La monnaie n’est plus au service de l’économie réelle. Par Charles GaveUn article de l’Institut des Libertés Tout le monde se sert de la monnaie pour mesurer la valeur des choses ou des services produits ou vendus, mais personne ne sait vraiment pourquoi la monnaie a de la valeur.
C’est là l’un des paradoxes extraordinaires de notre monde et j’ai longuement écrit dans le passé à ce sujet… (Voir les articles consacrés à la monnaie sur le site de l’Institut des Libertés). Compte tenu de l’action actuelle des banques centrales, il me semble que je dois mettre à jour les idées que j’avais sur la monnaie qui sont peut-être devenues inopérantes. Il s’agit donc là d’une réflexion de nature conceptuelle visant à réactualiser mes schémas de pensée. En effet, tous ceux qui s’intéressent à l’économie ont une espèce de modèle intuitif autour duquel s’organisent leurs réflexions et à partir duquel ils arrivent à leurs conclusions.
Il me faut donc commencer par une description de mon ancien modèle. La monnaie au centre du système Pourquoi ? Je m’explique. Le marché Transatlantique. Vers une société de «jobs à la con» ? Avez vous un «job à la con» ?
Si vous avez le temps de lire cet article devant votre ordinateur au boulot, la réponse est probablement oui. Et à en croire la viralité (1) du pamphlet consacré aux «bullshit jobs» (en VO) signé David Graeber, anthropologue à la London School of Economics et une des figures du mouvement Occupy Wall Street, vous n’êtes pas pas le seul. Dans un court essai (2) publié dans le magazine de la gauche radicale britannique Strike ! Désorganisation des états nations.
Rappel: L’immigration de remplacement : quand l’ONU et l’UE organisent la disparition des peuples. "immigration de substitution" Dix ans après l’introduction de la réforme allemande Hartz IV. Home » Nouvelles internationales » Europe » Allemagne Par Sybille Fuchs 29 août 2012 Le 16 août 2002, un groupe d’experts dirigés par le directeur des ressources humaines de Volkswagen, Peter Hartz, présentait à la coalition gouvernementale, constituée par le Parti social-démocrate et Les Verts et menée par le chancelier Gerhard Schröder (SPD), ses propositions relatives aux réformes du marché du travail.
Dix ans plus tard, la société allemande est transformée en grande partie en raison des réformes Hartz. Une étude de l’OCDE, publiée à la fin de l’année dernière, a conclu que l’inégalité des revenus s’est accrue plus rapidement en Allemagne que dans n’importe quel autre pays membre. Il y a dix ans, l’économie allemande était montrée du doigt et accusée de payer des salaires excessifs, d'avoir un marché du travail rigide et un système social bien trop généreux. Inculpation de Peter Hartz - Allemagne. Voici une information des plus intéressantes, en provenance directe de Diety, l’Actuchômiste actif qui a permi à des tas de gens de découvrir la réalité du traitement du chômage en Allemagne.
En 2005, l’ex-manager de Volkswagen Peter Hartz, dont la réforme profonde de la gestion du chômage en Allemagne porte le nom, était mis en difficulté par la presse qui se posait des questions sur son implication dans le scandale de corruption du groupe automobile allemand. En fin de l’année 2006, les choses se concrétisent : Le Parquet a porté au nombre de 44 les cas de détournement de fonds dont Peter Hartz est maintenant accusé. Il aurait, entre autres, fait profiter à l’ancien chef du comité d’entreprise, Klaus Volkert, de presque deux millions d’euros de paiements de "bonus" sans en informer Volkswagen. Banques outils réseaux et mafieux. Ingérence des multinationales dans les affaires publiques. Réformes Hartz. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Elles ont pour but de renforcer la lutte contre le chômage volontaire et d'améliorer le retour en activité des bénéficiaires d'allocations [2]. Ces réformes controversées, officiellement, visent à adapter le droit (du travail, fiscal) allemand à la nouvelle donne économique dans le secteur des services. Elles ont été mises en place progressivement, sous la forme de quatre lois, mais la plus importante et la plus impopulaire est la loi Hartz IV. Les réformes Hartz, remise en cause de l’Etat social ? Hollande et la désindustrialisation. Les visites très médiatisées d'usines en souffrance et les discours volontaristes d'Arnaud Montebourg n'auront pas empêché les faillites, fermetures de site et rachats de se succéder depuis le début du quinquennat de François Hollande.
Inventaire. Ce n'est pas le tout d'avoir un ministre du "Redressement productif" qui pose en marinière Armor Lux pour chanter les louanges du "made in France", un robot Moulinex en main. Encore faut-il se donner les moyens de s'attaquer aux lois et aux structures économiques qui enfoncent depuis vingt ans la France dans la désindustrialisation, dont l'imminent rachat d'Alstom, convoité par l'Américain General Electric et l'Allemand Siemens, n'est que le dernier épisode en date.
Les banques financières d'investissement. Economie. Le précariat contre le salariat. Trente ans de chômage de masse, trente ans de sigles cabalistiques, trente ans de contrats précaires au rabais et une situation de l’emploi qui empire malgré tout.
Malgré tout… ou grâce à? L’idée est simple : face à la pénurie d’emploi, l’État, non interventionniste par ailleurs, déploie des subventions pour inciter les entreprises à embaucher. C’est sûrement parce que je ne suis pas économiste que je ne vois pas le rapport de cause à effet. Mais il paraît que rendre l’emploi moins cher permet de créer de l’emploi. C’est une théorie économique qui le dit. Admettons que pour créer de l’emploi, il faut le subventionner. On peut toujours se référer aux emplois de service. Contrairement aux emplois industriels, où la cadence peut être sans cesse accélérée, les services de proximité ont une productivité stagnante : les employés sont obligés d’être en relation directe avec les usagers, il y a un «temps de contact» que l’on ne peut pas réduire.
« Le salarié est un ennemi à fragiliser et à isoler » - Finies les vacances... Basta !
: Dans de nombreuses entreprises et secteurs, de France Télécom à Renault, du secteur bancaire à l’Éducation nationale, le travail souffre. Pourquoi ? Danièle Linhart [1] : Le travail a perdu de sa dimension socialisatrice et citoyenne. Le travail exclu l'emploi et vice cersa ! Bien lire une fiche de paye par Franck Lepage & G Tanguy - Droit travail Brut Net Bulletin salaire. Auto-entrepreneur : le mythe du travailleur indépendant - Néocapitalisme.