Acte cognitif – Didactique & cognition. Gilles Deleuze, parle de l’intuition de Bergson, comme d’une méthode plutôt que comme une théorie proprement dite. «L’intuition dont parle Bergson, est avant tout intuition de la durée, et la durée prescrit la méthode». Par l’intuition, dit Bergson, notre conscience entre en « sympathie » avec ce qu’il y a de plus unique dans les objets et les êtres que nous observons.
Elle seule, nous permet d’accéder à la nature profonde des êtres, « c’est l’expression de l’âme toute entière ». « Elle nous révèle une coïncidence parfaite entre le moi et le monde ». La durée: en fouillant notre « temps intérieur », Bergson l’appréhende comme un flux continu mais modulable. La mémoire et la conscience ne répondraient pas à la même temporalité que les phénomènes naturels, extérieurs, physiques. C’est dans la pratique artistique, que cette notion de flux continu modulable nous paraît la plus évidente.
L’art n’a plus à reproduire le visible, mais à rendre visible », disait Paul Klee. Intellectuelle. Approche écologique de la perception visuelle. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2013). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. L'approche écologique de la perception (et en particulier visuelle) a été proposée par James J. Gibson et fonde son analyse de la perception sur les rapports entre l'animal et l'environnement. Cette approche se veut en rupture avec le béhaviorisme ou le cognitivisme.
La théorie de Gibson a évolué au fil du temps mais sa version la plus aboutie a été publiée dans The Ecological Approach to Visual Perception en 1979 (traduction française 2014). Introduction[modifier | modifier le code] Une première tentative d'expliquer la perception visuelle fait intervenir la physique. Dans l'approche écologique de Gibson, cette notion de représentation est absente. Le monde peut être décrit à plusieurs niveaux. J. Attitude propositionnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une attitude propositionnelle est la manière dont un sujet se comporte par rapport à une proposition. Les attitudes propositionnelles les plus courantes sont croire que p, dire que p, penser que p, désirer que p... où p est la proposition qui est crue, dite, pensée ou désirée. Présentation générale[modifier | modifier le code] Les attitudes propositionnelles sont un sujet d'étude de la philosophie de la logique depuis la création avec Frege et Russell de la logique mathématique.
Celle-ci obéit à une règle qui est le principe de substitution. Or, ce principe semble être contredit par les attitudes propositionnelles. Selon la formule de Quine, on qualifie les attitudes propositionnelles de « contextes non extensionnels » ou « opaques », car la vérité des propositions de la forme Paul croit que p n'est pas fonction de la valeur de vérité des éléments de cette proposition. Voir aussi[modifier | modifier le code] Cognitivisme.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cognitivisme est le courant de recherche scientifique endossant l'hypothèse que la pensée est un processus de traitement de l'information, cadre théorique qui s'oppose, dans les années 1950, au béhaviorisme. On l'inscrit généralement dans l'approche computo-représentationnelle de l'esprit, bien que depuis la fin des années 1980, le modèle connexioniste rivalise avec le computationnalisme. Ce courant s'inscrit à l'opposé du béhaviorisme, mouvement qui remettait en question la scientificité de l'étude de la cognition, celle-ci n'étant pas directement observable. Notons que, dans la francophonie, cognitivisme est parfois employé comme synonyme de sciences cognitives, ce qui n'est pas tout à fait exact. Il s'agit plutôt du courant de pensée qui, dans les années 1950, s'opposant au béhaviorisme, donna par la suite naissance aux sciences cognitives.
Cognitivisme psychologique et cognitivisme philosophique[modifier | modifier le code] Enquête inter-objective, environnement « augmenté » et développement professionnel. 1Les différents apports de Dewey concernant les conceptions de l’enquête, du développement humain et des transactions entre organisme et environnement nous apparaissent particulièrement fertiles pour concevoir et mettre en œuvre des dispositifs innovants de formation initiale et continue à l’enseignement. L’usage que nous faisons du pragmatisme de Dewey a déjà été présenté dans plusieurs de nos articles, ceci sous divers aspects : processus de transformation de l’activité suscités par une enquête (Lussi Borer & Muller, 2013 ; 2014a ; 2014b), mise en œuvre d’une enquête collaborative (Lussi Borer & Muller, 2016 ; Muller, 2014), articulation de l’activité des formateurs et des formés dans une enquête (Muller & Lussi Borer, 2017). 3Un ensemble d’exemples empiriques présentés sous forme d’encadrés jalonnent le texte. 5Car, pour Dewey, l’homme est un organisme social de part en part, c’est-à-dire en transaction permanente avec un environnement social. 3.1 Une « augmentation » qualitative.
Etude qualitative et quantitative - définitions et différences. Nombreux sont ceux qui doivent collecter des données pour leurs recherches : un étudiant qui rédige un mémoire ou un professionnel qui effectue un travail de recherche. Pour mener à bien votre collecte de données empiriques, deux méthodes peuvent alors être employées : L’étude qualitative : est descriptive et se concentre sur des interprétations. Les résultats sont exprimés avec des mots.L’étude quantitative : permet de prouver ou démontrer des faits. Les résultats sont exprimés en chiffres (statistiques). Études qualitatives et quantitatives : définitions Dans un travail de recherche, les études qualitatives et les études quantitatives représentent des approches complémentaires.
