New Tab. Congelation embryonnaire - TEC. Pourquoi l’animal n’est pas le modèle biologique de l’homme. Télécharger ce document en version PDF « Pourquoi l’animal n’est pas le modèle biologique de l’homme » a été publié dans La Notice d’Antidote de novembre 2004.
Et d’abord, pourquoi le serait-il? Les expérimentateurs de tout temps ont étudié les animaux à défaut de pouvoir faire certaines expériences sur les humains et, en raison de grossières similitudes anatomiques et physiologiques, ils ont considéré – de façon tout à fait empirique! – que certaines observations faites sur une espèce pouvaient s’appliquer à d’autres. D’une hypothèse, ils ont fait une loi. Qu’est-ce qu’un modèle ?
Pour qu’un dispositif expérimental soit considéré comme le modèle du phénomène que l’on désire étudier, les réactions observées en laboratoire doivent en tous points être identiques à celles du phénomène naturel. En ce qui concerne les êtres vivants, il semble évident, déjà de façon intuitive, qu’aucune espèce animale ne ressemble suffisamment aux autres pour servir de modèle. Des cobayes et des hommes, Expérimentation sur l'être humain et justice (sommaire) « Cancer : l'essai sauvage » Un droit personnel à l'essai Une enquête « jurisociologique » L'expérience de Lind (1747) Le débat sur l'« inoculation » au XVIIIe siècle Louis, les saignées et la « méthode numérique » Gavarret et les « Principes généraux de statistique médicale » De Fisher à Hill : l'Œuvre des statisticiens non médecins Evidence Based Medicine (EBM) : la médecine fondée sur les « niveaux de preuve » William Beaumont et Alexis St.
L'expérimentation humaine sur la fièvre jaune à Cuba (1900‐1901) et la consécration du modèle contractuel L’échec des tentatives législatives aux États‐Unis L’affaire Neisser et la directive de 1900 Les Richtlinien de 1931 dans le contexte du « drame de Lübeck » Le procès de Lyon (1859), incarnation de l’approche juridique française Des conceptions éthiques concurrentes et fortement hétérogènes. L'expérimentation sur les embryons, c'est la marchandisation de l'humain. La France s’avance dans la zone rouge de l’aventure anti-éthique : toutes les digues du respect de la personne humaine sont progressivement renversées… Est-ce le symptôme de la victoire définitive du matérialisme sur la conscience ?
L’embryon humain n’est pourtant pas un matériau comme les autres. On n’en a pas fini avec la désacralisation de la personne humaine et les transgressions en tout genre. Après le "mariage pour tous" et son corollaire probable mais honteux, la "PMA pour tous", et peut-être même une future et déconseillée "mort pour tous", voici l’expérimentation pour tous. J’en avais déjà parlé à l’issue du débat au Sénat dans la nuit du 4 au 5 décembre 2012, un vote en catimini, loin des médias. Il s’agit d’une proposition de loi qui est ensuite passée en discussion à l’Assemblée Nationale le 28 mars 2013 et par un artifice de procédure, et un problème de calendrier, cette discussion n’avait pas pu aboutir. Un débat tronqué et bâclé De quoi s’agit-il ?
Des consultations bâclées… Expérimentation animale - La règle des 3 R : réduire, raffiner, remplacer. © Inserm, P.
Latron Tests comportementaux sur souris dans l'étude sur la dépression, test pour la coordination motrice rotarod via la mesure du temps de maintien de l'animal sur une barre en rotation. Laboratoire de l'équipe 4 "Troubles affectifs" de l'unité 930 "Imagerie et cerveau", faculté des sciences de Tours. Après avoir gradué les souffrances subies par les animaux en expérimentation dans les laboratoires anglais, W.M.S. Russell et R.L. Reduce (Réduire) le nombre d'animaux en expérimentation Refine (Raffiner) la méthodologie utilisée, ce qui implique la notion de points limites (critères d'interruption, ou "end-points" ) Replace (Remplacer) les modèles animaux.
Ce concept a été progressivement adopté par diverses institutions pour fixer des lignes de conduite pour l'expérimentation animale : le Conseil Canadien de Protection des Animaux, le Département américain chargé de l'agriculture (Animal Welfare Act), et le gouvernement britannique (Home Office). The Use of Animal Models in Studying Genetic Disease. Bedell, M.
A., et al. Mouse models of human disease. Part I: Techniques and resources for genetic analysis in mice. Genes and Development 11, 1-10 (1997a) ———. Hardouin, S. Rosenthal, N., & Brown, S. Wolfgang, M. Yang, S. Yu, Y., & Bradley, A. 24FR - 41470_24FR_modele_animal_experimentation.pdf.