background preloader

Framboizzzzz

Facebook Twitter

Marc Villard : Four seasons in Havana. Il s’agit d’une mini-saison de quatre films de 90 minutes qui adapte quatre romans de Leonardo Padura, initiateur de la série avec Lucia Lopez Coll.

Marc Villard : Four seasons in Havana.

La production est pour partie cubaine, ce qui pourrait poser problème mais on ne sent pas trop la patte du ministère de la comm’ cubaine. "Retour à Ithaque" de Leonardo Padura et Laurent Cantet entre fiction et réalité - Nouveaux Espaces Latinos. Le film Retour à Ithaque est sorti en France en décembre 2014.

"Retour à Ithaque" de Leonardo Padura et Laurent Cantet entre fiction et réalité - Nouveaux Espaces Latinos

Le roman de Leonardo Padura Le palmier et l’étoile avait été l’inspiration première du scénariste et metteur en scène Laurent Cantet et avait été utilisé pour le scénario d’un court métrage, un des composants de 7 jours à La Havane, un film à sketches (2012). Ce livre, signé par les deux compères n’est ni un roman, ni la transcription d’un scénario mais une version romancée du synopsis enrichie de leurs interventions à propos de la genèse des deux films et de leurs rapports amicaux. Photo : Ed. Métailié Seize ans après avoir précipitamment quitté Cuba en y laissant sa femme qui n’allait pastarder à être emportée par un cancer, Amadeo revient à La Havane.

La question centrale, celle qui poursuit chacun d’eux est : en quoi peut-on continuer à croire ? Mario Conde : Vie d’un Cubain à La Havane. 1 Toutes les citations en espagnol correspondent aux publications chez Tusquets editores : Pasado per (...) 2 Juan Armando Epple, « Entrevista con Leonardo Padura Fuentes », Hispamérica : Revista de Literatura(...) 1Le romancier cubain Leonardo Padura Fuentes a commencé à publier en 1991 une tétralogie policière, sous le titre vivaldien Las cuatro estaciones (Les quatre saisons) bâtie autour du personnage du lieutenant Mario Conde : Pasado perfecto (1° éd. 1991 ; trad.

Mario Conde : Vie d’un Cubain à La Havane

Passé parfait, 2001) ; Vientos de Cuaresma (1994 ; Vents de carême, 2003) ; Máscaras (1995 ; Électre à La Havane, 1998) ; Paisaje de otoño (1998 ; L’automne à Cuba, 1999)1. L’action de chaque roman se déroule dans la capitale cubaine, à chacune des saisons (respectivement hiver, printemps, été, automne), tout au long de l’année 1989. 3 Gerardo Soler Cedron, « No me arrepiento de nada porque no me avergüenzo de nada », Entrevista con (...) 4Le récit policier est très prisé en Amérique hispanique. 4 Cf. Le roman néo-policier de Leonardo Padura : un regard critique sur la réalité cubaine. Mario Conde es una metáfora, no un policía, y su vida, simplemente transcurre en el espacio posible de la literatura.

Le roman néo-policier de Leonardo Padura : un regard critique sur la réalité cubaine

Leonardo Padura, Máscaras. « Les kilos perdus en pédalant dans La Havane nous ont faits différents ». Entretien avec Leonardo Padura. Un entretien avec Leonardo Padura au sujet de son livre L’Homme qui aimait les chiens, (Paris, Métailié, 2011).

« Les kilos perdus en pédalant dans La Havane nous ont faits différents ». Entretien avec Leonardo Padura

Né d’un père maçon et d’une mère catholique, ainsi qu’il se présente parfois, Padura jeune aimait les lettres et le beisbol. Diplômé de littérature hispano-américaine, il collaborera aux pages littéraires de la revue des Jeunesses communistes El Caimán Barbudo. L’homme qui aimait le sarcasme. Entretien avec Leonardo Padura. Auteur de L’homme qui aimait les chiens (Métailié, 2011), Leonardo Padura est un témoin à la critique acérée du changement de siècle auquel est confrontée la révolution cubaine.

L’homme qui aimait le sarcasme. Entretien avec Leonardo Padura

Dans cet entretien, initialement paru en espagnol sur le site de la revue Crisis, l’auteur de la saga policière dont Mario Conde est le protagoniste principal fait entendre la voix d’une génération sacrifiée, dans une conversation sur la littérature, le nihilisme et le sordide, en une tentative émouvante pour forger son propre destin, à travers les utopies et en-deçà, plutôt que par elles ou hors d’elles. Propos recueillis par Mario Antonio Santucho. Calzada de Managua est l’avenue principale de Mantilla, quartier périphérique de l’extrême sud de La Havane. C’est là que vit depuis toujours l’écrivain cubain le plus remarquable de l’époque. Au rez-de-chaussée de la jolie maison familiale vit le père Padura, tandis que le fils célèbre de 57 ans occupe l’étage du dessus avec une entrée indépendante. Le Palmier et l’étoile - Leonardo Padura. Auteur : Leonardo Padura Editeur : Éditions Métailié 396 Pages De Leonardo Padura, on connaît les romans policiers mettant en scène un flic désenchanté, superbe personnage dont la complexité reflète celle de Cuba.

