Le cloud privé dans l'entreprise. Le lancement de trois offres de cloud privé par Amazon, VeePee et EMC a marqué l'actualité du « cloud computing » au premier semestre 2010 : ce type de services, censé offrir aux entreprises une meilleure maîtrise de leurs ressources informatiques et un accès privilégié à leurs applications hébergées, figurent aujourd'hui sur l'agenda des DSI.
Une tendance que confirment différentes enquêtes publiées en ce début d'année. Plus grande modularité et conformité avec les règles de gouvernance d'entreprise, contact privilégié avec le prestataire de services dans le cas d'un cloud privé "locatif" : ce type d'architecture séduit par sa flexibilité et son caractère évolutif. Le point sur les promesses et les enjeux du « nuage privé ». Le cloud privé, un pied dans l'entreprise Qu'est-ce que le cloud privé ? Une solution plébiscitée par les décideurs informatiques Les applications et infrastructures concernées Trois avantages propres au modèle privatif. Univers du Cloud. Comment bâtir un cloud hybride ouvert ?
, un Livre Blanc redhat. Companies value security, performance and support in quest to build new IT paradigm. At enterprises everywhere, private clouds are catching on. And increasingly, businesses are finding that an open hybrid approach to building private clouds is the best way to maximize their benefits—cost-effective, flexible computing and storage capacity without single-vendor limitations. 7 étapes pour l'exécution de vos applications dans un cloud public, un Livre Blanc redhat. Loading an application onto a public cloud is easy. Préparer vos clouds privés et hybrides avec l'infrastructure redhat, un Livre Blanc redhat. Organizations are increasingly moving to private or hybrid cloud architectures. Le cloud passe la vitesse supérieure en France. La 3e étude d'IDC sur l'état du cloud en France note une nette augmentation des usages dans les entreprises.
Crédit IDC Après les années d'observation, le cloud décolle enfin en France selon la dernière étude réalisée par IDC pour le compte de VMware et d'Accenture. Selon la troisième édition de l'étude Cloud Index, menée par IDC pour VMware et Accenture, le cloud commence à trouver sa place dans les entreprises françaises. Le cabinet d'études a interrogé 126 entreprises dans les secteurs public et privé (76 et 55 respectivement) dans les principaux secteurs d'activité de l'économie française (banque/assurance, industrie, distribution...).
Premier constat : 63% des entreprises de l'étude ont recours au cloud (+15% par rapport à 2012). Passer au cloud pour alléger la pression des métiers Les entreprises françaises semblent donc enfin s'intéresser au cloud - sous toutes ses facettes - mais les budgets alloués sont encore modestes : 6 à 7% des budgets au global selon l'analyste d'IDC. Le cloud hybride fait évoluer les métiers de la DSI. Le cloud hybride est en train de s’imposer dans la plupart des projets IT actuels.
S’il apporte plus de réactivité et améliore le « time-to-market », il est aussi un moteur de la réduction des coûts. Toutefois, la DSI doit appréhender et comprendre au mieux le besoin de ses utilisateurs pour le maîtriser entièrement. Le véritable cloud computing est en passe de tenir toutes ses promesses. Après le cloud public et le cloud privé, le cloud hybride vient en effet chambouler l’état de l’art de l’IT. On ne pense plus uniquement aux besoins d’un système interne (cloud privé) et on élimine les contraintes liées à la sécurité notamment (cloud public). Le cloud hybride en résumé Le cloud hybride qu’est-ce que c’est ? « En 2017, Gartner estime que la moitié des entreprises seront équipées de cloud hybride »
Cloud : l’échec des prévisionnistes. En 2009, Gartner annonçait que 25% des logiciels seraient en mode SaaS en 2011.
Cinq ans plus tard, PAC nous apprend que le SaaS atteindra péniblement 10% du marché des logiciels en 2018. Cherchez l’erreur. En matière de Cloud, la baudruche des prévisionnistes semble s’être dégonflée plus vite que le marché n’a réellement progressé au cours des dernières années. C’est le principal enseignement que l’on peut tirer de la publication ces derniers jours par Numergy et Cloudwatt des premiers résultats de leur activité. L’un et l’autre ont en effet justifié le rachitisme de leur chiffre d’affaires par un rythme d’adoption par le marché plus lent qu’attendu.
De fait, lorsque l’on se replonge dans leurs déclarations de 2012, au moment du démarrage officiel de leur activité, les deux champions du Cloud souverain français appuyaient leurs projections de ventes sur un marché de l’infrastructure sous forme de service estimé à l’époque par les cabinets d’études à 3 milliards d’euros à l’orée 2017.