Harcèlement à la rédaction de «Sud-Ouest»: Le mis en cause a été «dispensé d'activité» le temps de l'enquête. Le 15 octobre, un tweet d’une ancienne journaliste concernant un cadre de Sud-Ouest a incité d’autres femmes à témoigner de faits de harcèlement.
Le mis en cause a été « dispensé d’activité avec son accord », le temps qu’une enquête interne soit menée. Le 15 octobre dernier, dans le contexte de la vague #balancetonporc, le tweet de Pauline Boyer, ancienne journaliste de Sud-Ouest, a libéré la parole au sein de l’entreprise. Elle y raconte avoir été harcelée, au point de se résoudre à quitter son poste. Son compagnon complète alors son tweet, précisant qu’il s’agit d’un « rédacteur en chef de @sudouest ». Bordeaux: Le quotidien «Sud Ouest» a licencié son directeur adjoint pour «harcèlement» L'affaire avait été mise sur la place publique par une journaliste bordelaise le 15 octobre 2017, en pleine vague #BalanceTonPorc sur les réseaux sociaux.
Ancienne journaliste du quotidien régional Sud Ouest, la jeune femme avait raconté sur Twitter avoir été harcelée par un cadre de l'entreprise : « Recevoir 50 msgs/jour, trembler en allant au boulot, pleurer en partant. Finir par quitter la boîte. Moi, pas lui, bien sûr. » "Pour combattre les stéréotypes, arrêtons de nous placer du côté de la morale" Marie Kirschen nommée rédactrice en chef du site des « Inrocks » Soirée "Les Femmes & Les Médias" à Tours - le jeudi 04 avril 2019 à 18:00. Harcèlement sexuel : à Franceinfo, la souffrance des précaires. [L'auteur de cet article a travaillé à la rédaction de Franceinfo pendant un mois.
Il a des années plus tard postulé à une offre d'emploi, sans succès.] Pas de preuve écrite. Dans la rédaction du site de France Info : un «boys club», une enquête et des sanctions. Actualisé à 22 heures avec la réaction de la direction de France Télévisions.
«La rédaction est décapitée», s’alarme un journaliste. Au terme d’une enquête interne de plusieurs semaines, un journaliste du site de Franceinfo, dont la rédaction est logée au siège de France Télévisions, a été licencié pour faute grave, tandis que le rédacteur en chef et son adjoint ont eux été mis à pied le temps de nouvelles investigations sur leurs agissements. En s’appuyant sur les témoignages d’une vingtaine de membres de la rédaction interrogés au cours des deux derniers mois, Libération est en mesure de retracer l’origine de cette enquête qui a abouti mardi à des sanctions sans précédent pour le média public. À lire aussiLa «Ligue du LOL», groupe influent aux victimes ciblées L’histoire retiendra en effet que c’est le salarié finalement licencié mardi pour faute grave en raison d’un «comportement inapproprié» envers les femmes de la rédaction qui a accéléré en personne toute l’affaire.
Baisers forcés. Sexisme, violences sexuelles : non, «le Figaro» n'est pas épargné. Question posée par L. le 12/02/2019 Bonjour, Votre question était la suivante : «Est-il vrai, comme le laisse entendre Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du Figaro Magazine, sur Twitter que Libération est le seul média concerné par les questions de harcèlement ou de cyberharcèlement ?
Quels autres médias s’interrogent sur ces comportements au sein de leur rédaction ?» Vous faites référence à la réaction de plusieurs responsables du Figaro après les révélations de Checknews au sujet de la Ligue du LOL. Ce groupe Facebook privé créé il y a une dizaine d’années regroupait des personnes, très majoritairement des hommes, qui travaillaient pour plusieurs d’entre eux dans des titres de presse dits de gauche comme Libération, Slate ou les Inrocks. Marinette, défendeur des femmes sur YouTube (car défendeure ou défenseuse n’existent pas…) - Télévision.
Loin des youtubeuses ringardes, Marine Périn, reporter camerawoman, s’accompagne d’expertes et mêle la rigueur journalistique au langage de Youtube pour décrypter avec force les faits d’actualités liés aux femmes.
Qui ? Sur sa chaîne Youtube Marinette, Marine Perrin, militante féministe, propose un cocktail explosif mêlant codes du journalisme et langage YouTube. En 2016, cette journaliste reporter d’images de 27 ans dit adieu aux reportages télé formatés d’une minute et demie et passe face caméra. Sexisme, violences sexuelles : non, «le Figaro» n'est pas épargné. Une démarche en faveur de l'égalité professionnelle. Marie Kirschen, rédac-cheffe aux Inrocks : du nouveau à Médialand – Les Nouvelles NEWS.
Le CSA à l’ONU pour l’égalité femme/homme dans les médias - CSA - Conseil supérieur de l’audiovisuel. Sylvie Pierre-Brossolette a présenté hier, 15 mars 2018, à New York l’action du Réseau des institutions de régulation méditerranéennes (RIRM) en matière d’égalité entre les femmes et les hommes dans le cadre de la Commission de la condition de la femme des Nations unies (CSW).
Les réseaux de régulateurs audiovisuels ont appelé à améliorer l’égalité entre les femmes et les hommes dans et à travers les médias. Une déclaration commune pour renforcer la place des femmes dans l’audiovisuel Féminiser l’audiovisuel pour promouvoir l’égalité des genres : telle est l’ambition portée par les réseaux de régulateurs audiovisuels réunis par la HACA, l’autorité marocaine, dans le cadre de la 62e session de la CSW.
Prenons la une — Qui sommes-nous ? Cyberharcèlement : « La presse doit mieux protéger les femmes journalistes » France Télévisions s'engage. Institutionnels comme étudiants, à Paris comme en province, beaucoup ont répondu à l'invitation de France Télévisions pour venir voir ces créations mais surtout pour en débattre.
Plusieurs projections et avant premières ont été mises en place avec les auteurs des œuvres et les responsables des chaines, notamment à Bordeaux à l’Ecole Nationale de la Magistrature avec le Recteur, 140 élèves magistrats et les enseignements, et à l’université d’Amiens avec le procureur de la République, les étudiants, associations et acteurs locaux. "Profession journaliste", un espace data pour explorer les cartes de presse en France.
TRIBUNE. #NousToutes : 400 femmes journalistes appellent à marcher samedi contre les violences sexistes et sexuelles. Dans une tribune publiée sur franceinfo, ces femmes journalistes expliquent pourquoi elles participeront aux rassemblements organisés le 24 novembre pour dire "stop" aux violences sexistes et sexuelles.
Alors que des milliers de personnes sont attendues samedi 24 novembre à Paris et dans plusieurs villes de France pour dire "stop" aux violences sexistes et sexuelles, 409 femmes journalistes publient une tribune sur franceinfo, vendredi, pour expliquer pourquoi elles prendront part au mouvement #NousToutes. Dénonçant le sexisme et les violences sexuelles au sein des rédactions, elles pointent également du doigt les inégalités professionnelles et salariales entre les femmes et les hommes journalistes.
Elles s'expriment ici librement.