Chevelu hydrographique. Prévenir le problème à la source. Dans un souci de préservation de la qualité de l'eau et du milieu aquatique, le conseil général et la fédération des associations de pêche éditent une plaquette de prévention sur le chevelu hydrographique. Objectif : attirer l'attention sur l'importance de ces rus. Selon Youenn Landrein, de la Fédaration départementale de la pêche et de la protection du milieu aquatique (FDPPMA), le département compterait près de 10.000 km de chevelu hydrographique. Une appellation qui caractérise ces premiers filets d'eau, tout en amont des bassins versants. . « Une démarche de prévention » Une plaquette qui aborde différents points comme la reconnaissance du chevelu hydrographique et les enjeux biologiques liés à la préservation des ruisseaux, et livre des pistes de réflexion pour éviter les atteintes ou en limiter l'impact. Comme travailler l'entretien de ces rus. L’Agriculture en milieu aride – Exemple de l’Arabie Saoudite.
90% de terres situées dans une zone désertique, un climat aride, des espaces immenses… Ce premier portrait de l’Arabie Saoudite dresse une liste de contraintes a priori indépassable pour l’avènement d’une agriculture abondante et diverse. Et pourtant : dans les grandes fermes laitières détenues par les principaux groupes agroalimentaires du royaume (Almarai, Nadec/Alsafi-Danone pour ne citer que les plus connus) pâturent pas moins de 500 000 bovins, responsables de la production de près d’un milliard de litres de lait par an.
Le secret d’une telle productivité ? Une expertise développée depuis la moitié du XXème siècle, du matériel de pointe en matière d’irrigation, de réfrigération, de santé… Et tout cela : en grande partie importé. L’ère de la modernisation agricole « En Arabie Saoudite, 80% des besoins alimentaires sont importés. 4 secteurs prioritaires : élevage bovin, avicole, aquaculture, pêche Le premier symptôme de ce changement ? Un pays de plus en plus ouvert. Et maintenant, l’Arabie saoudite confrontée à la disparition de son agriculture pour avoir abusé de ses ressources en eau. Atlantico : L'Arabie saoudite était célèbre pour ses fermes de blé circulaires autant que pour ses gisements de pétrole.
Aujourd'hui, les dernières fermes de blé ont tout simplement disparu pour sauver les aquifères qui les alimentent. Le royaume manque d'eau. Quelles sont les conséquences directes de cette pénurie pour le pays ? David Rigoulet-Roze : L’Arabie saoudite qui est l’un des pays les plus arides de la planète - couvert largement par le grand désert du Rub al Khali, qualifié d’Empty Quarter ("Quart Vide") par les Britanniques - manque d’eau. Ce n’est en soi pas surprenant. Le royaume des sables ne possède d’ailleurs aucun cours d’eau permanent naturel, mais des wadis qui se présentent comme des cours d’eau intermittents s’écoulant après des épisodes de pluie qui ne sont pas inexistants. Il demeure néanmoins que, du fait de conditions climatiques fondamentalement marquées par l’aridité, les eaux de surface ne représentent qu’un apport hydrique considérablement limité.
. (2) Cf. Where is all the water on Earth? - Engaging Data. Earth is known as the blue planet, because it’s covered with quite a bit of water. But do you know where all that water on Earth is located? This interactive visualization will show the various amounts of water in its many forms on Earth: Oceans, Lakes, Rivers, Ice, Groundwater, etc…. If you hover over a part of the circular, sunburst graph, it will show you the amount of water that is in each of the various forms shown. If the label for that form is bolded, you can click on it and see further subdivisions beyond that broad category. For example, if you click on Oceans, it will show you how the water in the oceans is distributed among the five main oceans on Earth.
As you move towards more focused views on the graph, you can click on the center of the circle to move back out to larger categories and see the big picture again. As you can see, most of the water on Earth is found in a salty form, and most of that is in the oceans. No Comments » Le siècle de l'or bleu. Longtemps obsédés par l'or noir, indispensable au développement économique, les Etats, se préoccupent de plus en plus de l'or bleu, en ce XXIe siècle, l'eau douce, essentielle à la vie et à l'agriculture.
Quels sont les enjeux autour de l'eau ? Va-t-elle donner naissance à de nouveaux conflits ? L'eau douce, essentielle à la vie, devient un enjeu planétaire majeur au moment où se conjuguent les changements climatiques avec l'accélération démographique et une urbanisation sans précédent. Près d'un quart de l'humanité vit aujourd'hui dans des pays qui manquent d'eau. Enjeu social, enjeu économique, l'accès à l'eau est depuis toujours un enjeu de souveraineté et les risques géopolitiques abondent. Autour de Christine Ockrent : Alexandre Taithe, Chargé de recherches, à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS)
. - Depuis Abu Dhabi, Sylvie Brunel géographe. Pour prolonger : Connaître les ressources en eau et les milieux aquatiques : la qualité des cours d’eau de France métropolitaine sur smartphone et tablette. Pour la première fois en France, toutes les données sur la qualité des eaux des cours d’eau peuvent être consultées depuis le bord de l’eau grâce à l’application « qualité rivière».
