Dubsteps Not Dead. Mario's Site on Strikingly. Leçon de house music à ceux qui se prennent pour des DJ de génie. Maintenant, quasiment tout le monde peut faire de la musique.
Il suffit d’avoir un iPhone, en gros, et un ordinateur. Ce n’est pas une raison pour massacrer le genre : les Blacks et les folles ne l’ont pas élevé au rang d’art pour en arriver là. Comme j’en ai marre d’écouter les merdes pondues par ces DJ blancs hétérosexuels qui se prennent pour de grands compositeurs, j’ai décidé de leur révéler ce que j’ai appris ces dernières années sur la house. En sept mini-leçons. Un boum-boum bien placé Une des grosses différences entre la musique de gros bourrins et la house élégante est que la grosse caisse, aussi omniprésente soit-elle, n’est pas forcément une machine à concasser les oreilles. En anglais on l’appelle « bass drum », mais ça ne veut pas dire qu’elle doit couvrir toutes les basses : il faut de la place pour la basse elle-même, qui va donner le groove au morceau. Surtout, la grosse caisse n’est jamais aussi désirable que quand on l’attend.
Même fréquence pour les percussions. Une représentation visuelle de la relation entre la science et la musique. Nigel John Stanford est un musicien néo-zélandais connu pour ses morceaux de musique d'ambiance et New Age.
Dans la vidéo qui suit, vous pourrez voir un échantillon de ses prouesses. Il y joue de la batterie et du synthé et s'accompagne d'instruments de fortune fabriqués avec des cartes à jouer, notamment. Le clip s'intitule 'Cymatics', cymatique en français, la science qui permet de rendre les fréquences sonores visibles. Sur son site web, Stanford explique comment il en est venu à s'intéresser à la visualisation du son: "En 1999, j'ai vu un documentaire sur la 'synesthésie' - un phénomène qui affecte les fonctions auditives et visuelles du cerveau. Je me suis dit que ce serait cool de faire un clip dans lequel chaque son serait accompagné d'un élément visuel correspondant. Bien qu'il ait fallu un certain temps à Stanford pour acquérir tous les éléments nécessaires à cette série d'expériences, il n'a eu que deux jours pour filmer le tout.
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Music. [BORIS CHIMP 504] Shadows- Lindsey Stirling. Jon Hopkins - 'Asleep Versions' Studio Film. Jon Hopkins - Vessel (Four Tet Remix) (2010) Helios - Isoline. Autechre - plyPhon. Autechre - Clipper. Burial - Prayer. Brian Eno - And Then So Clear. Connect.ohm - 9980. On s’engouffre dans cet album comme on pénètre dans un décor en perpétuel défilement.
Un environnement tenu par des bifurcations en suspension et des caténaires reliées à des bouts de ciel. De fructueuses rencontres se font parfois à l’intérieur d’un même label. Celle du français Alexandre Scheffer (Cell) et du japonais Hidetoshi Koizumi (Hybrid Leisureland) en est une. Leurs albums respectifs (Hanging Masses et Scroll Slide) sont sortis sur le label français Ultimae, qui témoigne déjà d’une dizaine d’années d’existence, et tous deux engendrent à présent une collaboration en forme de prise de hauteur, sous l’enveloppe d’un digipack extrêmement soigné et évocateur. Album qui opère en contre-plongée stellaire, 9980 s’attache à la création d’une architecture sonore composant avec le caractère infini de l’espace. Le brassage des deux univers artistiques est remarquable.
Connect.ohm - 9980. Emika - Double Edge. Matzak - Dadaughter (Official) Trentemøller: The Very Last Resort. YouTube - Broadcast Yourself. Emptyset - Avichi [CLR] S O H N - "The Wheel" Dimitri vegas & Like. TRAP EDM