Pas de sexisme chez les Libristes ? La semaine dernière, nous publiions la traduction L’open source n’est pas une zone de guerre, les hommes ne sont pas tous des connards .
Armony Altinier , fondatrice du groupe accessibilité de l’April et l’une des initiatrices de la soirée Libre Diversité , a souhaité réagir à cet article. Pas de sexisme chez les Libristes ? Armony Altinier - Mai 2013 Le Framablog a publié récemment une traduction d’un article intitulé « L’open source n’est pas une zone de guerre, les hommes ne sont pas tous des connards » . Titre éloquent qu’on a immédiatement envie de compléter en disant : « et les femmes ne sont pas toutes des féministes » . Cet article était introduit un peu maladroitement [ 1 ] de cette façon : « Un constat sensiblement différent du billet Sexisme chez les geeks : Pourquoi notre communauté est malade, et comment y remédier de MarLard, qui fit couler beaucoup d’encre récemment dans la blogosphère francophone. » Qu’en est-il exactement ? Quand le débat d'idées vire au harcèlement misogyne - Bioware.
C'est une évidence, le monde du jeu vidéo évolue : ce loisir un temps réservé à un public essentiellement masculin et plutôt jeune se démocratise et aujourd'hui, tous les publics ou presque jouent (jeunes comme vieux, masculins comme féminins).
À en croire les blogs The Border House ou Kotaku, ce n'est manifestement pas du goût d'une certaines franges de joueurs (un brin intégristes ?) Et Jennifer Hepler, auteure chez Bioware où elle a notamment travaillé sur Dragon Age et Star Wars The Old Republic, en fait expérience (amère). La jeune femme révèle faire l'objet d'un « harcèlement haineux » de la part de certains joueurs, la qualifiant notamment de « cancer en train de tuer Bioware ». Raison de cette ire vidéo ludique ? « La principale objection qu'on oppose à ce type d'option permettant de zapper les combats est que le jeu serait alors trop court. Mise à jour (22 février) : Ray Muzyka, cofondateur de Bioware, s'exprime sur les forums officiels et prend la défense de Jennifer Hepler. Harassment, Misogyny and Silencing on YouTube. June 7, 2012 Here is a very small sample of the harassment I deal with for daring to criticize sexism in video games.
Keep in mind that all this is in response to my Kickstarter project for a video series called Tropes vs. Women in Video Games (which I have not even made yet). These are the types of silencing tactics often used against women on the internet who dare to speak up. But don’t worry it won’t stop me! Du sexisme et du féminisme chez les geeks. En 1993, le New Yorker a publié un dessin qui est devenu célèbre : un chien était face à un ordinateur et une légende disait « On the Internet, nobody knows you’re a dog », « sur Internet, personne ne sait que vous êtes un chien ».
Parmi toutes les lectures possibles de ce qui s’est presque transformé en adage, l’une postulait le rêve d’une égalité entre les internautes, égalité sociale, égalité de race et de genre notamment. Or, on commence à le savoir, le cyberespace n’est pas étanche aux autres dimensions que nous habitons, et dans bien des cas, ce rêve égalitaire a fait long feu. Mais les rappels à la réalité peuvent être violents. Le dernier en date l’est particulièrement. Le 16 mars, sur un blog du nom de « Genre ! Sexisme chez les geeks : Pourquoi notre communauté est malade, et comment y remédier. J’aimerais préciser quelque chose. Quand Mar_Lard a publié son article sur Joystick en août dernier sur ce blog, nous avons décidé de publier tous les commentaires afin que tout le monde puisse se rendre compte de la violence des réactions. Je suggère à ceux qui voudraient réitérer ce genre d’exploits (histoire de contribuer à la démonstration de Mar_Lard, merci les mecs) de lire la charte de modération désormais en vigueur sur ce blog au lieu de perdre leur temps.
[EDIT] Devant le nombre de confusions, 2ème précision: ce blog appartient à AC Husson mais l’auteure de cette contribution est Mar_Lard. Si vous voulez la contacter par mail, je transmettrai. Attention, cet article inclut de nombreux exemples susceptibles de choquer : images d’une grande violence ou sexuellement explicites, insultes et propos à caractère fortement sexiste/homophobe/raciste, menaces de violences sexuelles et autres. Ce paragraphe a suscité des réactions extrêmes. 1.
Les filles ont le droit d'être des geeks comme les autres.