Mission - Centre d'amitie autochtone de Val-d'Or. Nametau innu : mémoire et connaissance du Nitassinan. Roby Sandy-Robinson - La Convention du Nord-Est québécois.
Les négociations ont débuté en 1966, il y eu entente et une signature en janvier 1978. Après cette entente, le gouvernement a donné aux Naskapis un montant de 9 millions. Après la signature de cette entente, la Naskapi Development Corporation (NDC) a été créée et s’est développé. Elle a été mise sur pied en 1979 sous la loi des sociétés de développement des Naskapis. Il y a 5 buts à respecter: gérer cet argent pour le développement des Naskapis, placer cet argent pour avoir des intérêts, investir, voir à enrayer la pauvreté chez les Naskapis, voir à un avenir meilleur, encourager l’éducation dans le but de se diriger vers l’autonomie, voir à un environnement bon pour grandir et vivre. Nametau innu : mémoire et connaissance du Nitassinan. Samuel Pien - J’ai un comité de 4 personnes qui discutent sur le travail des policiers.
Il y a 2 rencontres par mois. On les informent sur les événements survenus dans la communauté. Nous avons demandé au Conseil, au chef et aux naskapis de se rassembler afin de travailler pour le mieux-être de la communauté, nous avons besoin de la communauté. Nous ne pouvons pas changer les choses, nous sommes sous l’autorité du conseil de bande, il y a des tâches que nous avons le droit de faire comme le droit de retourner les jeunes à la maison. Noah Swappie - Je parle souvent aux jeunes quand je les vois, ils veulent parler, ils embarquent avec moi, je veux savoir ce qu’ils vivent à la maison et au village. La deuxième vie de Schefferville. Un aréna flambant neuf.
Un centre de santé flambant neuf. Une garderie flambant neuve… D’abord, on se frotte les yeux : sommes-nous bien à Schefferville ? Eh oui ! L’ancienne capitale du fer, qu’on croyait morte depuis des lunes, renaît bel et bien de ses cendres. L'économie de la Côte-Nord au ralenti. Un reportage de Charles Alexandre Tisseyre Rémi Fortin pensait faire carrière toute sa vie dans l'industrie minière de la Côte-Nord.
Les minières, c'est la grosse piasse et ils te vendent du rêve que tu vas pouvoir en profiter, voyager, t'acheter des choses, des ski doos, des bateaux. Le référendum au Nunavik : un pas en arrière pour mieux avancer? Written by Date published Policy Options August 1, 2011 Share Story Le 27 avril dernier, les Inuits du Nunavik se sont prononcés par voie de référendum sur le projet de création d’un gouvernement régional dans le Nord du Québec.
Amis du Mushuau-nipi – Leadership et découverte au pays de la terre sans arbre. Les Montagnais d’autrefois, les Innus d’aujourd’h… – Cap-aux-Diamants – Érudit. En lecture : Module 5 Identités. Tourisme Autochtone Québec Art et culture - Tourisme Autochtone Québec. Lessard_david_-_emergence. Paradigmes socio-culturels associés au territoire forestier de la Baie James. 1 Eeyou Istchee, qui signifie Terre crie ou territoire cri, d’une superficie de quelque 400 000 km2, (...) 1Le développement de l’exploitation des ressources forestières en Eeyou Istchee1, lié à la diminution de la quantité de matière ligneuse disponible au sud du Québec et favorisé par la mise en place d’une série de politiques provinciales (droits de coupe peu élevés, subventions à la construction des chemins forestiers, concession de grands territoires aux industriels, politique d’accroissement de la capacité des usines), connaît un essor considérable à partir du milieu des années 1970, la superficie annuelle de coupe triplant en 25 ans.
En 1997, 5000 km2 de forêt ont déjà été déboisés, ce qui correspond à environ 10% du territoire. En outre, à partir des années 80, la chasse et la pêche sportives y sont aussi pratiquées sur une base intensive. 4 La Paix des Braves désigne l’« Entente concernant une nouvelle relation entre le gouvernement du (...) Foresterie: entente fragile entre Québec et les Cris. Paradigmes socio-culturels associés au territoire forestier de la Baie James. Mouvements politiques des Inuit* En 1975, Lisa Koperqualuk travaillait au Conseil communautaire de Puvirnituq comme étudiante.
Cet été-là, on ne parlait que de la Convention de la Baie-James et du Nord québécois (CBJNQ). Mais les Puvirnitumiut, avec les Inuit* de Ivujivik et la moitié du village de Salluit, décidèrent de ne pas signer cette Convention. Cette prise de position était l’expression d’un mouvement d’autodétermination des Inuit initié dans cette région bien avant la Convention. Lisa Koperqualuk revient sur l’historique de ce mouvement, ses protagonistes et les enjeux qu’il a soulevés. Et sur le fait que, 40 ans plus tard, malgré tous les efforts des Inuit du Nunavik, l’autodétermination politique réelle n’est toujours pas une réalité.
Il y a 40 ans, la Convention de la Baie-James était signée. « Le premier traité moderne signé au Canada » Le député néo-démocrate d'Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Romeo Saganash, avait 13 ans lors de la signature de la Convention.
Mais plusieurs années plus tard, il s'est illustré en tant que négociateur pour la nation crie notamment dans la mise en oeuvre de l'entente. Il explique que la CBJNQ marque un virage important dans l'histoire des Cris. « C'est le premier traité moderne signé au Canada qui était totalement différent des traités qui avaient été signés auparavant. C'est le premier traité également qui avait une implication provinciale. Le Québec a signé ce traité. Cahier_03. Lesdroitsancestrauxdespeuplesautochtones. Un nouveau paradigme pour le droit autochtone? Par auteur invité Martin Papillon Ça y est, c’est fait.
La Cour suprême a reconnu pour la première fois à une nation autochtone un titre ancestral sur ses terres traditionnelles. La nation Tsilhqot’in est donc en quelque sorte propriétaire de plus de 2000 km2 dans le centre de la Colombie-Britannique. Elle pourra ainsi gérer ces terres à sa guise et, surtout, en bénéficier de manière exclusive. Cette décision de la Cour suprême a fait couler beaucoup d’encre. Il faut d’abord préciser que cette décision est loin d’être une surprise. Et c’est là l’importance de cette décision. Les gouvernements avaient jusqu’à présent beau jeu de faire trainer en longueur les négociations portant sur les revendications territoriales de ces nations sans traités.