Tsunami. Plans de gestion de crise : volet transports - Site internet du CETE de Lyon. Pour protéger les populations dans le cas d’un évènement majeur imprévu (rupture de barrage, incident chimique ou nucléaire, par exemple), il est nécessaire de définir et d’évaluer des stratégies d’évacuation utilisant les différents moyens de transports disponibles.
L’objectif est de limiter les risques de paralysie des réseaux de transport. Un plan d’évacuation est alors consigné dans un document de planification, mis à disposition des gestionnaires de crise. La direction territoriale Centre-Est peut apporter son aide par une : Les actualités de la rubrique Gestion de crise. Pourquoi un POMSE (Plan d’Organisation et de Mise en Sureté d’un Etablissement) ?
Un accident majeur peut provoquer une situation d'exception laissant un certain temps la communauté d’une entreprise ou d’un établissement recevant du public (ERP) seule et isolée face à la catastrophe (plus de téléphone ni d'électricité, intervention des secours différée,...). Les évènements marquants de ces dernières années ont montré la vulnérabilité des établissements et de ses occupants face aux risques majeurs et l’importance d’une préparation en amont. Les Entreprises Face à la Gestion des Risques Climatiques. Le monde change, les temps changent, et il semble que la gouvernance des entreprises est aussi sur la voie du changement.
Comment pourrait-il en être autrement ? Tant il est vrai, qu’il est de plus en plus difficile aux chefs d’entreprises de nier l’impact du réchauffement climatique ou de la raréfaction des ressources naturelles sur la conduite de leurs affaires. Constant Calvo L’interdépendance des pays ajoute à l’incertitude et aux risques d’une économie mondialisée dans laquelle une catastrophe naturelle dans une région du monde, comme celles auxquelles on a assisté tout au long de l’année 2012, peut provoquer des dysfonctionnements, des dégâts et dommages partout ailleurs, affectant la santé et le bien-être des uns, l’approvisionnement et les relations commerciales des autres, ici l’emploi et la sécurité matérielle, là les échanges, les transports et la communication. Marseille : un incendie en forme d'avertissement pour les Calanques. La Corse face aux risques majeurs. La Corse est un petit joyau de nature brute au large de nos côtes Méditerranéennes, une île montagneuse toujours sauvage mais particulièrement exposé aux risques naturels.
C'est le risque feu de forêt qui majore la couverture des risques naturels en Corse, tant le climat et la végétation qui couvre l'essentiel de l'île sont propices aux incendies. L'île de Beauté a d'ailleurs connu dans son histoire des feux catastrophiques particulièrement destructeurs et incontrôlables qui ont parfois ravagé des milliers d'hectares de maquis. Comme toute île, la Corse est confrontée au risque de submersion marine sur son littoral, mais surtout aux violents orages qui déversent des pluies torrentielles et provoquent régulièrement d'importantes inondations sur son territoire. Comme le rappelle le Préfet de Haute-Corse dans le reportage, l'île est vraiment en situation d'accumulation des risques, tant naturels que technologiques (avec l'intense trafic maritime qui passe le long de ses côtes).
Cinq morts dans un exercice d’abandon à bord du Thomson Majesty. Cinq membres d’équipage du paquebot Thomson Majesty sont décédés hier lors d’un exercice réalisé dans le port de Santa Cruz, aux Canaries.
Lors de cette manœuvre, qui ne concernait pas les passagers, les câbles retenant un canot de sauvetage devant être mis à l’eau ont lâché, faisant chuter l’embarcation. Celle-ci s’est écrasée ... Cinq membres d’équipage du paquebot Thomson Majesty sont décédés hier lors d’un exercice réalisé dans le port de Santa Cruz, aux Canaries. Lors de cette manœuvre, qui ne concernait pas les passagers, les câbles retenant un canot de sauvetage devant être mis à l’eau ont lâché, faisant chuter l’embarcation. FACE AU RISQUE - Feu de patients : le risque mis sur la table. Photo Franck Boston/Fotolia.com Parmi les nombreux risques à gérer dans les hôpitaux, le feu de patients est sûrement le moins connu et le moins bien appréhendé en termes de prévention et de traitement.
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Les artistes Cizo et Felder ont fouillé dans les archives de l'Institut national de recherche et sécurité qui a sollicité la créativité de graphistes depuis 1947 pour réaliser des affiches à vocation préventive. Ils ont aussi créé de nouvelles affiches sur le même ton et dans le même style. Le résultat, tiré d'un livre, est exposé jusqu'au 16 février à la médiathèque François-Mitterrand à Poitiers, avec des objets et un film. « On entretient volontairement le flou entre les vraies et les fausses affiches », explique Cizo. « On brouille les pistes pour que chacun voie ce qu'il a envie de voir.
Alerte. PCS / DICRIM. Sciences : Comment évaluer les risques d'avalanche. Des spécialistes observent l'état de la neige pour tenter de prévenir skieurs, randonneurs et autorités locales des risques d'avalanche, mesurés par une échelle allant de 1 à 5.
Nouvelle Alerte sur les avalanches. Trois départements pyrénéens - Hautes-Pyrénées, Haute-Garonne et Pyrénées-Atlantiques - ont été placés en alerte orange par Météo France. Le risque est de niveau 5, «très fort», dans les Hautes-Pyrénées et de niveau 4, «fort», dans les deux autres départements. Météo France estime que «des départs spontanés d'avalanches vont se produire particulièrement au-dessous de 2000 mètres d'altitude. Certaines de ces avalanches pourront menacer des secteurs routiers.»
