Comment être une cru… une fille féminine ? Internet répond à toutes vos questions.
Certes, il y a toutes les fois où il répond "C’est le cancer" à la plupart des interrogations pour le plus grand bonheur des hypocondriaques ; mais tout de même, il serait bien réducteur de ne pas parler de toutes les merveilles que nous offre le web. Ainsi, qui n’a jamais pu en apprendre plus sur un sujet donné en quelques clics sur un moteur de recherche ? Découvrir des images incroyables d’un phénomène rare à l’autre bout du monde ? Ou plus généralement, vérifier si une vedette des années 80 était morte ou vivante (tant que vous n’avez pas le réponse, on parle de vedette de Schrödinger) ? Pourtant, internet c’est aussi le meilleur moyen d’apprendre bien des choses pratiques. Ce pourquoi, aujourd’hui, nous allons nous attarder sur une question tout à fait pertinente : Marie Curie, un modèle de fille féminine : elle aimait tant le gloss qu’à la fin elle brillait même dans le noir. Et l’article qui va bien est ici.
C’est ballot. Rue89.nouvelobs.com/sites/news/files/assets/document/2014/06/edhec-position-paper-avoir-un-diplome-pour-faire-une-bonne-carriere.pdf. Répondre aux remarques sexistes. Quelque part entre drague, insultes ou harcèlement sexuel, il existe chez certains hommes une façon plus ou moins vulgaire et équivoque de s’en prendre aux femmes… En une phrase ou deux, ils sexualisent la relation et mettent leur interlocutrice en position d’infériorité.
Aucune loi n’interdit ces comportements. Mais la société les tolère et incite même les femmes à trouver cela drôle et sympathique. Or, qu’elles en profitent pour mesurer leur séduction, qu’elles raillent ces propos ou qu’elles en souffrent, les femmes ne se réjouissent jamais des insistances des « mecs lourds » et de l’arrogance soft du « paternalisme lubrique ». Animée par Natacha Henry, cette session permet aux femmes de mieux comprendre l’importance du phénomène et de connaître les clés pour répondre efficacement en fonction des situations rencontrées. « Répondre aux remarques sexistes » fait partie du cycle « Speak up!».
Lutter contre les stéréotypes filles-garçons - CGSP_Stereotypes_filles_garcons_web.pdf. Stéréotypes de sexe : en France, les manuels scolaires doivent encore être révisés. Le drôle de genre des stéréotypes. Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes. Colloque_Rennes.pdf. L’Observatoire des filles 8-13 ans : construction de la personnalité et apprentissage de la féminité. A l’occasion du lancement de sa nouvelle formule, le magazine Julie, dédiée aux filles de 8 à 13 ans, a voulu mieux les connaître en lançant l’Observatoire des petites filles.
Plus de 400 fillettes ont complété le questionnaire auto-administré qui se trouvait dans le numéro de janvier 2011. L’enseignement majeur de cette enquête ? La préadolescence, qui n’existait pas il y a une dizaine d’années, est devenue une tranche de vie à part entière, avec ses codes et ses préoccupations spécifiques. Les fillettes entre 8 et 13 ans ne se considèrent plus comme des enfants : elles sont en transition avec l’adolescence, dont elles imitent les codes (groupes de copines, amoureux, maquillage, réseaux sociaux sur Internet…). Mais elles restent des petites filles, comme le montrent leur attachement à l’école (78%), à leur maman (93%), et aux jeunes actrices américaines Miley Cyrus et Selena Gomez…
Observatoire des inégalités. Expositions - Maison pour l'égalité femmes-hommes. Les pionnières Une trentaine de panneaux et autant de portraits de femmes.... artistes, sportives, scentifiques, philosophes ou encore millitantes, cette exposition nous invite à la rencontre de quelques une des figures illustres de l'Histoire.
Louise Labé, Olympe de Gouges, Geroges Sand, Louise Michel, Simone de Beauvoir ou encore Simone Veil figurent parmi 28 portraits de femmes, mais surtout ces 28 destins exceptionnels qui jalonnent l'histoire (longue) de la construction d'un monde plus égalitaire et plus juste. 28 panneaux indépendants Format 60 cm x 80 cm, papier 130 gr/m² plastifié avec œillets (haut et bas) Voir un extrait des panneaux en format réduit La couverture vivante La couverture vivante est une création collective pour la paix et la préservation du vivant.
Le travail des femmes au XIXe siècle. Contexte historique Si le thème du travail dans la peinture est courant en Hollande, et ce depuis le XVIIe siècle, ce n’est pas le cas en France, où l’on a longtemps jugé ce sujet indigne.
Boucher et Fragonard ont, certes, peint des lavandières au XVIIIe siècle, mais ce n’était là qu’un prétexte pour montrer des scènes galantes et des paysages oniriques. Millet est un des premiers, au milieu du XIXe siècle, à décrire sans détour des scènes de labeur, en l’occurrence celles de paysans ; il ouvrait ainsi la voie à l’exploration d’un thème dans lequel s’inscrivent ces quatre toiles conjuguées au féminin. Analyse des images Au-delà de ce premier point, force est de constater que le traitement varie d’une œuvre à l’autre.
Chez Daumier comme chez Delachaux, il se dégage des personnages une impression de noblesse. Au contraire, La Blanchisseuse suggère clairement la difficulté de la tâche accomplie jour après jour.