Maldives – Misère et ordures, la face cachée du paradis. Les îles Maldives sont connues pour leurs paysages de paradis sur terre, d’eau turquoise et de plages paradisiaques.
Le photographe Hani Amir nous révèle la face cachée de ce paradis avec une série de photographies prises sur l’île artificielle de Thilafushi. Construite en 1992 pour faire face au problème des déchets cette île de 7 kilomètres de long sur 200 mètres de large, emmagasine 330 tonnes de déchets par jour (chaque touriste visitant l’archipel, en produit a lui seul 3,5 kg par jour), et du coup celle-ci croît de 1 m2 par jour (wikipedia).
Entre misère et ordures, sans protection de sûreté, des travailleurs expatriés recherchent les morceaux métaux pour vivre parmi les déchets qui s’infiltrent dans l’océan à cause des marées et des vents empoisonnés…. « This is where they burn the garbage in paradise. » La pollution au plastique concerne 88% de la surface des océans (heureusement, il y a de l’espoir…) Le chiffre est catastrophique, et ne concerne QUE le plastique!
Ajoutez à cela les hydrocarbures, la radioactivité, les restes médicamenteux.. L’océan n’est plus qu’une poubelle, mais pour le plastique, il reste quand même un espoir, un espoir pas tellement grand, mais il est là, la récupération des déchets pour les réutiliser: « l’océan plastic » dont nous parlons dans la seconde partie de l’article. Déjà, affrontons la problématique telle qu’elle: Des micro-fragments de plastique polluent jusqu’à 88% de la surface des océans. Il y a néanmoins un espoir dans le domaine, en récupérant e serait-ce qu’une partie de ces déchets plastiques dans un premier temps, et cela sans utiliser d’énergie, en laissant les choses se faire toutes seules: Chaque geste a un impact sur l’environnement. Ocean Plastic est l’histoire d’un emballage innovant à la recherche d’impact positif. Solutions locales pour un désordre global - Coline Serreau. Chris Jordan - Midway. On Midway Atoll, a remote cluster of islands more than 2000 miles from the nearest continent, the detritus of our mass consumption surfaces in an astonishing place: inside the stomachs of thousands of dead baby albatrosses.
The nesting chicks are fed lethal quantities of plastic by their parents, who mistake the floating trash for food as they forage over the vast polluted Pacific Ocean. For me, kneeling over their carcasses is like looking into a macabre mirror. These birds reflect back an appallingly emblematic result of the collective trance of our consumerism and runaway industrial growth. Like the albatross, we first-world humans find ourselves lacking the ability to discern anymore what is nourishing from what is toxic to our lives and our spirits.
Choked to death on our waste, the mythical albatross calls upon us to recognize that our greatest challenge lies not out there, but in here. ~cj, Seattle, February 2011 Midway film trailer Donate to the Midway Project. Les effets des perturbateurs endocriniens chimiques dévoilés. Menace sur les océans. Marine Research Institute - Marine Research, Education and Restoration. Le septième continent. Food and Drug Administration FDA. Déchets. Histoires du pétrole. La Pollution aux Plastiques. Le B.A.BA d’une vie sans plastique et sans BPA. Le dernier rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) met en cause comme rarement l’impact du bisphénol A (BPA) sur notre santé.
Mais comment l’éviter au mieux au quotidien ? Pour en savoir plus, j’ai demandé à Katia, mère de quatre enfants qui vit depuis quatre ans en bannissant tout type de plastiques et de contenants pouvant être source de perturbateurs endocriniens, de m’en dire un peu plus sur ses habitudes de vie. Une maman qui cogiteCombien sont-ils, ces parents inquiets du monde qu’ils vont laisser à leurs petits ? Ces mères, parfois désemparées, qui ne savent plus comment agir pour préserver la santé de leurs bambins ? Image : www.igepac.comCertes, tous les contenants n’ont pas la même nocivité et il existe une multitude de matières plastiques très différentes les unes des autres. 5 fois plus de plastique que de plancton dans le pacifique nord.
Le « 7ème Continent » sera bientôt moins mystérieux. En effet, la première expédition française est partie le 20 mai dernier de la Californie vers le milieu du Pacifique pour un mois de recherches. Sa mission : cartographier, étudier et analyser une énorme masse de déchets, appelée le 7ème Continent. Ce continent de déchets plastiques se trouve au milieu du Pacifique Nord, entre la Californie et Hawaï.
Quelques chiffres que nous possédons à ce jour : - 5kg de plastique pour 1kg de plancton - 3,5 millions de km2 sont touchés (6 fois la superficie de la France) - 46 000 morceaux de plastiques pour 2,5 km2 d’océan - 30 m de profondeur par endroits - 750 000 débris par km2 - 5kg de plastique par km2 - 100 millions de tonnes de plastique sont produits par an - 10% finissent dans les mers - 50 à 1 000 ans le temps de dégradation de ces déchets.
Des millions d’oiseaux et mammifères marins meurent d’avoir ingéré ces déchets.