7 questions auxquelles tout nouvel enseignant devrait pouvoir répondre. L’école se transforme, lentement mais sûrement.
Si on voulait auparavant s’assurer que les nouveaux enseignants soient d’abord qualifiés pour enseigner une matière, il semble que les stratégies d’embauche du personnel soient appelées à changer pour refléter de nouvelles réalités! C’est un point intéressant soulevé par Alan November, conférencier et auteur pour le site américain eSchool News, dans son article d’aujourd’hui, intitulé « The 7 questions every new teacher should be able to answer ». Selon lui, le grand changement ne réside pas dans le fait d’intégrer ou non la technologie dans la classe, mais dans la modification de la culture d’enseignement et d’apprentissage et, parallèlement, dans l’adaptation de la description de tâche de l’enseignant et de l’apprenant moderne.
20141016_Observatoire_MGEN-Sociovision.pdf. Le profil des enseignants est en train de changer. (Crédit AFP) Il y a quelques jours la MGEN publiait une enquête menée auprès de 1409 enseignants destinée à mieux percevoir le profil des plus jeunes d’entre eux (23% ont de 35 ans, 8% de 30).
En attendant une étude plus circonstanciée (celle-ci ne distingue pas primaire et secondaire, par exemple) on peut déjà mettre en exergue quelques données et, si la tendance se confirme, la population enseignante va très sensiblement évoluer dans les années à venir. La population enseignante, connue pour être majoritairement féminine, l’est de plus en plus : alors que chez les plus de 35 ans, les femmes représentent 63% des profs, elles sont 82% chez les moins de 35 ans. Dans le métier, 28% des femmes ont moins de 35 ans, contre 13% de leurs collègues masculins. A contrario, ces derniers ont plus de 45 ans à 57%, seulement 38% chez les femmes.
Faut-il donner du sens à cela ? - s’épanouir et développer sa personnalité (47%, contre 28% pour l’ensemble des français) "What Teachers Make," by TAYLOR MALI. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Pourquoi les enseignants quittent-ils leur école ? Revue de la littérature scientifique relative au turnover des enseignants.
Résumés Cette note de synthèse vise à appréhender pourquoi certains enseignants souhaitent ou décident de quitter leur lieu de travail, que ce soit pour se réorienter professionnellement ou pour exercer leur métier dans un autre établissement.
Elle centre donc l’analyse de la mobilité professionnelle enseignante sur les établissements, en essayant de comprendre pourquoi certains sont plus exposés que d’autres au turnover des enseignants. Elle montre qu’au niveau individuel, des variables objectives telles que l’ancienneté, la formation initiale, la discipline enseignée et les caractéristiques sociodémographiques des enseignants influencent les taux de turnover, mais aussi que des facteurs individuels plus subjectifs comme la satisfaction professionnelle et l’engagement organisationnel représentent des éléments favorables au maintien du personnel dans la profession et dans l’établissement.
Haut de page Accès au texte / extrait Plan Introduction Les facteurs individuels Les facteurs objectifs. Profs motivés, élèves gagnants. On connaît déjà plusieurs des facteurs les poussant à quitter le métier: précarité d'emploi, classes trop nombreuses, surcharge de travail, dévalorisation de la profession, milieu de travail hautement stressant.
Mais qu'en est-il des facteurs psychologiques, de ce qui se passe dans la tête des enseignants? Johanne Patry a été enseignante en sciences au secondaire pendant 23 ans et conseillère pédagogique pendant 10 ans. Elle est maintenant directrice adjointe à la pédagogie au Collège Français de Longueuil. Récemment, elle donnait une conférence lors de l'événement TEDxMontréal sur un sujet qui lui tient à coeur, le décrochage des enseignants. Cycle de vie professionnelle des enseignants (Allard, 2001. La littérature donne l’impression que le rapport au travail de ceux qui s’occupent du développement des jeunes est empreint de démotivation, de démobilisation, d’essoufflement a de fatigue.
Par exemple, selon Desjardins (1992), une majorité d’enseignants débutent leur carrière en étant persuadés d’être heureux et de se réaliser personnellement dans ce travail. Toutefois, il semble qu’ils découvrent plutôt un univers où ils doivent se battre continuellement pour ne pas y laisser leur peau. L’auteur soulève que si seulement 19% des enseignants affirment pouvoir être eux-mêmes dans leur profession, cela signifie que 81% n’arrivent pas à se réaliser pleinement dans leur rôle d’enseignant. MGEN, mes amours. « Pharmacien comprimé. Sécable, parfois dispersible.
Pensez aux portes.
Armement des toboggans. Tout ce qui suit est d’une généralisation sans commune mesure avec tout ce qui a déjà était fait. Le cliché est le maître mot. Et je ne saurai être tenu responsable d’aucun de mes propos : mes parents n’avaient qu’à pas appartenir à ce groupe d’individus. Un MGEN n’est pas un patient comme les autres.
Tout d’abord, un MGEN est sus-nommé ainsi par son (r)attachement à une assurance maladie : Mutuelle Générale de l’Education Nationale. Il existe un profil type du personnage, repérable dès son entrée dans l’officine.