Clément XIV. Clément XIII. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Biographie[modifier | modifier le code] Accession au pontificat[modifier | modifier le code] En 1759, Clément XIII mit à l'Index l'Encyclopédie de d'Alembert et Diderot[1]. Pudique à l'excès, il fit recouvrir de feuilles de figuier fabriquées en série les sculptures classiques du Vatican. Il fut le prédécesseur de Clément XIV La question des Jésuites[modifier | modifier le code] Le pontificat de Clément XIII fut troublé par les pressions continuelles que tentaient de faire sur lui les milieux français influencés par l'esprit des Lumières, pour qu'il supprimât les Jésuites. En France, le Parlement de Paris, dominé par la haute bourgeoisie et qui affichait des sympathies jansénistes, commença au printemps 1761 à faire pression pour expulser les Jésuites de France.
C'est pratiquement le même sort qui les attendait dans les territoires du duc de Parme et Plaisance, un Bourbon que conseillait le ministre libéral Guillaume du Tillot. Benoît XIV. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Prospero Lambertini, né à Bologne le , est le fils de Marcello Lambertini et de Lucrezia Bulgarini. Il est élu pape en 1740 sous le nom de Benoît XIV (en latin Benedictus XIV, en italien Benedetto XIV). Il meurt le 3 mai 1758. Jeunesse et carrière[modifier | modifier le code] Le pape des Lumières[modifier | modifier le code] en 1741, devant la preuve optique de la trajectoire orbitale de la Terre apportée par James Bradley, il fait accorder par le Saint-Office l'imprimatur à la première édition des œuvres complètes de Galilée.
Il crée à Rome une faculté de chirurgie et un musée d'anatomie, encourageant la dissection[1]. D'esprit ouvert, il témoigne un intérêt pour les relations interreligieuses en adressant une lettre au septième dalaï-lama, Kelzang Gyatso, qu'il remet au père capucin italien Francesco della Penna[2]. Il tenait en très haute estime le jésuite Francisco Suarez qui prônait le retour à la pensée théologique de saint Thomas d'Aquin. Clément XII. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Lorenzo Corsini, né le d'une célèbre famille dont était membre saint André Corsini et mort le , est un pape de l'Église catholique qui régna sous le nom de Clément XII (en latin Clemens XII, en italien Clemente XII). Biographie[modifier | modifier le code] Médaille en or à l'effigie du Pape Clément XII, 1730 Clément commença sa tâche par atténuer la corruption de certains bénédictins, améliora l'efficacité du gouvernement des États pontificaux, bien qu'il lui ait été reproché la création d'une loterie comme moyen de lever des fonds. Dans ses rapports avec les grandes puissances de l'époque, Clément reçut les mêmes humiliations que la plupart des papes de ce siècle. Il continua par ailleurs la pression sur les Jansénistes, dont la bulle Unigenitus marque le commencement, et surtout il fulmina, en 1738, la bulle In eminenti apostolatus specula contre la franc-maçonnerie.
Il disparut le , son successeur fut Benoît XIV. (liste non exhaustive) Benoît XIII (pape) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pietro Francesco Orsini, en religion, Vicenzo Maria Orsini (né le , Gravina in Puglia, dans l'actuelle province de Bari, dans les Pouilles, alors dans le royaume de Naples et mort le ) était un religieux dominicain italien de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle qui devint le 245e pape de l'Église catholique, sous le nom de Benoît XIII. Le procès de béatification de ce « Serviteur de Dieu » a été ouvert le 21 février 1931, et a été relancé par un acte du Tribunal diocésain du diocèse de Rome début 2010[1]. Le 13 janvier 2012, a eu lieu l'inauguration du processus de béatification et canonisation du Serviteur de Dieu, le Souverain Pontife Benoît XIII dans la Salle de la Conciliation au Palais du Latran, par Son Éminence le Cardinal Agostino Vallini, qui est le Vicaire Général de sa Sainteté pour le Diocèse de Rome[2].
Pietro Francesco Orsini naît en 1649 à Gravina (Naples) dans une famille célèbre. Sur les autres projets Wikimedia : Innocent XIII. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Innocent. En 1723, il protesta en vain contre l'invasion par l'empereur Charles VI du duché de Parme et de Plaisance, territoires sous suzeraineté pontificale. Il soutint le parti jacobite et du prétendant, Jacques François Stuart, auquel donna huit mille écus pour l'entretien de sa cour à Rome, dans le palais Muti Papazzurri; le cousin du pape, François Marie Conti, de Sienne, fut gentilhomme de chambre du prétendant. Il tint bon face aux Français et refusa de retirer la bulle Unigenitus. Néanmoins, il concéda le chapeau au cardinal Dubois. En 2005, à l'occasion des 350 ans (1655-2005) de la naissance d’Innocent XIII, les citoyens de Poli, village de naissance du pape, ont demandé au Saint-Siège d’introduire la cause de béatification du pape Innocent XIII. Clément XI.