Motif Japonais. Chaque motif geometrique japonais possède une symbolique forte et en lien avec le folklore ou la tradition japonaise.
Ishidatami est le mythique motif damier japonais. En raison de sa conception simple, l'Ishidatami a été utilisé de nombreuses façons différentes au fil des ans. Chaque nouveau développement du motif a été dicté par la mode de l'époque, généralement en utilisant la couleur la plus populaire du moment ! Le feuilles de cette plante aquatique japonaise sont en forme de losange. On appelle cette plante, la châtaigne d'eau. Ce motif puise son inspiration des mailles obtenues après avoir tressé un panier japonais en bambou.
Tachiwaku est le modèle japonais ressemblant à une vapeur montante. Le motif Asanoha est un dessin géométrique symbolisant une feuille de chanvre. À l'époque d'Edo, il était courant d'avoir des cloisons de séparation en treillis. Komon signifie "motif fin", et désigne des motifs composés de minuscules détails, apparaissant de loin comme une couleur unie. Kiku. Hamonshū - la mer en motifs japonais. L’artiste japonais Mori Yuzan a publié en 1903 un guide japonais des formes de vagues intitulé Hamonshū.
Un ouvrage destiné aux artisans nippons et leur donner les motifs nécessaires pour orner épées, céramiques et autres objets décoratifs. Ce guide composé de 3 volumes a été numérisé et est désormais disponible gratuitement en ligne sur Internet Archive (lien) Voici quelques extraits de Hamonshū , guide japonais des formes de vagues du début 20ème siècle: Hamonshū - la mer en motifs japonais. Le peintre et ses motifs article de Georges Roque sur Persee. Georges Roque 1) Signification primaire ou naturelle On la saisit en identifiant de pures formes (c'est-à-dire des configurations de lignes et de couleurs) comme représentation d'objets naturels (animaux, humains, plantes), et en identifiant leurs relations mutuelles comme événements.
L'univers des pures formes que l'on reconnaît ainsi chargées de significations primaires ou naturelles peut être appelé l'univers des motifs artistiques 3. Le dénombrement de ces motifs constitue une description pré-iconographique des œuvres d'art. 2) Signification secondaire ou conventionnelle On la saisit en prenant conscience du fait que, par exemple, un personnage masculin muni d'un couteau représente saint Barthélémy. 3) Signification intrinsèque ou contenu On la saisit en prenant connaissance des principes sous-jacents qui révèlent la mentalité de base d'une période, d'une nation, particularisée par la personnalité de tel artiste et condensée dans telle œuvre d'art unique.
Motifs géométriques. LA GAZETTE DES ARCHIVES PIERRE FREY, Sept. 2014.
Tous les documents reproduits dans cette gazette sont issus de nos collections ou du département Archives. Les motifs géométriques « Un voyage imaginaire dans l’histoire de l’Art » De récentes fouilles archéologiques en Géorgie ont permis d’attester que l’homme utilisait des tissus, il y a 36000 ans. En effet, des fragments de lin présentant des marques de torsions et de couleurs ont été retrouvés dans la grotte de Dzudzuana. Cette découverte engendre une réflexion sur la naissance des étoffes qui jusqu’alors était datée du Néolithique. Le motif géométrique est une abstraction, une forme qui n’est pas une représentation d’une chose réelle dans notre monde quotidien. Dessin, 20e siècle Etoffes tissées, 19e siècle ci-dessus Dessins 20e siècle ci-dessus Les complexes réunissent un ensemble hétéroclite de motifs aux origines diverses.
Toile de coton imprimées, 18e siècle, B1887 et Inv.BR298. Le motif & ses origines - Textile Addict. L'art du tapa - outre-mer Futuna. Ressource sur la pratique du tapa en oceanie web. L'odyssée de l'écriture (1/3) - Les origines - Regarder le documentaire complet. L’écriture commence par des images : les hiéroglyphes égyptiens, dont les premières traces datent de 3700 avant notre ère, les marques creusées sur des tablettes d’argile par les Sumériens pour tenir les comptes, les glyphes mayas ou encore les idéogrammes chinois.
Tout groupe humain qui invente l’écriture utilise donc des images, ainsi que le principe du rébus, c’est-à-dire une méthode par laquelle une image représente un son. Mais comment sommes-nous passés de ce système à celui de l’alphabet ? Le secret se trouve dans le Sinaï, où l'égyptologue français Pierre Tallet nous guide à la découverte du premier alphabet au monde.