L'indice McSween. Pendant ce temps au Soudan du Sud. Ayant acquis son indépendance du Soudan en 2011, le Soudan du Sud est LE plus jeune pays du monde.
Mais l’indépendance amène avec elle son lot de fléaux pour le pays et ses habitants, comme le décrypte l’émission Tous les internets dans cette capsule. Depuis l’indépendance du Soudan du Sud, la rivalité entre le président Salva Kiir et son vice-président Riek Machar est à son comble et les combats éclatent dans le pays. Depuis 2013, la guerre civile fait rage dans plusieurs villes du pays et les habitants se retrouvent exilés, cachés dans les marais, loin des villes. Ce conflit entre les deux hommes de pouvoir s’est transformé en guerre ethnique et les massacres de civils arrivent malheureusement sur une base fréquente.
L’ONU dénonce ce «processus continu d’épuration ethnique», comparable au génocide rwandais de 1994. Dans ce climat de guerre civile et d’instabilité, le pays est de plus en proie à la famine. Selon Amnesty International: Je suis itinérant et j'existe. Leur présence crée souvent un malaise.
Que dire à un itinérant qui nous tend la main ? La plupart d’entre nous vont fuir son regard, au mieux lui tendre un peu de monnaie ou lui dire « désolé » avec une moitié de sourire. En as-tu vraiment besoin ? En 1983, sur la rue Edmond à Salaberry-de-Valleyfield, il y avait un petit garçon légèrement plus vieux que moi, dont le vélo était reconnaissable par le bruit qu’il dégageait.
Sa chaîne de vélo était rouillée. Pour lui, j’étais riche, mon vélo-à-bientôt-juste-deux-roues était bien huilé. La vie de Simon est un film. Ainsi commençait ma chronique du 7 octobre 2007 : « C’est une formidable histoire d’amour que je vais vous raconter. » L’histoire d’Olivier et de Martin.
Olivier : un petit garçon d’Hochelague qui n’a pas tiré le bon billet à la loterie de la vie. Père absent, mère inapte, désorganisé à l’école, fréquentations déjà toxiques au primaire. À 6 ans, Olivier fuguait. Martin : cinéaste en devenir, 30 ans, devenu par les bonnes œuvres du Dr Gilles Julien le « grand frère » d’Olivier. La chronique tournait autour d’un projet fou lancé par Martin. J’étais allé visiter Olivier dans son école située en forêt, c’était le cœur de la chronique. Cas de conscience - En un CLIN D'OEIL.
Rwanda : des drones pour les urgences médicales. Survivre avec un budget alimentaire de 18 $ par semaine. Accès à l'eau: une Gambienne au départ du marathon de Paris un bidon d'eau sur la tête. Le dossard n°64173 accroché à sa tenue traditionnelle, Siabatou Sanneh, Gambienne d'une quarantaine d'années, a pris dimanche le départ du marathon de Paris, marchant avec un bidon sur la tête pour sensibiliser l'opinion aux kilomètres parcourus en Afrique pour chercher de l'eau.
Sandales aux pieds, la marcheuse porte son message sur des panonceaux: "En Afrique, les femmes parcourent chaque jour cette distance pour de l'eau potable", "aidez-nous à réduire la distance". "Chaque jour, on va chercher de l'eau et c'est très loin", expliquait-elle avant la course à l'AFP, avec l'aide d'une traductrice. Cette femme longiligne a accepté de quitter pour la première fois son pays et de se glisser au milieu des quelque 54 000 coureurs du marathon pour "s'aider elle-même, aider sa famille et son village". Télé-Québec. Bernard Adamus — Montréal. Centre d'étude et de coopération internationale. Bianca Longpré. J'ai 36 ans.
Je suis une enfant de BS. J'ai été élevée en campagne par une mère monoparentale, fumeuse, de quatre enfants sur l'aide sociale dans une vieille maison. Ma mère recevait le bien-être social et une pension alimentaire de (tenez-vous bien) 300 $ par mois pour ses quatre enfants. Comments. Fermer la place Émilie-Gamelin pour mieux la rouvrir. C'est un espace hypercentral, dans une ville hypersécuritaire.
Un espace auquel on a ajouté de gros jeux d'échecs et des camions de bouffe. Jeunesse Cambodge. Plus de mal que de bien. PHNOM PENH, Cambodge — À l’instant où le tuk-tuk bringuebalant me dépose aux portes de l’orphelinat Home of Hope, après s’être frayé un chemin à travers les rues agitées de Phnom Penh, sept volontaires espagnoles sont, elles, en train de faire leurs adieux.
Sourire aux lèvres, elles prennent la pose avec les enfants pour les photos souvenirs. Qui paie le prix de nos vêtements ? Remonter dans le bus de la vie. Il menait une vie active, il avait des diplômes, un métier.
Sa femme avait un plus gros job que le sien. Alors il a gardé le fort à la maison, il s’est occupé des enfants : les devoirs, les repas, le soccer. ICI Radio-Canada.ca. ICI Radio-Canada.ca.