Ali Chahrour. Ali Chahrour. Ali Chahrour and Emilie Thomas Mansour met in 2010 at Takween Beirut Contemporary Dance School, working together in several projects during the program.
They both are members of Maqamat Dance Theatre in Beirut. They started their collaboration with Ali Chahrour's first creation “On the Lips Snow” that was premiered in April 2011 during The Arab Dance Platform in the framework of BIPOD (Beirut International Platform of Dance) Festival. In 2012, they collaborated on the creation of their latest contemporary dance performance "Danas. Mawt Sagheer - First movement" premiered in Beirut in March 2012 at Maqamat DanceHouse and presented during BIPOD 2012 along with international companies. Ali and Emilie's work aims at developing a specific body vocabulary questioning political, historical and sociological dynamics in Lebanon and the region. ‘Fatmeh’ ou la mélancolie au goût arabe.
‘Fatmeh’ est une performance de danse qui repense et retravaille la qualité des mouvements innés et acquis en se basant sur le bagage de l’héritage et de la vie quotidienne.
Elle a lieu au Théâtre al-Madina du 30 janvier au 2 février. Entrevue avec Ali Chahrour, chorégraphe et metteur en scène de la performance. D’où est née l’idée de Fatmeh ? Comment s’est fait le choix des danseurs ? Choisir deux femmes non familiarisées avec les techniques de danse visait à étudier la qualité du mouvement impulsif relié aux niveaux local et personnel. [Festival d'Avignon] Fatmeh, le deuil d'Ali Chahrour. Le chorégraphe libanais Ali Chahrour présente deux spectacles au Festival d’Avignon : Leïla se meurt et Fatmeh, dont la première avait lieu ce soir au Cloître des Célestins, précédée non pas d’une minute de silence mais d’une minute d’applaudissements en hommage et en mémoire des victimes de l’attentat de Nice.
Mais tout ce spectacle est un acte de deuil qui vient interroger la place du corps féminin dans la société libanaise envahie par la guerre. Note de la rédaction : ★★★★★ Fatmeh vient entrechoquer les gestes appartenant à la culture orientale avec l’omniprésence des chansons les plus connues de la diva égyptienne Oum Kalthoum. Dans le giron de Leila, Ali meurt et renaît mille fois - Aline GEMAYEL. La langue arabe a résonné au Cloître des Célestins, au cœur du festival in d'Avignon, qui offrait, à travers le focus de sa 70e édition, une tribune aux cultures du Moyen-Orient.
Ce sont les deux pièces Fatmeh et Leila se meurt, du chorégraphe libanais Ali Chahrour, qui ont habité le beau Cloître pendant une semaine (3 représentations chacune), donnant à entendre la langue arabe, déclinée en chants puissants, profanes ou sacrés. Dans ses deux pièces, deux volets d'un triptyque dont le succès à Avignon a été retentissant, Ali Chahrour a travaillé la chorégraphie avec des femmes ; dans les deux, il s'est appuyé sur des femmes qui ne sont pas danseuses, travaillant avec les unes (Rania al-Rafeï et Youmna Marwan) sur la puissance des corps dont le mouvement épouse les mots et les rythmes de la voix séculaire d'Oum Kalsoum ; avec l'autre (Leila Chahrour) sur la beauté des rituels de la complainte des pleureuses dans la tradition chiite. Leila se meurt de Ali Chahrour. Quand l’artistique rencontre le religieux. Après Fatmeh, Ali Chahrour présente une nouvelle performance, Leila se meurt - danse/concert/lamentation, du 19 au 29 mars, au théâtre al-Madina.
Une rencontre entre le religieux et l’artistique. Leila se meurt - Danse/concert/lamentation. «Le sous-titre donne d’emblée à la performance le côté d’un concert, explique Ali Chahrour, où Leila serait une chanteuse et les musiciens (Ali Hout et Abed Kobeissi) l’accompagnent sur scène comme un groupe. La musique entraîne la danse. Les lamentations se situent justement ainsi au niveau d’un concert, ce qui opère en même temps un retournement vers une situation dure; sur scène on voit quelqu’un qui célèbre des malheurs, mais on ne sait plus si elle joue ou si elle dit la vérité. L’essence du mouvement Une fois qu’il a pu convaincre Leila, le processus chorégraphique a débuté. Nayla Rached. Leila se meurt d’ Ali Chahrour. Une femme sur une chaise.
Leila est pleureuse. Le jeune chorégraphe libanais Ali Chahrour présente pour sa première tournée hors du Liban et la première fois en Île-de-France, cette œuvre poignante, ode chantée et dansée à l’art, au rituel et à la fraternité. Leila chante ceux qui partent, pour ceux qui restent. Héritière d’une tradition en perdition, elle est celle qui apaise les âmes dans des cérémonies de la séparation. Sa voix rauque est une passerelle entre ici-bas et l’au-delà, l’expression d’une tristesse transcendée par l’art et la religion. Aérien, Ali Chahrour danse autour d’elle et son corps lesté d’émotions. Le chorégraphe, remarqué à Beyrouth dès Fatmeh, sa première création en 2014, travaille avec des interprètes non-professionnels.
Le Manège de Reims. Danse / les voyages.
Foyer actif de la danse en Picardie voisine, l’échangeur ne porte jamais aussi bien son nom que lors de la quinzaine qui vient chaque année réchauffer le mois d’octobre. On a nommé le festival c’est comme ça ! , irremplaçable plaque tournante où les publics, les artistes, les formats (spectacles, cinéma, concerts, ateliers…) et les esthétiques se rencontrent.