Honey bee species. Barnsley Beekeepers Association Bee keeping in Barnsley, South Yorkshire Copyright © All rights are reserved. Site terms Facts & Tips - Honey Bee Species There are almost 20,000 species of bees in the world which have been identified to date. Bees are close relatives of ants, wasp and hornets. Many of the sub species described to date have one or more other variants.
Apis mellifera (the “European” or “Western” honey bee) Apis mellifera is the most wide spread species of honey bee in the world. The species is characterised by colonies numbering 10s of thousands that form multiple combs per colony and build their colonies within cavities. Due to the wide geographical spread of A. mellifera, a number of sub- species have arisen; some of these being the honey bees commonly in use by beekeepers around the world today.
Apis mellifera mellifera (the “Northern European” or “dark” or “German” honey bee) Here in the UK, the native bee - and hence most kept bee - is the A. mellifera mellifera. Killer Bees. Ecological Role:Competition among nectar- and pollen-feeding invertebrate pollinators and resource partitioning are affected by introduced Africanized Honey Bees. When Africanized Honey Bees compete with other species of honey bees for flowers, the Africanized bees may displace the other bees from the food sources. While over a short period of time, the abundance of other species of bee decreases and colony nectar and pollen harvest decreases, Africanized honeybees are negatively affected slightly over long periods. Competition is considered among one of the factors that are responsible for differences in foraging behavior and specialization in bees.
Africanized Honey Bees have similar predators as all other bees. Their most destructive predators are humans. Africanized honeybees are preyed on by ants, anteaters, and armadillos. Additionally, parasites such as mites, fungi, and bacteria are supported by Africanized Honey Bees. References: Francis Ratnieks and P. Project Home. L'abeille africaine ou abeille tueuse. L'abeille africaine, apis mellifera scutellata, est également appelée « abeille tueuse ». Originaire de Namibie dans le Sud-Ouest de l'Afrique, elle doit sa mauvaise réputation à son extrême agressivité.
Cette espèce a pris pied au Brésil en 1957, et de là, à raison de 300 à 500 km par an, a colonisé une grande partie de l'Amérique du Sud, l'Amérique Centrale et le Sud des Etats-Unis. Ce processus a débuté un an plus tôt, lorsque pour améliorer le rendement de ses ruches, le Brésil importa quelques reines africaines. Pour les spécialistes, ces abeilles semblaient les plus aptes à supporter le climat local, au contraire des abeilles européennes moins résistantes au climat tropical.
Malheureusement, lors de diverses manipulations, 26 reines s'échappèrent accidentellement du centre expérimental de la région de São Paulo chargé de les étudier. Ce fut le début de l'invasion. Ces abeilles sont plus réceptives aux perturbations environnementales et plus agressives que leurs cousines d'Europe. Des abeilles tueuses pas si terribles que ça ? Une abeille tueuse butine de la lavande. © J POD CC by-sa Des abeilles tueuses pas si terribles que ça ? - 2 Photos Lorsque des espèces étrangères à un écosystème s’y implantent, elles peuvent disparaître, survivre en faible effectif ou bien se développer très vigoureusement.
On parle alors d’espèces invasives. Lorsque ces espèces sont agressives, elles peuvent supplanter les espèces locales et parfois les mener à l’extinction. David Roubik, directeur de recherche au Smithsonian Tropical Research Institute, posa alors des pièges pour quantifier les effets de cette invasion. David Roubik, du Smithsonian Tropical Research Institute, exhibe une abeille capturée. © STRI L’étude sur le long terme montre que les abeilles, invasives ou autochtones, respectent en premier lieu les relations plante-insecte, malgré des hauts et des bas dans leurs populations. Roubik attire tout de même l’attention sur la qualité et la biodiversité de l’écosystème étudié. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. A.N.E.R.C.E.A. - Apis mellifera carnica. Retour à l'A.N.E.R.C.E.A. "Notre apiculture se fait avec une race d’abeille pure, comment est la CARNICA d’origine, et comment exploiter au maximum ses possibilités" JOURNEE D’ETUDES 19, 20 et 21 novembre 1998 Lycée agricole – Les Vaseix – Route d’Angoulême - LIMOGES Intervenant : Pr Pavlé Zdesar, Expert auprès du Ministère de l’Agriculture Slovène pour les recherches sur la Carnica, Journaliste à la revue apicole slovène " Slovenski Cebelar ", Membre de l’Office National pour la Sélection de la Carnica Jamova 80 - SI 1000 LJUBLJANA/ SLOVENIE Invité par la S.C.
La Carniole, "Import de reines Carnica de Slovénie" 19 allée du Gros Chêne, F-63910 CHIGNAT - FRANCE Tout apiculteur a pour but de travailler avec les meilleures abeilles, celles qui lui apportent un maximum de produits de la ruche et de bénéfice dans la pollinisation avec les frais les plus bas, le moins de travail possible, et sans surconsommation de nourriture. Le mieux est de travailler avec une race pure et locale. Résultats.