Orbite terrestre basse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Différentes orbites terrestre; la partie bleu turquoise représente l'orbite terrestre basse. L'orbite terrestre basse, ou LEO (Low Earth orbit en anglais), est une zone de l'orbite terrestre allant jusqu'à 2 000 kilomètres d'altitude[1], située entre l'atmosphère et la ceinture de Van Allen. On y retrouve des satellites de télédétection, des satellites de télécommunications ainsi que quelques stations spatiales, dont la Station spatiale internationale. Elle contient les orbites terrestres équatoriales, ou ELEO (Equatorial low Earth orbits en anglais), dont l'inclinaison très basse par rapport à l'équateur amène les plus faibles exigences delta-v et permettent d'être revisitées rapidement[précision nécessaire].
Orbite polaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Animation montrant une orbite polaire. Les orbites polaires terrestres utilisées sont généralement assez basses, avoisinant les 700 kilomètres. Elles servent à établir des cartes terrestres et à effectuer de la reconnaissance météorologique. Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Polaire (orbite) sur Ciel des Hommes. Orbite héliosynchrone. Orbite de transfert géostationnaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Orbite de transfert en jaune Une orbite de transfert géostationnaire est une orbite intermédiaire qui permet de placer des satellites en orbite géostationnaire. Le sigle anglais correspondant est GTO. Orbite géostationnaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Point géostationnaire en vert sur l'orbite en vis-à-vis du point brun sur la Terre. L'orbite géostationnaire, abrégée GEO (geostationary orbit) est une orbite située à 35 784 km d'altitude au-dessus de l'équateur de la Terre, dans le plan équatorial et d'une excentricité orbitale nulle.
C'est un cas particulier de l'orbite géosynchrone. Elle est parfois appelée orbite de Clarke ou ceinture de Clarke, du nom de l'auteur britannique de science-fiction Arthur C. Habitabilité d'une planète. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Déterminer l'habitabilité d'une planète correspond en partie à extrapoler les conditions terrestres, car c'est la seule planète sur laquelle l'existence de la vie est connue. L'habitabilité d'une planète est la mesure de la capacité d'un corps astronomique à développer et accueillir la vie. Cette notion peut donc être notamment utilisée à la fois pour les planètes et leurs satellites naturels. D'après les connaissances acquises par l'étude de la biologie terrestre, les éléments nécessaires au maintien de la vie sont une source d'énergie couplée à de la matière mobilisable, sachant que différents modèles sont proposés à l'appui de l'origine de la vie.
Cependant, la notion d'habitabilité comme « possibilité d'accueillir la vie » est intrinsèquement limitée par la comparaison aux conditions biologiques terrestres, ce qui implique que plusieurs autres critères d'ordre géophysique, géochimique et astrophysique soient respectés. Ergol. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un ergol, dans le domaine de l'astronautique, est une substance homogène employée seule ou en association avec d'autres substances et destinée à fournir de l'énergie. Les ergols sont les produits initiaux, séparés, utilisés dans un système propulsif à réaction. Propergol liquide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Grandeurs caractérisant un propergol[modifier | modifier le code] Ces grandeurs sont introduites dans l'article "Moteur-fusée". Impulsion spécifique[modifier | modifier le code] , d'où avec : Cette équation souligne que, à poussée égale, l'impulsion spécifique sera d'autant plus élevée que le débit massique sera faible, ce qui signifie qu'on privilégiera des ergols dont les produits de combustion ont une masse molaire faible. L'impulsion spécifique n'est pas une grandeur absolue d'un propergol, mais dépend des performances du moteur-fusée, et tout particulièrement de la pression atteinte dans la chambre de combustion, qui peut affecter les performances du système de 10 à 15 %.
