Mélanome de la peau : les points clés - Points clés - Mélanomes de la peau. Un mélanome est une tumeur maligne qui se développe à partir de cellules de la peau appelées mélanocytes.
Il représente une minorité des cancers de la peau, mais c’est le plus grave d’entre eux. Lorsqu’il est détecté tôt, au tout début de son développement, il peut être guéri. Dans 80 % des cas, le mélanome se manifeste par l’apparition d’une tache pigmentée sur la peau saine qui ressemble à un grain de beauté et dans 20 % des cas, par la modification de couleur et de forme d’un grain de beauté préexistant.
On distingue quatre principaux types de mélanome de la peau : le mélanome superficiel extensif; le mélanome nodulaire le mélanome de Dubreuilh; le mélanome acrolentigineux. Chaque mélanome est unique et se caractérise en fonction :de son épaisseur; de la présence ou non d’une ulcération (plaie) à sa surface ;de son étendue éventuelle aux ganglions les plus proches ou sous forme de métastases dans d’autres organes. Le choix des traitements est personnalisé et adapté à votre situation. Les mélanomes.
Comprendre les mélanomes Une tumeur des cellules pigmentaires Le mélanome est une tumeur maligne des cellules de la peau qui fabriquent la mélanine, un pigment qui colore la peau et la protège des méfaits des rayons ultraviolets.
L'histoire naturelle et l'augmentation de fréquence du mélanome sont intimement liées à l'exposition solaire. Le mélanome est une tumeur maligne du système pigmentaire. Elle se développe à partir des mélanocytes (voir infographie), les cellules qui produisent le pigment du bronzage, la mélanine. Une fréquence en forte augmentation Dans les pays occidentaux, la fréquence des mélanomes est multipliée par deux tous les dix ans depuis 50 ans. Les médecins alertent sur les dangers des cabines de bronzage. Pourquoi les campagnes de prévention incitant à se protéger du soleil ne fonctionnent-elles pas ?
Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, tiendra une conférence de presse, mercredi 23 mai, pour dresser un état des lieux pour mieux prévenir les cancers de la peau. "Le nombre de cancers de la peau double pratiquement tous les dix ans", et les campagnes de prévention semblent "vouées à l'échec", écrivent Jean Civatte et Jacques Bazex, de l'Académie nationale de médecine, dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié mercredi 23 mai. Il existe deux grands types de cancers de la peau : les carcinomes, qui représentent 70 % des cancers cutanés, et le mélanome, plus rare mais aussi plus grave. 9 780 nouveaux cas de mélanomes cutanés ont été détectés en 2011 en France, et cela a provoqué 1 620 morts.
L'incidence du mélanome cutané a plus que triplé entre 1980 et 2005. Accroissement alarmant des cancers de la peau chez les moins de 40 ans. Le nombre de cancers de la peau connaît un accroissement alarmant chez les moins de 40 ans aux Etats-Unis depuis les dernières décennies, selon une étude publiée lundi 2 avril dans la revue Mayo Clinic Proceedings, qui attribue ce phénomène en partie à l'usage des salons de bronzage.
Des chercheurs ont analysé les statistiques des patients âgés de 18 à 39 ans diagnostiqués pour la première fois d'un mélanome entre 1970 et 2009. Ils ont constaté que, durant cette période, l'incidence de ce cancer a été multipliée par huit chez les jeunes femmes et par quatre chez les hommes. Sur l'ensemble d'une vie, le risque de mélanome est plus grand chez les hommes que chez les femmes, mais c'est l'opposé chez les jeunes adultes et adolescents, précisent les auteurs de ces travaux dirigés par docteur Jerry Brewer, un dermatologue de la Mayo Clinic. Ces chercheurs se sont appuyés sur l'étude d'un groupe de population d'un comté du Minnesota suivi par la Mayo Clinic depuis plusieurs décennies.
Le Monde. Crème solaire : le bon sens est ce qui protège le mieux votre peau. L'indice de protection solaire affiché par les fabricants sur les tubes de crème solaire est-il surestimé?
Libération consacre la couverture de son édition datée des mardi 14 et mercredi 15 août et quatre pages aux travaux de la professeure Laurence Coiffard, directrice du laboratoire Pharmacie industrielle et cosmétologie de l'université de Nantes. Celle-ci a recours à une méthode in vitro, non reconnue par les autorités sanitaires et les industriels, pour évaluer la capacité des crèmes solaires à filtrer les rayons ultra-violets B (UVB). Or les tests qu'elle a pratiqués sur plus de trente produits montrent des écarts parfois importants avec l'indice de protection revendiqué, déterminé, lui, par des tests in vivo. Ainsi, pour les crèmes Alphanova bébé, Hello Kitty30 ou Lovéa Kids, l'écart est inférieur de 13 à 20 par rapport à l'indice affiché de 30.
A l'inverse, des crèmes ont un indice de protection plus élevé. Paul Benkimoun.