On connaît deux grandes familles d'avalanches. Des spécialistes sont tous les jours à la manœuvre pour évaluer au mieux les risques. Pas une science exacte. Les universités de Grenoble et de Savoie vont plus loin dans l'exploration sous-terraine. Recherche Pour la première fois, les entrailles de la terre ont été cartographiées à plus de 650km sous nos pieds.
Un nouveau pas dans l'exploration souterraine, réalisé par une équipe de chercheurs grenoblois, associant les universités de Grenoble et de Savoie, et le CNRS. Par Céline Aubert Publié le 07/02/2013 | 11:28, mis à jour le 09/02/2013 | 02:48 L'étude des bruits sismiques permet désormais de cartographier jusqu'à 650 km en-dessous de la surface terrestre. Vidéo. S'ils ont réussi cet exploit, c'est grâce au bruit sismique, lui-même mesuré grâce à un appareil appelé le sismomètre (capteur de mouvements). Voici un sismomètre, tout juste livré à l'Institut des Sciences de la Terre, qui va permettre de mesurer - entre autres - le "bruit sismique". Cinq Etats insulaires du Pacifique bientôt assurés contre les catastrophes naturelles. Vanuatu / / Océanie Les îles Marshall, Samoa, les îles Salomon, Tonga et Vanuatu participent à un programme pilote d’assurance contre les risques liés aux catastrophes qui devrait leur permettre de débloquer immédiatement des fonds en cas de catastrophe naturelle.
Un transfert de risques s’inspirant des régimes d’assurance Récemment lancé par la Banque mondiale, le Secrétariat général de la Communauté du Pacifique et le gouvernement du Japon, le programme d’assurance contre les risques liés aux catastrophes naturelles à l’essai dans le Pacifique vise à apporter un soutien financier immédiat aux pays frappés par des catastrophes naturelles. Prévention / Incendie : 1 français sur 3 ne souhaite pas installer de DAAF malgré la réglementation.
Si plus de la moitié des français se dit préoccupée par la prévention des incendies domestiques, 34% affirment pourtant ne pas vouloir installer de DAAF (Détecteurs avertisseurs autonomes de fumée), obligatoires en mars 2015. Selon une étude LH2 pour la société Kidde (spécialisée dans la fabrication de détecteurs de fumée, ndlr), on apprend que 77% des français prennent au sérieux le risque d’incendie domestique.
Pourtant, moins de la moitié (47%) considèrent que leur lieu d’habitation pourrait être touché. En ce qui concerne l’installation de détecteurs de fumée dans leur logement, les français sont 97% à savoir ce qu’est un DAAF. Ils sont 65% seulement à être informés que d’ici le 8 mars 2015, l’installation de ces appareils sera obligatoire dans chaque logement, du fait de la loi Morange. Actuellement, le taux d’équipement dans l’Hexagone est inférieur à 10% (Source Afnor). FIC : un PCA éprouvé est un PCA testé !
Daniel Guinier, Expert près la Cour Pénale Internationale de La Haye, Lieutenant-colonel (RC) de la Gendarmerie nationale, souligne, dans un premier temps, la différence entre PRA et PCA. L’objectif du Plan de Reprise d’Activité (PRA) est de savoir comment assurer la reprise des activités après un sinistre ou un incident, jusqu’à atteindre un retour à la normal. Le Plan de Continuité d’Activité (PCA) vise, quant à lui, plus largement à assurer une continuité de l’activité, quels que soient les événements. Toutefois, qu’il s’agisse de l’un ou l’autre, les démarches sont globalement communes, et nécessitent une préparation conséquente. Un PCA nécessite l’implication des métiers Claire Bernisson est Consultante en sécurité et gestion des risques chez LEXSI.
Prédire des catastrophes ? Microsoft et des chercheurs pourraient le faire. De temps en temps, l’informatique fait un bond et fait une incursion dans la science-fiction. Cette fois, des scientifiques ont, avec la participation de Microsoft, créé une technologie capable d’avaler des quantités monstrueuses de données dans une seule optique : prédire l’avenir, du moins dans une certaine mesure. Il s’agit en quelque sorte d’une idée basée sur le déterminisme et donc la causalité.
Si l’on part du principe qu’un évènement est toujours le résultat d’un certain nombre de causes imbriquées, alors il devrait être possible d’en prévoir certains, même en partant du principe que l’être humain ne dispose que d’une quantité limitée d’informations. Microsoft et des chercheurs du Technion (Institut de technologie d’Israël) se sont unis autour d’un projet très particulier.
Didacticiel de la règlementation parasismique. Le dispositif réglementaire parasismique repose principalement sur les articles R. 563-1 à R. 563-8 du code de l’environnement, ainsi que les arrêtés ministériels d’application précisant les règles parasismiques applicables aux différents types d’ouvrages. Cette réglementation a été actualisée par la parution des décrets n°2010-1254 et n°2010-1255 du 22 octobre 2010, modifiant les articles R. 563-2 à R.563-8 du code de l’environnement et introduisant le nouveau zonage sismique et les nouvelles règles de construction parasismique.
L’objectif de la réglementation parasismique est la sauvegarde des vies humaines pour une secousse dont le niveau d’agression est fixé pour chaque zone de sismicité . Pour ce niveau d’agression, un bâti courant peut alors subir des dommages irréparables mais il ne doit pas s’effondrer sur ses occupants.