Il s’agit pour son auteur de bien distinguer la première de la seconde. 1. Une étude qualitative a pour but de comprendre ou d’expliquer un phénomène (comportement de groupe, un phénomène, un fait ou un sujet). Ce type d’étude s’appuie sur une collecte de données obtenues grâce à deux méthodes principales : 2. 1. 2. Faire de la france un pays prospere humaniste et social ecologique et symbiotique.
Idéalisme. Le mot idéalisme a diverses significations au sein de la philosophie moderne. L'acception la plus répandue, non seulement dans la langue philosophique, mais dans la langue littéraire, est celle que lui a donnée Cousin dans sa Classification des systèmes de l'histoire de la philosophie, d'après les tendances fondamentales de l'esprit humain. En opposition à l'empirisme ou au sensualisme, l'idéalisme désigne en général tous les systèmes qui ont pour tendance d'élever la raison au-dessus des sens et de l'expérience.
Les systèmes idéalistes sont ceux, par exemple, qui, dans le monde extérieur, au lieu de s'arrêter aux phénomènes attestés par les sens et aux rapports de ces phénomènes, s'efforcent de pénétrer dans le monde invisible des substances et des causes dont ces phénomènes sont la manifestation, et jusqu'aux types immuables dont ils sont l'imagé mobile. Ce terme joue aussi un grand rôle dans l'histoire des systèmes de la philosophie après la fin du XVIIIe siècle. Image mentale et représentation propositionnelle - Persée. Distinguant divers types d'isomorphismes et en explicitant la notion de "medium analogique". Nous verrons quel genre d'isomorphisme diverses expériences nous incitent à attribuer à l'image. Nous critiquerons certains arguments tendant à démontrer qu'il y a nécessairement un niveau propositionnel de représentation sans lequel l'image n'est ni interprétable, ni traductible. Nous nous efforcerons ensuite de montrer que certaines conceptions de l'isomorphisme de l'image et du caractère analogique du medium des images proviennent d'une dévaluation de la notion de ressemblance qui, loin d'être récente, s'inscrit dans une tradition de pensée.
Les arguments des anti-imagistes seront enfin confrontés à ceux, empiriques et théoriques, des auteurs qui nient l'épiphénoménalité de l'image. Dans une deuxième partie, nous présenterons les positions des imagistes, et discuterons de l'intégration d'un composant propositionnel dans leurs modèles. 1. Critique des thèses propositionnalistes 1.1. James J. Gibson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. James Jerome Gibson (1904-1979) est un psychologue américain ayant joué un rôle primordial dans le domaine de la perception visuelle. Rejetant d'abord le béhaviorisme dans The Perception of the Visual World (La Perception du monde visuel, 1950) puis le cognitivisme dans The Ecological Approach to Visual Perception (1979) (Approche écologique de la perception visuelle, tr. fr 2014), il est à l'origine d'une nouvelle approche de la perception (la théorie écologique de la perception), dont la version la plus aboutie est présentée dans ce dernier ouvrage.
James J. Gisbon est le mari de la psychologue Eleanor Gibson, qui a conduit de nombreuses études expérimentales sur la perception des bébés et enfants dans le domaine de la psychologie du développement. La psychologie écologique[modifier | modifier le code] Selon Gibson, on ne peut expliquer la perception que dans la relation de l'animal avec son environnement, d'où le nom d'approche écologique. La psychologie cognitiviste. JUIGNET Patrick La psychologie de la connaissance n'est pas nécessairement cognitiviste. La psychologie cognitiviste est une reformulation de la psychologie de la connaissance dans le cadre du cognitivisme, c'est-à-dire en s'inspirant de la théorie de l'information.
Elle a eu lieu à partir des années 1950 aux USA et vers 1980 en Europe. Apporte-t-elle quelque chose à la connaissance de l'homme ? Pour citer cet article : JUIGNET, Patrick. La psychologie cognitiviste. Plan de l'article : Le référent de la psychologie cognitivisteLa diversification des recherchesLa probable impasse computationnisteLa piste de la représentationLe mental, le conscient et l'inconscientUn renouveau sur l'homme Texte intégral : 1. Quoique les termes soient souvent synonymes, plutôt que de "psychologie cognitive", nous préférons parler de "psychologie cognitiviste", pour marquer l'inspiration cognitiviste de ce courant de pensée et parce qu'il ne concerne pas que le connaissance. Environnement - individu - conduites. La stigmergie: un nouveau modèle de gouvernance collaborative – Lilian Ricaud.
