Midem 2011 : un billet d’humeur. Midem / Midemnet, un mariage non consommé. Ce MIDEM ne sera pas comme les autres. Chaque année, on cours, on cherche les deux gagnants du MIDEM. La start up la plus ridicule et le débat franco-français qui va occuper et cristalliser les institutions et les sociétés civiles pour les 12 prochains mois. Mais un imprévu, qui a commencé lors de la réception, nous a privé de cette traditionnelle chasse à la tendance. Et oui, un sac sans sponsors et donc en mode « hard discount du cadeau promo » nous accueille dans un MIDEM qui a perdu plus de 500 visiteurs et la moitié de sa surface.
Des allées plus grandes, moins de badgés dans la salle de marché et un architecte d’intérieur venu en vitesse poser de fausses parois en cache misère. Midem, ce qui nous a marqué. Le management du Midem nous a vertement reproché d'avoir fait un tweet dans lequel nous évoquions notre sentiment que les marques étaient en moins grand nombre que la fois passée. Impression ou réalité? Peut être est-ce dû à une baisse des budgets des sponsors, mais l'impression, en tous cas restait largement partagée. Dans le chapitre des mauvaises nouvelles, l'érosion en faveur du fameux South by South-West américain semble maintenant significative. Plusieurs de nos contacts nous ont avoué ne pas participer au Midem cette année, pour finalement privilégier son alter-ego américain.
Le monde selon Apple… Frederic Neff, consultant indépendant en distribution physique et digitale, co-fondateur de Wearemusik, Monsieur @vivamusica sur Twitter, va vous expliquer concrétement ce que c’est que vendre de la musique sur le web dans le monde d’Apple.
Parce que bon, l’Itunes, c’est 70% du marché. Donc il vaut mieux savoir comment ça marche. Et ça marche pas toujours comme on le pense. Internet c’est universel? La Random Video #4: The Chemical Brothers – Let Forever Be. Streaming, gratuité, Deezer : tribune de la SPPF. Jérôme Roger, Directeur Général de la SPPF nous a transmis cette tribune que nous publions ci-dessous in extenso.
Les indépendants, représentés par la SPPF, veulent ici prendre part au débat opposant les offres gratuites (financées par la publicité) aux offres payantes, au mécanisme du streaming et plus globalement à l’épineuse question de la valorisation de la musique. M.R. « La gratuité n’est pas un modèle économique viable pour l’industrie musicale » Le Midem 2011 a été l’occasion de nombreux débats sur la viabilité économique des différents modèles de diffusion et de distribution de musique en ligne. Google Music arrive aux Etats-Unis, Spotify aussi. Hey iTunes, here comes Google Music, Spotify. Google is getting closer to debuting a music service, according to multiple music industry sources who spoke to CNET on condition of anonymity.
Google Music could launch as soon as next month, wrote Brad Stone of BusinessWeek in a story last week. My music industry sources say, however, that it is highly unlikely for Google Music to debut that soon and predicted that because Google still has to negotiate some very complex licensing agreements, it will take months rather than weeks for the service to get off the ground. Another holdup is that each record company has a different view of how a cloud music service should work. Last year, when word leaked that Google planned on a music service, record industry sources said Google managers were telling the labels they hoped to launch sometime in the fall.
Then, that date got pushed back to the end of the year. Nobody is more thrilled about Google's entry into digital-music distribution than the four largest record companies. Here's Why Google Music Might Never Launch. Google Music : les sociétés de gestion des droits d'auteurs s'opposent. Lors de la Google I/O de mai 2010, Google annonçait l'acquisition de Simplify Media pour ajouter à Android la possibilité de streamer de la musique depuis iTunes.
Cette fonction de streaming a fait son apparition dans le lecteur musical d'Android Honeycomb, mais pourrait aussi servir à Google Music, le service de musique en ligne maintes et maintes fois annoncé et repoussé de la firme de Mountain View. Spotify pourrait brider l'écoute gratuite pour satisfaire les majors. L'écoute gratuite et illimitée sur Spotify sera-t-elle un jour de l'histoire ancienne ?
