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Les femmes et la langue: l'insécurité linguistique en question. Donner des jouets dans la Gironde. Syria's Civil War Explained - AJE News. Five years since the conflict began, more than 250,000 Syrians have been killed in the fighting, and almost 11 million Syrians - half the country's prewar population - have been displaced from their homes.

Syria's Civil War Explained - AJE News

In 2011, what became known as the "Arab Spring" revolts toppled Tunisian President Zine El Abidine Ben Ali and Egyptian President Hosni Mubarak. That March, peaceful protests erupted in Syria as well, after 15 boys were detained and tortured for having written graffiti in support of the Arab Spring. One of the boys, 13-year-old Hamza al-Khateeb , was killed after having been brutally tortured. The Syrian government, led by President Bashar al-Assad, responded to the protests by killing hundreds of demonstrators and imprisoning many more. Barriers to Education for Syrian Refugee Children in Lebanon. We left our country and our homes and now they don’t even have an education or a future.

Barriers to Education for Syrian Refugee Children in Lebanon

—Jawaher, North Lebanon, December 1, 2015 My children should learn to write their names. It’s over for us, should it be over for our children as well? —Rana, Mount Lebanon, November 20, 2015 In Lebanon—a country of around 4.5 million citizens—almost one in four people today is a refugee. Lebanon’s Ministry of Education and Higher Education has taken several positive steps to enroll Syrian children in formal education. Older children are particularly affected: of the 82,744 registered Syrian refugees aged 15-18 as of August 2015, less than 3 percent enrolled in public secondary schools during the 2015-2016 school year.

This report finds that it is unlikely that Syrian children will be able to realize their right to an education unless Lebanon undertakes reforms that go beyond the framework of its current education policies and receives increased donor funding targeted at improving access to school. Cost. Syrie : « Les Etats-Unis ont laissé le champ libre à la Russie, devenue incontournable » Pour Bruno Tertrais, de la Fondation pour la recherche stratégique, si la réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU, mercredi, sera « inutile pour peser sur le plan militaire », « elle ne le sera pas sur le plan politique ».

Syrie : « Les Etats-Unis ont laissé le champ libre à la Russie, devenue incontournable »

La communauté internationale semble plus impuissante que jamais dans le conflit syrien, face à une Russie devenue le véritable maître du jeu. A la demande de la France, une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation à Alep-Est devait se tenir mercredi 30 novembre à New York. Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, analyse la portée possible d’une telle réunion. Lire aussi : En Syrie, le crime de guerre est devenu la norme La France a convoqué une réunion en urgence du Conseil de sécurité face à la « catastrophe humanitaire » à Alep. Les réunions de cet ordre ont un premier but : le « naming and shaming ». La Russie a utilisé son droit de veto cinq fois depuis le début du conflit. L’opposition syrienne demande à l’ONU de protéger les civils à Alep-Est.

Des milliers de civils fuient les bombardements au fur et à mesure de l’avancée des forces du régime syrien, qui font face à des rebelles aux abois.

L’opposition syrienne demande à l’ONU de protéger les civils à Alep-Est

Plus que des mots, l’opposition syrienne demande aux Nations unies d’agir. Dans une lettre adressée mercredi 30 novembre au Conseil de sécurité de l’ONU, la Coalition nationale syrienne, représentante de l’opposition au régime, presse la communauté internationale de « prendre immédiatement des mesures pour protéger les civils à Alep et stopper l’offensive barbare menée contre eux ». « Le régime d’Assad et ses alliés ont transformé les zones libérées d’Alep en un tombeau à ciel ouvert, écrit dans ce courrier Anas Al-Abdeh, le chef de la coalition.

Cette escalade est un crime de guerre et un crime contre l’humanité, un de plus dans la longue liste sanglante du régime. » « Un gigantesque cimetière » « Descente aux enfers » Les Nations unies ont condamné, mardi, la « descente aux enfers » vécue par les 250 000 habitants de la ville. Overseas Development Institute (ODI)