Pourquoi déteste-t-on les femmes poilues?* Temps de lecture: 17 min Non, Slate ne déteste pas les femmes poilues.
Notre série «Pourquoi déteste-t-on les…?» Recense les préjugés courants pour mieux les démonter. Roux, supporters, gros, journalistes… Retrouvez chaque semaine la déconstruction d'un nouveau stéréotype. Tous les épisodes de la série «Pourquoi déteste-t-on les...?» Vous rappelez-vous comment vous vous êtes rendu compte que vous aviez des poils? «Quand j’étais en sixième, un élève de ma classe s’est moqué de mes poils de jambes en pensant que je ne l’entendais pas.»
Buzzfeednews. Avec les Françaises de la gynécologie DIY - VICE. De (faire) l'amour à la haine (de soi) il n'y a qu'un pas — Le dessin de Mr.Q. Le sexe, en soi, c’est cool.
C’est gratuit. Ça fait du bien. Quelques précautions permettent de le pratiquer en toute sécurité. Ça fait faire du sport, ça aide à aimer son corps, ça rapproche les gens… Oui, vraiment, faire l’amour ça peut être super cool. À lire aussi : Pelotages furtifs — Le dessin de Cy. État urgence/Recensement. Recensement des joies (ou pas) de l'état d'urgence en France Avertissement Cette page contient des liens, des situations et des récits comportant de l'islamophobie et faisant état de violences policières.
Objectifs de cette page Recenser les articles de presse qui parlent de possibles abus / dérapages liés à l'état d'urgence. Il sera utile notamment lorsqu'on aura à traiter la modification constitutionnelle annoncée par le gouvernement pour une extension / pérennisation de l'état d'urgence. Conseils aux participant -e- s Les faits sont classés par ordre chronologique des faits dont il est question (et non pas la date de l'article).
Merci d'essayer de rester dans l'objectif de cette page ! ==> Crowdsourcing initial sur ce pad : (à utiliser pour proposer des liens à ajouter sans avoir besoin de s'inscrire sur le wiki) Communiqués de La Quadrature du Net[edit] 14 novembre 2015[edit] 15 novembre 2015[edit] 16 novembre 2015[edit] 17 novembre 2015[edit] 18 novembre 2015[edit] 19 novembre 2015[edit] Je ne sais pas m’aimer – et c’est un acte radical. On les connaît tous-tes, ces corps mis en scène, déguisés, maquillés, retravaillés et retouchés, placés sur le piédestal de la beauté.
Des corps blancs, des corps minces, des corps harmonieux, des corps lisses, des corps symétriques, des corps proportionnés. Des corps autorisés à s’aimer. Mais on ne se limite pas à des corps. Pourquoi se limiter quand on peut opprimer à volonté ? Les caractéristiques se multiplient. Et avec ces mouvements, l’injonction à s’aimer.
La beauté de l’amour radical – et ce qu’on nous cache. En finir avec le fardeau de la responsabilité, ou le féminisme domestique. Il semble que les grands esprits se rencontrent, puisque je lis à l’instant ceci alors que je ruminais un billet sur un sujet similaire.
Pour ceux et celles qui ne voudraient pas tout lire, Denis Colombi y aborde ce que Jean-Claude Kauffman appelle la « stratégie du mauvais élève« , souvent mise en place par les hommes pour éviter d’accomplir certaines tâches ménagères, qui consiste à mal faire les choses pour en être dispensé. Exemple : Monsieur est sommé de passer la serpillère, mais oublie les coins des pièces et les dessous de tapis, si bien que Madame décide de ne plus le laisser toucher un balai-brosse à l’avenir, puisqu’il faudra de toute façon qu’elle repasse derrière lui pour que tout soit impeccable. Mission réussie pour Monsieur. Cet exemple est caricatural (je connais des hommes qui passent très bien la serpillère), mais, au sein des couples, j’ai souvent constaté des cas similaires. De l’amour de soi et des autres. Comme on peut déjà s’en douter à la lecture des billets précédents, mon parcours de vie n’a pas été de tout repos.
Il a fallu beaucoup de remises en questions, beaucoup d’expériences, beaucoup de réflexions. Une vie chaotique et pimentée. Enormément de souffrance, aussi, mais c’est le lot de tout un chacun. Enfin, dans toute cette merde, j’ai toujours eu le plus précieux des soutiens : un compagnon fidèle. Même dans la solitude, il était là avec moi. Si vous n’avez pas encore compris, je parle de moi. J’entend déjà ceux qui crient à la schyzophrénie, au narcissisme, ou qui m’accusent d’avoir un égo démesuré. A propos de la Schyzophrénie : La schyzophrénie est une maladie bien plus complexe que le simple « dédoublement de personnalité » connu dans l’imagerie populaire.
A propos du Narcissisme : Premier sens du mot : « Admiration de soi ». Où se situe la limite entre le narcissisme raisonnable et le narcissisme déraisonnable ? Ais-je confiance en moi ?