Selon des informations collectées par CNET, le logiciel d'écoute de musique en ligne réfléchirait aux moyens de limiter les avantages de la version gratuite du service, afin de séduire les maisons de disques. En effet, Spotify bataille depuis plusieurs mois pour entrer sur le marché américain. Pour convaincre les labels de musique de lui accorder une licence de diffusion, Spotify aurait fait deux grandes concessions. Tout d'abord, le service suédois accepterait de reverser une part plus importante aux quatre maisons de disques. Spotify : la difficile aventure américaine. Le lancement de Spotify aux États-Unis n'est pas une sinécure à en croire Faisal Galaria, responsable du développement du service de streaming de musique, dans une interview à StrategyEye.
Depuis plus d'un an l'arrivée de Spotify outre-Atlantique semble à chaque fois imminente, mais les propos de Galaria traduisent la complexité de ce marché, par sa structure, le poids d'iTunes et les petits intérêts personnels au sein des labels. Spotify a une date de mise en route prévue aux États-Unis, mais Galaria se refuse à la donner et souligne qu'il s'agit d'un projet de longue haleine : personnel à recruter, data centers à préparer, mise en place des services de paiement, le tout sur un marché qui s'il comprend un seul pays n'en a pas moins les mêmes caractéristiques qu'une somme de pays européens “Il y a 5000 sociétés de perception des droits d'auteurs”. Beezik, 1 titre de musique à télécharger contre une pub vidéo. Lancé il y a un an et demain, Beezik a trouvé sa place en complément des modèles existants.
Pas de streaming ponctué de pubs audio, pas d’achat de titres ou d’albums, pas d’abonnement mensuel pour un accès illimité, Beezik propose un deal qui a déjà converti 1.6 M de membres: 1 pub vidéo de mois de dix secondes en échange du téléchargement gratuit d’un titre sur son PC et de sa synchronisation sur son smartphone iPhone, Blackberry, Android, Samsung… L’utilisateur a le choix entre quatre messages différents avant chaque téléchargement et gagne de plus des points qui lui permettront des réductions sur des achats en ligne chez des partenaires.
The Most Popular Music Websites In 2010. Marketing musical : la voie du QR code » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques. L'intéressante et originale initiative du projet musical nantais "Gratuit" nous donne l'occasion de revenir sur le concept du QR code, qui, utilisé intelligemment devient un redoutable outil marketing.
Après des études de philosophie et de musicologie, Emmanuel Parent a obtenu un doctorat d’anthropologie à l’EHESS en 2009. Il est chercheur associé au LAHIC et membre du programme ANR Improtech. Co-responsable de la rédaction de Volume! La revue des musiques populaires, il travaille depuis 2009 au Pôle régional des musiques actuelles des Pays de la Loire, en tant que chargé de l’observation. Le dossier eMule-Paradise renvoyé à l'instruction.
Les Labs de l’Hadopi, j’ai envie d’y croire… En tous cas, j’y vais ! J’étais hier après midi (mercredi 2 février 2011) à la Bellevilloise au lancement des cinq Labs avec présentation des experts et premiers débats. Présidente et secrétaire général de l’Hadopi ont eu l’intelligence de ne pas s’écouter parler et de donner la priorité à ce concept censé favoriser l’intelligence collective. 9913-9540.main_p. 4 Steps To A New Music Business. By now everyone has read a string of thoughtful predictions by many great music industry minds regarding the future of the music business, and most of them certainly have merit.
Let me propose the 4 steps that I think would help thrust the music business truly into Music 3.0. Some of these you’ve no doubt heard before, but some you may have not. 1) New Blood For The Industry - The music industry was creatively at its best when the pioneers of the business (Berry Gordy, Ahmet Ertegen, Mo Ostin, Jac Holzman, etc.) were actively running their companies. They were fans first, businessmen second, and they intimately knew their audience well because they were part of it.
Everything changed in the 80’s when the increasing music industry revenue became so attractive that these entrepreneurs were bought out by multi-national corporations. But that’s beginning to change as we witness a big shakeout in the music industry right before our very eyes. But other barriers exist as well.