Le Palmier et l’étoile - Leonardo Padura

Complexité d’une histoire que l’auteur aborde ici dans un ouvrage ambitieux et passionnant. L'Actualité du Roman Noir : La transparence du temps. 13/10/2020 | Leonardo Padura :la transparence du temps traduit de l’espagnol -Cuba- par Elena Zayas)es- Métailié- 430 pages- 23 €- 2019- Et collection Points juin 2020 Conde, lui, ne change pas : s’il a démissionné de la police, il y a 25 ans déjà, c’est parce qu’il n’acceptait pas les compromissions exigées avec les crimes et délits de la nomenklatura de son pays.

L'Actualité du Roman Noir : La transparence du temps

Alors il subsiste, ayant longtemps exercé le métier de brocanteur, vidant les dernières belles bibliothèques privées de l’île, en amoureux de la littérature qui a toujours le désir persistant de se lancer dans l’écriture. Vivre à Cuba n’est pas simple, il a eu souvent l’estomac dans les talons, comme nombre de ses compatriotes et tire toujours le diable par la queue. Que dire encore ? Il est fermement arrimé à Tamara, un amour de jeunesse, qu’il a retrouvée. Le voilà sollicité par Roberto, un ancien camarade de lycée, pour rechercher une sculpture représentant une mystérieuse Vierge noire. Padura, un Nobel pour Cuba ? Leonardo Padura Fuentes : Faut-il encore le présenter ?

Padura, un Nobel pour Cuba ?

Il est l’un des écrivains de langue espagnole les plus lus au XXIe siècle, traduit dans 26 langues et déjà titulaire de nombreux prix. Depuis peu, son nom circule sur la liste des nobélisables. Son personnage de Mario Condé, héros récurrent de nombreux polars, est un ex flic de La Havane, écrivain contrarié, fumeur, buveur, fidèle en amitié, revendeur de vieux bouquins et amoureux fou de la femme de son copain d’école (ça s’arrange en cours de route ne vous inquiétez pas). Même après avoir quitté la police, il a l’art de se fourrer dans des affaires tordues qui l’amènent à explorer des pans de la société cubaine qu’on trouve rarement en photo dans les dépliants touristiques. Ce sont plutôt ces récits virtuoses, fruits de longues recherches, qui placent le Cubain sur la liste officieuse des candidats au Prix Nobel de Littérature.

Les brumes du passé. Em seu novo livro Leonardo Padura revela paixões além da escrita. Além de grande ficcionista, o escritor cubano Leonardo Padura também produz ensaios de grande envergadura.

Em seu novo livro Leonardo Padura revela paixões além da escrita

É o que prova o conjunto reunido no livro Água por todos os lados, que a Boitempo lança em 14 de setembro. Cuba: de Mantilla au reste du monde, Leonardo Padura raconte La Havane. La Havane fête ces jours-ci le 500e anniversaire de sa fondation et Leonardo Padura est l'écrivain cubain qui actuellement raconte le mieux « sa » ville. Son œuvre, romans et essais, est traduite en 28 langues et il voyage beaucoup de par le monde pour communiquer sa passion pour La Havane. Une passion parfois douloureuse. « Plus que dramatique, l'appartenance est tragique », écrit-il dans son dernier recueil Aguas por todas partes. Rencontre. Mario Conde. L'Homme qui aimait les chiens. L'Homme qui aimait les chiens. L'Homme qui aimait les chiens.

Padura Leonardo : Introduction au cycle Mario Conde. Leonardo Padura Introduction au cycle Mario Conde Cuba – Métailié (2002) Leonardo Padura et Mario Conde. Une aventure cubaine (I) L’écrivain cubain Leonardo Padura, reconnu internationalement pour son roman L’homme qui aimait les chiens, est aussi l’auteur d’une série de romans policiers dont le détective havanais Mario Conde est le personnage principal. Inspiré par les romans noirs anglais, l’auteur construit cette série en suivant les préceptes de son mentor J.D. Salinger, « très inspiré par la simplicité ». Voici une condition d’écriture pour l’auteur : une histoire simple ayant la capacité d’émouvoir le lecteur et dont les ressources littéraires se focalisent sur la description dense du contexte et le traitement minutieux des personnages.

