Apprendre et former avec les sciences cognitives. Ce que la recherche nous dit sur les styles d’apprentissage (ou retour sur un mythe tenace) La recherche sur les styles d’apprentissage, dont les origines remontent aux années 1930, a vu le jour en Europe occidentale et aux États-Unis et a réellement pris son essor depuis cinq décennies. Durant cette période, la densité des travaux de recherche a été fluctuante, mais connaît depuis plusieurs années un renouveau, sans doute lié à l’engouement pour la psychologie cognitive.
La psychologie y tient toujours une grande place, comme pour les premières recherches, mais aussi la médecine, le management, l’industrie, la formation professionnelle. L’éducation et la formation constituent également un vaste champ d’exploration. De nombreux chercheur.e.s ont tenté de confronter leurs travaux en essayant d’identifier des méthodes permettant de comprendre les processus d’apprentissage des individus et de les classer selon une typologie visant à définir ce concept. De quoi parle t-on exactement ? Les 5 grandes théories de l'apprentissage. Le béhaviorisme Thorndike et Skinner Edward Lee Thorndike (31 août 1874 - 9 août 1949) est un psychologue américain, précurseur du béhaviorisme.
Un film d’animation pour comprendre comment les malentendus cognitifs s’installent entre les enseignants et les élèves. Un support idéal en #formation. Peter Senge: How to Overcome Learning Disabilities in Organizations. As an organization grows, managing the flow demands work items to move from one team/department to another.
In quest to make these teams accountable, very specific KPI’s are established and that breeds non-systemic thinking. People look at meeting their own numbers and push the work to next stage and often, what happens is that while people win (in short term), the system fails. Every team meets the KPI numbers and yet, customers remain disgruntled. Peter Senge, in his book “The Fifth Discipline – The Art and Practice of Learning Organization” outlines 7 organizational learning disabilities. He says, “It is no accident that most organizations learn poorly. It then becomes very crucial that we identify clearly these learning disabilities. Critical question then is: How to we overcome these learning disabilities and truly create an organization that learns better?
More on Creating Learning Organization at QAspire: Insights, Resources and Visual Notes on Leadership, Learning and Change! Comment apprendre autrement ? Collégiale 062. Comment accompagner l’apprentissage des élèves? Le premier Edubref sur les programmes scolaires est paru en mars 2018, ouvrant ainsi la voie de cette nouvelle série réalisée par le service Veille & Analyses de l’IFE-ENS de Lyon.
L’objectif : proposer en 4 pages une lecture très condensée des apports des recherches sur des questions éducatives, alors que nos Dossiers de veille dépassent souvent la trentaine de pages. C’est sur la question des dispositifs d’accompagnement des élèves que se penche ce deuxième Edubref : soutien, remédiation, aide personnalisée, accompagnement d’élèves en difficulté, devoirs faits… Conférence de Grégoire Borst, "Apprendre à apprendre" 100-mars-2015.pdf. Ce que la recherche nous dit sur les styles d’apprentissage (ou retour sur un mythe tenace)
CAREP - Le rapport sur le travail personnel de l'élève en dehors de la classe. Inscrite dans la loi de refondation de l’École de la République et présentée en janvier 2014, la réforme de l’éducation prioritaire vise à réduire l’effet des inégalités sociales et territoriales sur les résultats scolaires et à favoriser la réussite de tous les élèves.
Le travail personnel des élèves, notamment réalisé en dehors de la classe, étant l’un des facteurs de cette réussite, il a paru légitime à l’Observatoire des Pratiques en Éducation Prioritaire de l’académie de Créteil d’en faire son objet d’étude pour l’année scolaire 2015-2016, et de proposer des réponses à la question suivante : En éducation prioritaire, quelles pratiques seraient en mesure de rompre la courbe ascendante des inégalités ? Cette question était déjà soulevée il y a douze ans dans le rapport de Dominique Glasman et il y a huit ans dans celui de l’IGEN , consacré au travail des élèves en dehors de la classe à l’école élémentaire.
« L’oriention scolaire renforce les inégalités », entretien avec Agnès van Zanten, sociologue au CNRS. Vos recherches portent sur les conditions dans lesquelles les lycéens sont amenés à choisir leurs études supérieures.
Que cherchez-vous précisément à mettre en lumière ? Agnès van Zanten : Jusqu’à présent, très peu de travaux ont été conduits dans notre pays sur les processus qui, au sein des établissements scolaires et des familles, ou encore via Internet, les plates-formes d’orientation en première année d’études supérieures, les salons d’orientation, etc., entretiennent ou creusent les inégalités entre jeunes, s’agissant de leurs choix d’orientation dans le supérieur.
Pour mieux saisir pourquoi la France affiche un faible taux de scolarisation des enfants des classes populaires dans le supérieur, nous avons mis en place depuis 2013 un dispositif inédit de grande envergure. Un des volets de cette étude concerne le rôle des lycées dans l’orientation vers le supérieur. Les pratiques dans ce domaine sont-elles vraiment à géométrie variable selon les établissements ? A. v. A. v.