Paranormal Tabou – texte intégral. Now that you’re out of my life I’m so much better You thought that I’d be weak without you but I’m stronger I know what you did.
It makes me sick. I’m going to tell. Ce texte écrit par l’unE d’entre nous a été anonymisé de façon à pouvoir être lu et utilisé par touTEs. Qu'on me dise que je vivrai. NB : ce texte est une traduction de Attention !
(Trigger Warning) : cet article évoque des violences et meutres transphobes ainsi que des violences sexuelles. Quand j’avais 19 ans, j’ai lu un article dans Guernica qui disait que l’espérance de vie d’une personne transgenre est de 23 ans. Etre trans, une maladie psychiatrique de Schrodinger. Le Quatre Heures. C’est quoi, la transphobie ? C’est le rejet des personnes trans pour ce qu’elles sont.
La partie la plus visible, c’est la partie haineuse ou méprisante. Le sommet de l’iceberg, c’est évidemment les agressions que l’on peut subir au quotidien. "Attention, Gender" - Juillet 2014 - Par Anne-Charlotte Husson. Suite des sommaires illustrés, pour reparcourir un an de richesse des écrits partagés, mois par mois, par les locataires généreux de la Villa réflexive. - 1er juillet 2014 - “Réflexions sur le genre par gros temps”
De FACING MIRRORS à UNE FEMME IRANIENNE, l’exemple même de l’invisibilisation progressive des trans masculins dans le cinéma « LGBT FACING MIRRORS (Aynehaye Rooberoo) est un très beau film iranien de 2011 de la réalisatrice Negar Azarbayjani qui raconte l’histoire, qui se situe dans l’Iran actuel, d’une rencontre et d’une amitié entre une mère et épouse « traditionnelle » qui se retrouve forcée de conduire un taxi pour rembourser la dette qui a envoyé son mari en prison, et Eddie, un garçon trans qui attend désespérément son passeport pour quitter le pays.
En France, ce film est passé de festival LGBT en Festival LGBT, en obtenant en 2012 le Grand Prix du Festival Chéries-Chéris et en étant diffusé par un distributeur à but non lucratif « The Film collaborative ». Et c’est ainsi que j’ai pu le voir en 2013 lors du Festival Face à Face de St Etienne. Or pendant la séance, j’ai sursauté sur mon siège plusieurs fois quand j’ai constaté à de multiples reprises des problèmes de genrage dans les sous-titres en français. (page 8/17 du script) On se sait pas. A télécharger ici ! Debi Jackson, Mother Of Transgender Child, Gives Moving Speech. “My daughter is six years old.
She transitioned, which means she changed her outward appearance from male to female and started living full time as her true gender, when she was four. Until that point she was quite a rough and tumble little boy with a buzz cut and a shark tooth necklace.” And so begins the absolutely beautiful speech Debi Jackson gave earlier this year about her transgender daughter, AJ, at the Unity Temple on the Plaza in Kansas City. As Jackson continues, she outlines how her family came to realize that AJ is transgender, what happened the first day she went to school “in girl clothes” and the bigotry her family faced.
But the best part of the video may be when Jackson addresses the comments she’s heard about her daughter and sets the record straight about statements like you “wanted a girl so you turned your child into one” and “kids have no idea what they want or who they are — my kids wants to be a dog, should I let him?” Le suicide d'une ado transgenre de 17 ans émeut l'Amérique. "La vie que j'aurais eue ne valait pas la peine d'être vécue... parce que je suis transgenre.
" A 17 ans, Josh Alcorn, dit Leelah, s'est donné la mort dimanche, en banlieue de Cincinatti (Ohio), en se jettant sous les roues d'un semi-remorque, rapporte le journal local WCPO. Dans un dernier post de blog dont la publication avait été programmée, elle a expliqué les raisons de son suicide, incriminant directement ses parents qui souhaitaient qu'elle "soit leur parfait petit garçon chrétien hétérosexuel".
Mais, avec ces derniers mots, Leelah est également devenue un symbole de la lutte pour la reconnaissance des transgenres aux Etats-Unis. "Dieu ne fait jamais d'erreur" Depuis l'âge de 4 ans, Leelah avait le "sentiment d'être une fille prise au piège dans un corps de garçon". Comment ça se passe, une transition ? Il n’y a pas de parfait petit guide de la transition, il n’y en aura d’ailleurs pas, et je ne m’essaierai pas à cet exercice.
Tout simplement parce que chaque personne est unique, chaque corps est unique, aussi bien au départ qu’à l’arrivée. Il ne s’agit au final que de faire coïncider l’expression corporelle et la socialisation avec la psyché de la personne et avec ses attentes. En cela, étant donné que le corps de chaque personne est unique et que les besoins le sont aussi, le parcours de transition ne peut pas être généralisé. Qu’est-ce que ça veut dire, cisgenre ? Se découvrir FtM… Queer Montréal. Je suis non-binaire dans le genre, voici mon coming out.
Itinéraires transgenres et transphobie (partie 1) Journal de Selene, princesse en cours de réveil ; pensées, expérience et essais sur la question du genre. Le blog de Koala.