Véhicules Energie Libre. 2015/03/05 > BE Canada 446 > Une nouvelle génération de cellules photovoltaïques. EnergieUne nouvelle génération de cellules photovoltaïques Ca ressemblait à une batterie à ses yeux. Ce que J. Thomas Beatty étudiait était une protéine, mais plus il y pensait plus il réalisait que les protéines de photosynthèse pourraient se comporter comme des batteries. Elles ont, après tout, des charges positives et négatives. Aujourd'hui, T. Dans un désert comme l'Arizona, il y a suffisamment de place pour installer de vastes fermes de panneaux solaires. Maroc : le fléau de la drogue à l'école. La plante verte qui alimente votre box Internet. Avec sa carte électronique open source, le français Robotseed part à la conquête des industriels. Contrôler des imprimantes 3D, des fraiseurs numériques ou des découpeuses laser depuis une tablette ou une plate-forme est désormais possible pour quelques centaines d’euros. Un tel tarif a été rendu possible grâce au développement en open source de Smoothieboard, sa carte de contrôle qui permet le pilotage des machines.
Une conception collective Robotseed a en effet conçu son produit grâce à des "makers" à travers le monde qui amélioraient à la fois le hardware et le software. Jusqu’à aujourd’hui, plus de 2 000 contributions ont ainsi permis de perfectionner la carte électronique. Une fois la carte développée, les fondateurs ont décidé de la conserver en open source et de la vendre à ceux qui souhaiteraient se la procurer sans avoir à la monter par eux-mêmes.
Outre le respect de la philosophie de l'open source centrée sur le partage, ce choix permet aussi à Robotspeed de continuer à pouvoir s'appuyer sur la communauté pour poursuivre le développement de sa Smoothieboard. Morgane Remy. Méthode Jean Pain. Ça carbure à l'hydrogène - FUTURE - ARTE. Qui a tué la voiture électrique ? 2/2. Qui a tué la voiture électrique ? 1/2. Enviscope. Conçu par le CEA Liten à Grenoble pour limiter les coûts d’investissement et d’opération, un système de production d’hydrogène par électrolyse de la vapeur d’eau atteint un rendement supérieur à 90%. Il ouvre de nouvelles voies aux marchés de l’hydrogène industriel et de l’hydrogène énergie. Une étape importante a été franchie en décembre dernier par le laboratoire grenoblois CEA Liten : un système électrolyseur à haute température (700°C) produisant de l’hydrogène à partir de vapeur à 150°C et d’électricité avec une consommation électrique de 3,9 kWh/Nm3[1] d’hydrogène.
Les différents procédés d’électrolyse de l’eau se distinguent essentiellement par leur température de fonctionnement, qui conditionne la quantité d’électricité à apporter pour dissocier la molécule d’eau. Ce prototype démontre qu’il est possible de produire de l’hydrogène en partant de chaleur à basse température avec des rendements inégalés grâce à une valorisation maximale de la chaleur dans le système. Limiter les GES. Le thermostat Nest est remboursé en 2 ans. Nest et son fameux thermostat connecté a sonné la révolution dans les foyers il y a maintenant plus de 3 ans sur le marché américain (ndlr : il est arrivé en France en septembre dernier). La société a voulu retracer l’histoire de son produit phare dans une infographie, mettant en avant les nouvelles fonctionnalités qui sont apparues tout au long de la période et qui ont permis d’augmenter encore les économies d’énergies réalisées par ses clients.
A ce sujet, Nest en a profité pour mettre en avant les statistiques publiées par deux études indépendantes ainsi que celles d’une étude réalisée en interne sur les économies d’énergie réalisées par l’appareil. La conclusion est que les utilisateurs américains du « Smart Learning Thermostat » ont pu économiser 10% à 12% sur la facture de chauffage, et environ 15% sur la climatisation. En montant, cela représente donc en moyenne 131 $ à 145 $ selon les estimations de l’entreprise. Evolution du thermostat Nest Par Jean-Guillaume. Le prix de l’énergie solaire bientôt divisé par deux ? MATÉRIAUX. Décidément, ce nouveau matériau « miracle » n’a pas fini de faire parler de lui ! Testée depuis 2009 pour produire de l’électricité solaire, la pérovskite offre déjà un rendement énergétique de 20 % en conditions de laboratoire — une efficacité proche de celle des panneaux en silicium classiques.
Mais c’est combiné à ces derniers qu’elle pourrait bientôt débarquer sur le marché. Les scientifiques s’attendaient en effet à ce que l’ajout de pérovskite sur des cellules en silicium augmente leur rendement énergétique de 50 %… et c’est exactement ce que viennent de prouver des chercheurs de l’université de Stanford (États-Unis) ! Des résultats très prometteurs pour l’industrie de l’énergie solaire. Décrit en 1839, le premier spécimen de pérovskite a été déniché sous la forme d’un minéral, baptisé en hommage au minéralogiste russe Lev Alexeïevitch Perovski. Grâce à l’ajout de pérovskite, le rendement d’une cellule en silicium a bondi de 11 à 17 % RENDEMENT. ESPOIR. L'Inde fait le pari de l'énergie solaire - Les Echos.