Comment les annonceurs font-ils pour suivre les mobinautes. Sur le desktop, cela est très clair : les cookies font le travail permettant aux ad servers et ad exchanges de savoir par où les consommateurs sont-ils passés… Mais sur le mobile, cela peut aller beaucoup plus loin car la mobilité offre une ouverture énorme sur des données que le desktop n’offre pas.
En analysant l’identifiant de votre appareil, votre localisation GPS, votre activité sur le Wi-Fi, ou bien lorsque vous êtes en train d’échanger avec vos amis sur Facebook, ou bien de poster des selfies sur Tumbrl… voilà autant de situations qui laissent de nombreuses traces aux annonceurs et qu’il est compliqué d’effacer. L’infographie ci-dessous proposée par Mashable fait le point sur toutes ces manières qu’ont les marques de tracker les utilisateurs. Pierre Berendes. Comment optimiser le référencement des applications dans les magasins ?
Le référencement sur les magasins d’applications est une étape vitale dans le cycle de vie d’une application mobile ou tablette.
En effet, le magasin d’application demeure le principal lieu de découverte des applications (63% selon Forrester Research) avec le bouche à oreilles (50%), loin devant les sites web (15%) et l’email (5%). L’App Store d’Apple ou le Google Play sont devenus véritables carrefours d’audiences (plus d’un million de personnes visites l’App Store le week end selon une étude IFOP/Surikate 2012). Une fois soumise dans un magasin d’applications et validée, l’application est disponible au grand public via une « fiche produit » qui donne la description de l’application et permet son téléchargement. Cette fiche produit comprend des informations de 3 natures distinctes : exemple de landing page sur l’App Store, iOS8 exemple de landing page sur Google Play Store Elle génère un contexte plus ou moins favorable au déploiement rapide de l’application. Delivering positive ROI from mobile-enabled projects.
1Executive Summary The concept of deploying mobile devices into enterprises breaks down into two schools of thought: The first is a passive acceptance on the part of managers: Here, the expectation is that introducing solutions based around mobile technologies just makes sense, if only because today’s employees expect it.
Much of this has to do with the arrival of the bring-your-own-device (BYOD) movement and the associated employee expectations that they will do better in their work by using these devices in their own ways.The second is a business-driven approach that bases its justifications on specific calculations of the return on investment (ROI). This report demonstrates what enterprises can achieve by focusing on the second. In the following sections we will look at seven real examples from enterprises — covering sales, field support, distribution and logistics, local government, and administration — that are benefiting from a positive ROI. Applications mobiles : Quels KPIs pour quels objectifs ? par Jean-Baptiste Hironde (Edjing) Le KPI (Key performance Indicator) ou Indicateur de performance clé en français, est utilisé dans toutes les industries pour, comme son nom l’indique, mesurer la réussite ou l’échec d’une entreprise/ d’un projet.
En tant qu’éditeur d’application mobile, les questions principales qui se posent sont les suivantes : comment acquérir une base utilisateurs suffisante ? Comment la monétiser ? Comment conserver cette base. Ces questions sont essentielles, mais selon le type d’application que l’on développe, la priorité n°1 est souvent donnée soit à l’acquisition d’utilisateurs soit à la rentabilité. C’est en partant de ces deux enjeux et objectifs principaux que l’on peut définir des Indicateurs de performance clés pertinents.
Les deux KPIs les plus évidents qui viennent à l’esprit pour répondre aux deux objectifs sus-cités sont respectivement : le nombre de téléchargements et le chiffre d’affaires (CA) généré. Questions préliminaires auxquelles il faut répondre avant de commencer. Les KPIs des médias sociaux enfin standardisés. Les social media analytics sont un sujet complexe, principalement du fait que toute l’industrie doit se mettre d’accord sur les termes et les unités de mesure (Key Performance Indicators, KPIs).
Ce sujet n’est pas nouveau, car je l’avais déjà abordé en 2009 : L’IAB standardise les indicateurs-clés des médias sociaux. Force est de constater que depuis cette tentative de standardisation par l’IAB, chacun fait un peu à sa sauce. Il en résulte de la confusion en agence et chez l’annonceur, ainsi que des outils qui ne sont pas compatibles entre eux. De ce regroupement est né un conclave en 2011 dont l’objectif est de standardiser la mesure de la performance pour les médias sociaux : The Durham Conclave: Our Progress on Setting Social Media Measurement Standards. Il aura fallu près de deux ans aux membres de ce groupe de travail pour finaliser une liste de termes et d’unités de mesure : Perhaps the most important Social Media launch of the year — Measurement Standards.