Si le modèle concurrentiel crée des redondances et gâche des ressources sur la protection des idées, la publicité et autre, le modèle coopératif gâche beaucoup de temps et de ressources à discuter et à discuter les discussions. Entre ces deux modèles, la stigmergie, une nouvelle méthode de gouvernance inspirée du mode d’organisation des insectes sociaux, pourrait offrir un modèle alternatif plus adapté à la collaboration dans des grands groupes.
C’est quoi la stigmergie ? Définition de la stigmergie par Wikipédia : Application du modèle stigmergique aux organisations La théoricienne Heather Marsh a écrit un article remarquable sur l’application de principes issus de la stigmergie à la collaboration dans des grands groupes et comme une méthode de gouvernance alternative à mi-chemin entre les organisations fonctionnant sur un modèle de compétition celles fonctionnant sur un modèle de coopération. Voici une copie de l’article traduit. Stigmergie Le problème des organisations actuelles Nœuds. La séduction des cartes du geoweb. Le cas des flux de migrants internationaux. 1 Le site a fait l’objet de modifications depuis sa première mise en ligne, la dernière datant de fév (...) 1Le 26 octobre 2015, le petit monde de la cartographie thématique statistique est secoué par la publication d’une carte animée inédite montrant la supposée crise migratoire syrienne.
Une image valant plus de mille mots, selon l’adage attribué à Confucius, l’agence de communication finlandaise, au nom évocateur de "Lucify" met en ligne une application de cartographie interactive ( permettant de géovisualiser des flux migratoires dirigés vers l’Europe. 2La carte intitulée "The Flow Towards Europe" a été rapidement relayée par The independant (le 27 octobre 2015), puis par la presse française (Slate le 29 octobre 2015, le Nouvel Observateur le 30 octobre 2015). Il faut dire qu’elle fait suite à la campagne de communication de l’ONU2 qui avait lancé un appel à réalisations sur ces données. 10 Eurostat, 4/03/2016. Les données source. Maurice Bloch. Livre 7. Comprendre la cognition et saisir la connaissance dans l’interaction sociale. Mon Drive - Google Drive. Soutenabilité. "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de la soutenabilité Etymologie : de l'anglais sustainability, issu du latin sustinere, soutenir, empêcher de tomber, porter, supporter.
L'adjectif soutenable qualifie ce qui peut être : défendu, appuyé par des arguments sérieux, recevables. Ex : un point de vue soutenable. supporté, enduré. Ex : des scènes peu soutenables. Une partie du rapport Stiglitz-Sen-Fitoussi publié à l'automne 2009 est consacrée à la mesure de la soutenabilité. celle-ci met particulièrement en relief la distinction entre la mesure de la soutenabilité de celle du bien-être courant : "Avec la soutenabilité, il s'agit de savoir si nous léguons aux générations suivantes suffisamment de ressources pour leur assurer un niveau de bien-être au moins équivalent au nôtre. Domaine environnemental Face à la difficulté d'intégrer la contrainte environnementale dans le fonctionnement du système économique deux modèles écologiques contradictoires sont apparus: Théorie de la cognition située. La cognition située est une théorie qui pose le principe que le savoir est inséparable de l'action.
Par conséquent, toute connaissance est située dans une activité qui est liée aux contextes sociaux, culturels et physiques. La théorie de l'apprentissage situé La théorie de l'apprentissage situé met l'accent sur la légitimité de l'apprentissage dans des environnements productifs authentiques où les relations de communication entre machines et êtres humains sont prises en compte[1], notamment dans la perspective de l'intelligence artificielle. Proche de la notion de connaissance tacite formulée par Michael Polanyi, la théorie de l’apprentissage situationnel, s'en écarte car ses auteurs reprochent que les connaissances tacites sont le reflet marqué d'un concept d'apprentissage trop axé sur la pensée et les capacités d'apprentissage individuelles.
Deux auteurs en anthropologie culturelle, Jean Lave et E. Notes et références ↑ Lucy A. Bibliographie 1989, John Seely Brown, A. Théorie des intelligences multiples. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des intelligences multiples suggère qu'il existe plusieurs types d'intelligence chez l'enfant d'âge scolaire et aussi, par extension, chez l'Homme. Cette théorie fut pour la première fois proposée par Howard Gardner en 1983. L'origine de la théorie[modifier | modifier le code] Lorsque Howard Gardner publia son livre Frames of Mind: the Theory of Multiple Intelligence en 1983, il introduisit une nouvelle façon de comprendre l'intelligence des enfants en échec scolaire aux États-Unis.
Une traduction française de ce livre a été publiée en 1997 sous le titre Les formes de l'intelligence (Odile Jacob). Il y présentait sept catégories d'intelligence. Les diverses catégories d'intelligence pour Howard Gardner[modifier | modifier le code] L’intelligence logico-mathématique[modifier | modifier le code] Il existe une dimension non verbale et abstraite dans cette intelligence car des solutions peuvent être anticipées avant d'être démontrées. Travail soutenable: un concept qui prend vie? | Prevent.be. Travail soutenable: un concept qui prend vie? | Prevent.be. VS4 Stiegler territoires apprenants. Youtube.