller : 30 start-up disruptives dans la musique. Tunespeak accroît la loyauté des fans : 30 start-up disruptives dans la musique. Starlize, les clips vidéo maison : 30 start-up disruptives dans la musique. Rushmore rassemble les fans : 30 start-up disruptives dans la musique. Feature.fm : La promotion sur les sites de streaming : 30 start-up disruptives dans la musique. Soundwave, recommandation sociale : 30 start-up disruptives dans la musique. Muzieo renforce le lien entre artistes et fans : 30 start-up disruptives dans la musique. Music Gateway, la plateforme dédiée aux professionnels : 30 start-up disruptives dans la musique. Cubic.fm, la radio crowdsourcée pour toute activité : 30 start-up disruptives dans la musique.
Blitzr : Découverte et recommandation : 30 start-up disruptives dans la musique. Les projets à financer. Musique et numérique, la carte de l’innovation : synthèse. Face à la baisse continue du marché de la musique enregistrée, peut-on trouver dans l’innovation des voies pour recréer de la valeur au bénéfice de toute la filière musicale ?
Et si tel est le cas, quel impact ces modèles émergents peuvent-ils avoir sur l’organisation de la filière et au-delà, sur les conditions dans lesquelles on crée, joue, produit, promeut, découvre, apprécie, écoute, recommande, pratique la musique ? D’avril 2006 à mars 2007, le projet "Musique & numérique : créer de la valeur par l’innovation" a exploré, d’une manière collective, les réponses à ces questions. Une focalisation délibérée sur l’innovation économique Dans le cadre du débat, de nombreuses voix se sont élevées pour souligner le fait que le financement, mais aussi la sélection et la diffusion des œuvres musicales ne peuvent pas être laissé au seul jeu du marché.
Crise et mutation La musique devrait connaître un âge d’or, culturel et économique. Un foisonnement d’innovations La "maison de musique" de demain ? New research: Current streaming music business model is doomed. “The whole music subscription sector is intrinsically unprofitable.” That is the stark conclusion of a 150-page financial research report released by British company Generator Research. Unsustainably high cost of operation will prevent profitability, according to the report, which examined Pandora, iTunes Radio, Deezer, Spotify, and other services in five major music markets.
The report lays the profitability problem plainly on cost of content — royalty payouts to music rights holders. Noting that between 60 and 70 percent of revenues are paid to labels and publishers, the study predicts that usage growth can never catch up to expense. Growth in both usage and revenue will be substantial, according to projections.