Ces caractéristiques font de ce genre une source d’indéniable valeur pour la compréhension et les études sur l’histoire sociale d’une époque. Les romans noirs de Padura nous offrent un point de vue imprenable pour contempler l’histoire et la vie quotidienne du peuple cubain, dépeinte par la plume critique de l’auteur. Les quatre saisons. « L’homme qui aimait les chiens », de Leonardo Padura. Cet article est composé d’extraits d’un long article d’Alan Woods publié sur In Defence of Marxism La parution en anglais [et en français] du roman L’homme qui aimait les chiens, de l’auteur cubain Leonardo Padura, est un événement littéraire et politique majeur. Né à La Havane en 1955, Leonardo Padura est un romancier d’envergure, ainsi qu’un journaliste et un critique.

Ses récits du détective Mario Conde ont été traduits dans de nombreuses langues et ont remporté des prix littéraires dans le monde entier. Padura est surtout connu pour ses romans policiers. Mais L’homme qui aimait les chiens est d’un genre bien différent. Le titre intrigant du roman est le fruit d’un procédé littéraire au moyen duquel l’auteur relie les destinées des trois principaux personnages : l’écrivain cubain Ivàn, le grand révolutionnaire russe Léon Trotsky et son assassin Ramon Mercader. Benjamin Stora : L'homme qui aimait les chiens, de Leonardo Padura. "L'homme qui aimait les chiens", de Leonardo Padura : l'homme qui tua Léon Trotski.

Maître du polar cubain, Leonardo Padura a laissé de côté sa créature, l'enquêteur Mario Conde, pour s'attaquer à un duo autrement réfractaire, Léon Trotski et son assassin, Ramon Mercader. Le premier est assez connu depuis la biographie d'Isaac Deutscher, qui en avait fait le "prophète armé" de la révolution russe, "désarmé" ensuite par son adversaire Staline, avant de devenir un "hors-la-loi" dans une "planète sans visa". En revanche, le meurtrier au piolet est resté un mystère en dépit de l'ouverture des archives de Moscou.

Grand Entretien avec Leonardo Padura. Au sommaine de La Grande Table de ce Mardi 4 Janvier 2011 : 1ère partie : Table critique François Angelier, Joseph Ghosn et Pierre Vavasseur Autour de l'exposition Marc Riboud, I comme image à la MEP du 15 décembre au 30 Janvier et dulivre Caïn de Jose Saramago (Le Seuil).2ème partie : Grand entretien avec Leonardo Padura Leonardo Padura et René Solis ©Radio France / Géraldine Amblard Augustinus Nous avons le plaisir de recevoir Leonardo Padura pour son livre *L’Homme qui aimait les chiens * (Métailié) : 660 pages foisonnantes, passionnantes, extrêmement denses et riches, qui mêlent avec grand art la fiction et l’Histoire.

*L’homme qui aimait les chiens * , est le récit d’un triple exil : celui de Léon Trotski, chassé d’URSS par celui qui ne cessera d’utiliser son nom pour justifier la terreur : Joseph Staline. Vents de Carême, une enquête du lieutenant Mario Conde - Les quatre saisons 2. Traduit de l'espagnol (Cuba) par François Gaudry. Hérétiques. Lancé sur la piste d’un mystérieux tableau de Rembrandt, disparu dans le port de La Havane en 1939 et retrouvé comme par magie des décennies plus tard dans une vente aux enchères à Londres, Mario Conde, ex-policier reconverti dans le commerce de livres anciens, nous entraîne dans une enquête trépidante qui tutoie souvent la grande histoire.

On y fréquente les juifs de la capitale cubaine, dans les années prérévolutionnaires, tiraillés entre le respect des traditions et les charmes d’un mode de vie plus tropical des adolescents tourmentés d’aujourd’hui, dont les piercings et scarifications semblent crier au vu et au su de tous leur rejet de l’Homme Nouveau et des carcans faussement révolutionnaires mais aussi les copains du Conde, chaleureux et bienveillants, toujours prêts à trinquer à la moindre occasion avec une bonne bouteille de rhum. Leonardo Padura, le Havanais universel. Les voyages de Leonardo Padura ne sont qu'une succession d'escales. Leonardo Padura : "La littérature m’a sauvé la vie à bien des égards" Mes histoires partent toujours de Cuba, démarrent à Cuba et reviennent à Cuba. Leonardo Padura Fuentes : biographie, actualités et émissions France Culture. Leonardo PADURA est né à La Havane en 1955. La transparence du temps de Leonardo Padura - EVADEZ-MOI.

Traduction d’Elena Zayas.