Business & Community Intelligence. HYSTRA. ONG-Entreprises : Le choc des valeurs. Relations ONG-entreprises vues de l'intérieur. WWF et les entreprises, les liaisons dangereuses. Quel est le rapport entre un charmant panda et un vulgaire sac de ciment? A première vue, aucun. Le premier sert d'emblème à la plus puissante association environnementale du monde, tandis que le second est accusé par les militants écologistes de favoriser le dérèglement climatique. En signant un partenariat avec Lafarge, en 2010, le WWF France a fini par accepter d'unir ces deux images a priori antinomiques.
Dix ans après sa maison mère, qui, elle, n'avait pas eu les mêmes réticences. Aujourd'hui, l'élève pourrait bien dépasser le maître : l'antenne tricolore de l'ONG environnementale multiplie les partenariats stratégiques avec les entreprises. Elles sont désormais 14, et non des moindres - Carrefour, Castorama, Crédit agricole, Orange ou encore Pierre & Vacances -, à avoir conclu un accord avec le WWF France. C'est en 1998 que le WWF France a commencé à prospecter du côté du CAC 40. Des accusations de "green-washing" Là n'est pas la seule contradiction.
Veolia et la Grameen Bank tirent les enseignements de leur projet au Bengladesh. Après la téléphonie et la nutrition, Muhammad Yunus, fondateur de la Grameen Bank, a ciblé un nouvel objectif au Bengladesh : la distribution d'eau potable pour les populations rurales, en partenariat avec Veolia. En effet, si l'eau ne manque pas dans ce pays, la plupart des nappes phréatiques sont contaminées - de manière naturelle- à l'arsenic, rendant l'eau impropre à la consommation. La Grameen Bank a donc élargi, depuis 2009, son champ d'action à la distribution d'eau potable, après avoir lancé avec Danone en 2006 la Grameen Danone Foods. L'objectif poursuivi par Muhammad Yunus, dans ses différents projets, est constant : développer des activités économiques et sociales sur le principe du "social business" .
Cette fois, c'est avec Veolia que la Grameen Bank a crée une filiale, la Grameen-Veolia Water, dont l'objectif est de fournir de l'eau potable aux populations les plus pauvres dans une zone rurale du Bangladesh. Cmplexité des projets « social business » Une maladie « honteuse » Comment réussir un partenariat ONG/entreprise.
Depuis le début de la crise financière de 2008, le business de la solidarité peine à se renouveler. En France, le budget global du mécénat a baissé de 20% en 2010. Aux Etats-Unis, les dons en faveur des plus grandes organisations à but non lucratif américaines ont diminué de 11%. Il est donc devenu indispensable pour les ONG de trouver de nouvelles sources de financement. De plus en plus, les associations se tournent vers les entreprises pour remédier à cette situation. Il existe plusieurs types de partenariats, dont le mécénat de compétences fait partie, au même titre que le sponsoring, le commerce équitable ou encore les partenariats technologiques.
Réalités Cependant, les motivations des deux parties sont parfois caricaturées; les ONG mettent en place des partenariats uniquement pour engranger toujours plus d'argent, les entreprises montent des partenariats pour "verdir" leur image. Créer une association de toutes pièces n’est pas chose aisée. Soupçons de greenwashing L’exemple du WWF. Le blog de la stratégie, des partenariats avec les entreprises et du financement des associations.
Convergences 2015. Plus d’échanges entre ONG et secteur privé : quand, comment, pourquoi? | Pro Bono Lab – Le blog du bénévolat et mécénat de compétences. Convergences 2015 a pour but de promouvoir une économie tournée vers un plus grand impact social et de permettre l’articulation des parties prenantes engagées dans cette voie. Opérant sous la forme de groupes de travail d’experts durant l’année afin d’élaborer des réflexions de fond sur les problématiques visées, Convergences 2015 donne lieu à un forum international d’échanges et de discussions entre professionnels des secteurs concernés. Ce forum est également l’occasion de présenter et de diffuser les études et idées produites pendant l’année par les groupes de travail. L’atelier « Plus d’échanges entre ONG et secteur privé : quand, comment, pourquoi? » avait pour objectif d’éclaircir les risques actuels et les pistes de développement des partenariats entre le secteur lucratif et non profit.
Les risques d’instrumentalisation : green washing et social washing. Une piste est envisagée pour répondre à ces problèmes : la notion de proximité. Une interface ONG – entreprises, pour quoi faire ? Vous êtes une entreprise ? Vous souhaitez développer un partenariat avec une ONG mais ne savez pas vraiment vers qui vous tourner ? Vous souhaitez engager votre entreprise dans la solidarité internationale mais vous ne savez pas encore comment ? L’interface est un outil où vous trouverez toute l’info nécessaire pour mieux connaître le secteur des ONG de solidarité internationale et les différents types de partenariat possibles. Grâce au moteur de recherche, vous pourrez identifier les ONG qui correspondent à vos centres d’intérêt, vos domaines et vos zones d’activité.
Cette interface est le résultat d’une étude commanditée en 2010 par Coordination SUD la coordination française des ONG de solidarité internationale et le Medef et réalisée par le cabinet Be-Linked, pour établir un état des lieux des partenariats entre ONG de solidarité internationale et entreprises. Découvrez les différents types de partenariat. En savoir plus. Comment réussir un partenariat ONG/entreprise. Reciprocity. Leviers, freins, opportunités: poser le cadre des nouvelles alliances. "Sur la nécessité d’adresser les besoins à la Base de la Pyramide (BoP), l’intérêt des entreprises va croissant tout en restant dans un sentiment de flou et de scepticisme, alors qu’il faudrait ouvrir le champ des possibles, libérer le potentiel.
Quand nous avons ajouté à cette idée de BoP celle d’entrepreneur social, qui n’est pas forcément plus claire, nous avons réalisé qu’il devenait nécessaire de poser un cadre à tout cela et de réaliser la première étude générique sur le sujet en France" explique Olivia Verger Lisicki, en charge des projets BoP pour l’IMS-Entreprendre pour la Cité, association d’entreprise autour des questions de RSE. Pour mener le projet à bien, l'alliance est passée avec l’autre bord, via Ashoka, association soutenant des entrepreneurs sociaux. Et l’ensemble des parties prenantes (entreprises, entrepreneurs sociaux, écoles et universités, acteurs de l’ESS…) est sondé sur ce sujet émergent. La rencontre. Hystra : l'entreprise de demain sera "hybride" | Reporters d'Espoirs. « Retour à la liste des idées à suivre Hystra, pour "hybrid strategies" : un nouveau cabinet de conseil, lancé en janvier 2009 par Olivier Kayser, ancien partner de McKinsey et senior adviser d'Ashoka.
Objectif : utiliser l'entreprise pour changer le monde. Si les entrepreneurs sont les seuls à avoir la créativité et l'énergie nécessaires à l'invention de nouvelles solutions, seules les multinationales ont la capacité de les développer à l'échelle mondiale. En d'autres termes, Hystra accompagne les entreprises dans la mise en œuvre de démarches où impact social et rentabilité économique vont de pair.
De l'entrepreneuriat social ? Pas exactement. "Ce que font les entrepreneurs sociaux est admirable, mais la lenteur du développement de leur projet limite trop leur impact, explique Olivier Kayser. Partenariats entreprises associations. ONG-entreprises : des relations constructives ? Hybrid Value Chain Framework | ASHOKA - Full Economic Citizenship.