Liberté du journalisme by on emaze. Microsoft Word - redaction-dossier-enseignants-encours-ok.doc - dossier-enseignants-DDP.pdf. Classe média : les caricatures. Dans le cadre de la classe média, on ne pouvait pas passer à côté des événements tragiques de mercredi dernier. D’autant plus que dans le collège, nous avons eu certaines réactions très particulières, de type « bien fait pour eux » (pour rester soft). Toutes les classes ont bien entendu eu un moment d’explication et de recueillement jeudi, mais des incompréhensions demeures.
Les élèves font des confusions, s’en tiennent à des brides d’informations. Bref, il reste du boulot. J’ai voulu par cette séance remettre la caricature au centre. Pour cette séance d’une heure, en petit groupe, j’ai commencé par leur demander ce qu’était une caricature. Je leur dis que les caricatures ne sont pas que dessinées, et leur demande quel autre type de caricatures connaissent-ils. Je leur demande alors quel est leur humoriste préféré. Vient la question : « oui, mais si je n’aime pas cet humoriste, qu’est-ce que je fais ?
Enfin, on finit par une caricature collective (même si on ne sait pas dessiner !). Histoire de la caricature et du dessin satirique. La caricature au service de la démocratie. Séminaire « L'enseignement du fait religieux » - Dieu dans les arts visuels :Normes et pratiques des monothéismes abrahamiques. François Bœspflug, professeur d'histoire des religions, université Marc Bloch (Strasbourg II) Pour déterminer le sujet de mon intervention, il m'a fallu opter entre la présentation et l'analyse de quelques œuvres que j'aurais décrites en m'interrogeant devant vous sur les exigences et les ressources pédagogiques de la description d'images, et l'abord d'un problème de fond soulevé par le patrimoine artistique d'inspiration religieuse dans son ensemble, dans une optique comparatiste.
C'est cette seconde possibilité que j'ai retenue. Le problème, le voici. Il vaut pour toutes les religions. Comment présentent-elles et se représentent-elles ce (ceux) qu'elles placent au zénith, à savoir, selon les cas, " le ciel ", le divin, la transcendance, les " êtres supérieurs ", prophètes, grands ancêtres et fondateurs plus moins portés aux nues ? Toute religion tient une position déterminée quant à la figuration du divin. Cette interdiction prescrit donc l'abstention pure et simple. "A la fin du XIXe siècle, Paris était la capitale mondiale de la caricature religieuse" Quelle est l'origine du blasphème ?
Pourquoi la caricature religieuse est-elle mal acceptée dans la plupart des cultures ? François Boespflug, professeur d'histoire des religions, revient sur l'origine d'une tradition très européenne. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Soren Seelow Ces dernières années, et singulièrement les semaines passées, les scandales provoqués par des images jugées blasphématoires se sont multipliés. Benetton, Charlie Hebdo, Golgota Picnic, Castellucci, Piss Christ... ils concernent pour la plupart la religion chrétienne, et dans une moindre mesure l'islam. Dominicain, spécialiste d'iconographie chrétienne, François Bœspflug est l'auteur de Dieu et ses images, une histoire de l'éternel dans l'art (Bayard, 2011) et de Caricaturer Dieu ?
Quel est le statut de la représentation de dieu dans les trois religions monothéistes ? L'histoire de la représentation du divin plonge dans l'antiquité. La religion juive rompt avec tout ça.