Girl. Baby. Girl. Sylvia Beach. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
George Whitman, adieu l’ami américain. «Probablement la librairie la plus célèbre du monde», avançait mercredi le quotidien britannique The Guardian évoquant Shakespeare and Company, jolie échoppe posée sur la rive gauche de la Seine en face de Notre-Dame, dont le fondateur, George Whitman, vient de mourir à l’âge de 98 ans.
«Paradis littéraire, aimant à écrivains et poètes», ajoutait le New York Times quelques heures plus tard, en rappelant ce propos de Whitman : «J’ai voulu une librairie parce que le commerce des livres est le commerce de la vie.» Utopie. La disparition du plus célèbre des libraires américains de Paris a sans doute fait davantage de bruit au-delà des mers qu’intra-muros, c’est un peu injuste. Whitman ne se contentait pas du seul commerce de la vie, il défendait une utopie : accueillir tous les gens qui aiment les livres, quitte à leur offrir un lit s’ils n’en ont pas, un coup à boire s’ils ont soif. Natif du New Jersey, George Whitman débarque à Paris en 1948 à l’âge de 34 ans.
Shakespeare, Sylvia et compagnie. Chronique d’une après-midi au milieu des premières éditions de la librairie Shakespeare – une collection qui ferait rêver plus d’un bibliophile. « Un jour ou l’autre, Shakespeare and Company aura elle aussi sa librairie en ligne, affirme Sylvia Whitman, même si personnellement je ne suis pas une adepte des e-books. » À trente-deux ans, Sylvia est la troisième propriétaire de la célèbre librairie anglaise de la Rive gauche, après Sylvia Beach, son homonyme et fondatrice du lieu, et George Whitman, son père, d’origine américaine, décédé en décembre dernier. « Une maison n’est belle qu’une fois remplie de livres. » Sylvia est née à Paris et a étudié en Angleterre et en Écosse (elle a obtenu son diplôme d’histoire à l’Université de Londres) avant de revenir dans la librairie qui l’a vue grandir. « Mon livre préféré change de titre chaque semaine.
Entre le Web et les « tumbleweeds » Photo : © Jacopo Franchi. Love and peace. Woodstock. Girl. Beatniks. Hippies. Hippie. Beatniks. Les Beatniks. Devant chez Popoff, rue de la Huchette, 1965 Parmi les premiers beatniks, il y avait le Baron di Lima (Eugène), étrange personnage, habillé de cuir noir, une bague à chaque doigt, qui avait le chic pour être toujours là où "ça se passait", au moins en matière d'évènements musicaux.
Il semblait avoir le don d'ubiquité. Il distribuait à sa "cour" (il était toujours très entouré) des cartes d'"Homme libre" au titre d'une obscure obédience maçonnique. Il appelait les gens "mon frère". Il était aussi - il y a prescription ! Il était en rivalité pour le "leadership" sur les beatniks de Paris avec MOUNA AGUIGUI (André Dupont), vieil anarchiste à vélo et personnage incontournable de la rue parisienne qui nous a quittés en 1999. Parmi ceux qui fréquentaient "Chez Popoff", il y avait aussi Jean-Paul BOURRE ou Philippe BONE.
Culture, art et artistes hippies. Le mouvement hippie en France 1960-1970. Mystique hippie. Une mystique syncrétique et libertaire La majorité des hippies refuse la dépendance que crée la drogue : « D’une façon générale, un hippie qui s’enferme dans la drogue, c’est l’échec, écrit Bernard Plossu.
La drogue n’est qu’un moyen et n’est pas indispensable. » De plus en plus, les hippies sérieux préfèrent retrouver, par une recherche spirituelle personnelle l’état de communion et de plénitude créé artificiellement par la drogue. C’est ainsi que les Beatles, après avoir chanté le LSD, l’ont abandonné pour le yoga. Les hippies s’abreuvent à des sources spirituelles variées. On peut reconnaître leurs précurseurs dans les Cyniques grecs : Diogène vivait dans un tonneau et ses adeptes rejetaient déjà le mode de vie et les préjugés de leur époque.
Actualité articles hippies. Hippie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les hippies se distinguaient du reste de la population, qu'ils appelaient les « straight »[Notes 1], par leurs tenues vestimentaires, leurs chevelures et une liberté ostentatoire dans leurs relations amoureuses. Une composition psychédélique. Le mouvement hippie est un courant de contre-culture apparu dans les années 1960 aux États-Unis, avant de se diffuser dans le reste du monde occidental. LES FEMMES DE LA BEAT GENERATION ET LA POESIE / par Jacqueline STARER. Elise Cowen, Diane di Prima, Joyce Johnson, Hettie Jones, Lenore Kandel, Eileen Kaufman, Joanne Kyger, Joanna McClure, Nancy Peters, Janine Pommy Vega, Anne Waldman, Helen Weaver, ruth weiss et les autres… « L’importance littéraire du mouvement beat n’est peut-être pas aussi évidente que son importance sociologique » disait Burroughs.
En va-t-il de même des femmes que l’on peut qualifier de beat parce qu’elles avaient la même philosophie de la vie, ont vécu et écrit selon les cas plus ou moins silencieusement près des écrivains de la Beat Generation, ou après eux, s’imposant alors de leur propre voix, de manière tout à fait audible ?