Chacun – citoyen, pêcheur, randonneur, kayakiste, vacancier – peut connaître la qualité des cours d’eau à travers les paramètres témoinsde leur santé : poissons, invertébrés, microalgues, polluants chimiques, acidité, oxygène…Une carte interactive classe les cours d’eau de « très bon état » (en bleu), « bon état » (en vert) à « mauvais état » (en rouge).
Elle indique aussi l’évolution sur les trois dernières années pour chaque station de suivi. On peut aussi tester et améliorer ses connaissances sur l’eau, les gaspillages à éviter, l’impact du changement climatique sur la qualité des rivières, grâce aux tests et quiz. Le manque d’eau touche sept personnes sur dix - Edition du soir Ouest France - 16/02/2016. Jusqu’à maintenant, la population touchée par des pénuries d’eau était estimée entre 1,7 et 3,1 milliards d’êtres humains sur la planète. Le chiffre vient d’être revu à la hausse dans une étude néerlandaise, publiée vendredi dernier dans le journal Science Advance. « Nous avons découvert que 4 milliards d’êtres humains sur terre faisaient face à une grave pénurie d’eau au moins un mois par an », nous explique le professeur Arjen Hoekstra de l’Université de Twente aux Pays-Bas, qui a dirigé l’étude.
Vue à la loupe, la réalité est plus dramatique Le professeur Hoekstra et son collègue Mesfin Mekonnen ont décidé de travailler dans le détail. Jusqu’alors, un focus trop large lissait la réalité de la crise mondiale de l’eau, estiment-ils : « Toutes les études raisonnaient en année. Mais en général, les pénuries ne sont observables que deux ou trois mois par an. À qui la faute ? Les pays du Nord, victimes indirectes Et la France, dans tout ça ? Quelles perspectives pour l’avenir ? Images Show Impact of Sea Level Rise on Global Icons. Long-term sea level rise set in motion by near-term carbon emissions threatens major coastal cities across the world.
Here we present paired images showing how iconic locations — in London, Shanghai, Mumbai, Sydney, Rio de Janeiro, Durban and New York — could fare under scenarios of business as usual vs. a sharp transition to clean energy. In the first image for each pair, we show projections of post-2100 sea level rise that could be locked in following 4°C (7.2°F) of warming from carbon pollution in the coming decades.
This pathway corresponds roughly to business as usual. In the second image, we show projections based on 2°C (3.6°F) of warming from carbon pollution. This degree of warming corresponds to the target limit widely discussed today as the threshold to avoid catastrophic climate change — and officially designated as part of the Cancun Agreement, signed in 2010 by international delegates gathered under the umbrella of the United Nations. California's Historic Drought - An Overview. World Water Day 2013 - The Big Picture.
Hgcollege.editions-bordas.fr/img_pres/flash/732667_17_275_cInegalAccesEau.swf. Krpano.com - EBC_Pumori_050112_8bit_FLAT. Combien d’eau y a-t-il sur Terre. L’infographie est parlante. Il faut imaginer qu’un puissant sorcier a, grâce à un maléfice habile, siphonné toute l’eau présente sur Terre et l’a réunie dans une sphère, un petit satellite liquide posé sur notre globe soudain asséché. D’un coup d’un seul, notre planète bleue est devenue brune et il y a comme une surprise à voir les océans, mers, lacs, calottes polaires, rivières et glaciers, qui recouvrent en temps normal plus de 70 % des 510 millions de km2 que compte la Terre, se résumer à un cochonnet de seulement 1 385 km de diamètre, soit à peu près la distance qui sépare Paris d’Alger à vol d’oiseau.
L’eau sur Terre est un peu comme une feuille de papier cadeau recouvrant une boule de bowling. Depuis l’espace on ne voit presque qu’elle, elle donne sa couleur à notre planète mais ne représente qu’une minuscule fraction (0,023 %) de sa masse. Combien y en a-t-il exactement ? Si l’on revient à notre image, cette bulle contient 1,386 milliard de km3 d’H20. Comment se répartit-elle ? HYDROLOGIE • Pékin, cette mégapole qui pompe, qui pompe… Jamais la capitale n’a souffert d’une telle pénurie d’eau. Et les solutions envisagées par le gouvernement pourraient avoir des conséquences environnementales et sociales dramatiques.
Selon Pan Anjun, le directeur adjoint de l’Agence pékinoise de l’eau (APE), Pékin est la grande ville où l’approvisionnement en eau est le plus compliqué au monde. Depuis mai 2011, la disponibilité en eau dans la capitale de la Chine a chuté jusqu’à atteindre moins de 100 mètres cubes par habitant, soit moins d’un dixième du seuil de carence, fixé au niveau mondial à 1 000 mètres cubes d’eau par an et par habitant. Pékin est donc la ville la plus “assoiffée” de Chine. Ces dix dernières années, la capitale chinoise a grossi dans des proportions que les urbanistes n’imaginaient pas : sa population permanente a explosé, passant de 13,6 millions d’habitants en l’an 2000 à 20 millions. Ces cinq dernières années, la quantité d’eau consommée à Pékin a atteint 3,5 milliards de mètres cubes.