Enfin une prise de conscience. Kaspersky : pas de Linux dans son OS destiné à la sécurité de l'IoT - ZDNet. Eugene Kaspersky, PDG de Kaspersky Lab, affirme que le tout nouveau KasperskyOS pour la sécurisation des terminaux IoT industriels ne contient pas "le moindre élément de Linux", le distinguant de nombreux autres produits IoT reposant sur le système open source.
Kaspersky a présenté le premier équipement disponible commercialement pour le marché de masse basé sur sa technologie KasperskyOS. Il s'agit d'un switch du fabricant russe Kraftway. Pas d'OS grand public car pas pensé pour la sécurité L'éditeur de sécurité assure qu'un nouvel OS est nécessaire pour protéger les systèmes de contrôle réseau et les périphériques de l'Internet des objets (IoT). Kaspersky met en avant le botnet IoT Mirai pour affirmer que le moment était venu pour KasperskyOS. Le système d'exploitation est censé répondre aux applications qui doivent fonctionner sur de petites plates-formes optimisées et sécurisées, y compris les commutateurs ICS, les routeurs, les caméras IP et les contrôleurs IoT.
Kudelski collabore avec Sigfox dans la sécurisation des objets connectés. Le fournisseur vaudois de services et solutions de cybersécurité Kudelski annonce un partenariat avec Sigfox dans le domaine de la sécurisation des objets connectés.
Créée en 2010, l’entreprise toulousaine Sigfox est spécialisée dans les réseaux de communication et les solutions de connectivité pour l'internet des objets (IoT). Pour parfaire la collaboration avec Sigfox, Kudelski a créé un centre d'excellence dédié à la sécurité dans l’IoT. Cette nouvelle structure va optimiser la sécurité autour du déploiement des produits Sigfox, et mieux protéger tous les transferts des données entre machines. Les utilisateurs des technologies de la société française pourront ainsir tirer pleinement profit des services qui les aident à s'assurer que leurs appareils et systèmes clients soient sûrs à tous les stades de développement, précise le communiqué.
Thales : lance ses solutions de sécurité de l'Internet des objets. Avec Keezel, le VPN devient un objet du quotidien - Les Echos. Australie : Thinxtra lève 20 millions de dollars pour son réseau IoT national. Thinxtra, une startup originaire de Sydney, a lancé une campagne de financement de 20 millions de dollars visant à étendre la portée de son réseau, qui rivalisera avec l’opérateur téléphonique Telstra.
Il permettra la connexion de produits tels que les compteurs d’eau, les thermostats et les bouteilles de gaz. Cette société a l’intention de jouer un rôle central dans l’émergence de l’IoT en Australie, en déployant un réseau permettant aux appareils IoT de communiquer avec une faible bande passante. Intel Security s'attaque à la sécurité des objets connectés. Jeudi 2 mars 2017 Malgré l’adoption croissante d'objets connectés, 42 % des Français disent ne pas savoir si l’un de leurs appareils connectés a déjà été corrompu.
#Toulouse : Adveez, spécialiste des objets connectés dédiés à la sécurité, lève 3,3 millions d'euros - Maddyness. Adveez, spécialiste des applications de géolocalisation dédiées à la sécurité, vient de lever 3,3 millions d’euros.
La startup toulousaine prévoit de recruter une dizaine de collaborateurs en France et aux États-Unis pour assurer son développement. Fondée en 2011, Adveez est une startup toulousaine spécialisée dans l’internet des objets. Sécurité des objets connectés : quels sont les bons réflexes ? Qu’il s’agisse de caméra de surveillance, d’interphone ou encore de votre nouveau réveil hyper-moderne qui sait quand vous réveiller, les objets connectés sont partout.
Connectés 24h/24 à Internet, ils sont là pour nous faciliter la vie et bien souvent on en oublie même leur présence. Pourtant, dans l’ombre, un danger réside. La plupart de ces objets ne sont pas encore conçus pour être à même de résister à des attaques. Selon une étude publiée début janvier, par Arxan et IBM, 80% des applications IOT ne sont pas testées pour résister à une attaque informatique. Alors que les constructeurs commencent à prendre conscience de ce qui devient une urgente nécessité, on vous expliquer comment assurer la sécurité des objets connectés. Nokia, IBM, AT&T, Symantec s'allient pour la sécurité de l'Internet des objets. AT&T, IBM, Nokia, Symantec, Palo Alto Networks et Trustonic ont annoncé le 8 février la création d'un consortium dédié à la sécurité de l'internet des objets.
Baptisé IoT Cybersecurity Alliance, le groupe a pour objectif d'éduquer les consommateurs et les entreprises et d'influer sur la création de normes et standards. Il ne développera en revanche pas ses propres normes. L'alliance compte sur la diversité des zones de compétences de ses membres, qui vont de l'objet lui-même jusqu'au cloud en passant par le logiciel et les couches réseau.
Les domaines d'application concernés sont également très nombreux : véhicules connectés, smart city, IoT industriel, matériel médical, produits de grande consommation... Le groupe d'entreprises pense ici aussi que son expertise sera utile, d'autant qu'AT&T annonce avoir détecté une augmentation des attaques sur les objets connectés de plus de 3 000% sur les trois dernières années.