Dans la littérature, les valeurs d'impulsion spécifique sont données dans le vide et dans les conditions thermodynamiques idéales, de sorte qu'elles constituent des bornes supérieures auxquelles les valeurs pratiques sont généralement inférieures de 5 à 10 %. Tuyère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les gaz de combustion sont canalisés à leur sortie de la chambre de combustion dans le divergent de la tuyère. Dans le cas des tuyères de fusées, fonctionnant à de très hautes températures, ce divergent doit être refroidi à cause de la chaleur dégagée par les gaz incandescents. On utilise à cet effet du gaz liquéfié véhiculé dans de minces canalisations. Lanceur (astronautique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Lanceur. Les premiers modèles ont été conçus dans les années 1950 et la conception de base n'a guère changé depuis. Le lanceur est constitué d’un ou plusieurs moteurs, en un ou plusieurs étages, du ou des combustibles (qui peuvent être plusieurs pour un même étage, et différents selon les étages), ainsi que d’un système électronique de contrôle (case à équipement). La charge utile est généralement placée au sommet du lanceur, sous une coiffe. Selon les missions, le lanceur peut atteindre plusieurs orbites, préalablement enregistrée dans le « cerveau » de la fusée.
Ariane 5. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Historique et développement[modifier | modifier le code] Le programme Ariane 5 a été initié en 1987, par les ministres européens des affaires spatiales réunis à La Haye. Il est dirigé par l’ESA, mais sa réalisation est assurée par le CNES français. Vega. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vega comporte quatre étages dont les trois premiers sont à propergol solide. Le premier étage, dérivé du propulseur d'appoint EAP d'Ariane 5, utilise, pour la première fois sur un étage à propulsion solide de cette taille, une enveloppe réalisée en fibre de carbone pré-imprégnée de résine époxy au lieu de l'acier ce qui permet d'abaisser fortement la masse à vide.
Cette évolution pourrait être appliquée dans le futur aux EAP permettant d'améliorer sensiblement les performances du lanceur Ariane 5. Programme Aurora. Programme ExoMars. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. ExoMars, concept du rover (2006) Mars500. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Image composite qui représente la Terre et Mars. Au moins 56 millions de kilomètres les séparent et le voyage aller et retour est estimé à 520 jours avec un mois passé sur Mars.
Logo de la mission. Station spatiale internationale. International Space Station. The ISS serves as a microgravity and space environment research laboratory in which crew members conduct experiments in biology, human biology, physics, astronomy, meteorology and other fields.[11][12][13] The station is suited for the testing of spacecraft systems and equipment required for missions to the Moon and Mars.[14] Navette spatiale américaine. Véhicule automatique de transfert européen.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ATV. L'ATV ravitailleur remorqueur de la station spatiale internationale[modifier | modifier le code] Automated Transfer Vehicle. The Automated Transfer Vehicle or ATV is an expendable, pressurised unmanned resupply spacecraft developed by the European Space Agency (ESA).[5] ATVs are designed to supply the International Space Station (ISS) with propellant, water, air, payloads, and experiments.
Satellite artificiel. ENVISAT. Colonisation de la Lune. Programme Constellation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du programme Constellation. La définition des objectifs (2004)[modifier | modifier le code] Sonde spatiale. Space probe. A space probe is a unmanned spacecraft that leaves Earth orbit and explores space.[1] It may approach the Moon; enter interplanetary space; flyby, orbit or land on other planetary bodies; or approach interstellar space.
Space probes are a form of robotic spacecraft. See list of probes by operational status for a list of active probes; the space agencies of the USSR (now Russia and Ukraine), the United States, the European Union, Japan, China and India have in the aggregate launched probes to several planets and moons of the solar system as well as to a number of asteroids and comets. Interplanetary trajectories[edit] Once a probe has left the vicinity of Earth, its trajectory will likely take it along an orbit around the Sun similar to the Earth's orbit. Galileo (système de positionnement) Galileo (satellite navigation) Spectromètre. Spectrométrie de masse. Télescope spatial Hubble. Hubble Space Telescope. Astéroïde. Asteroid. Astéroïde géocroiseur.